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Marine Le PEN - Page 13

  • Expatrié

    L'expatriation est devenue un phénomène de masse. Riches comme pauvres, étudiants ou actifs, retraités, traders, créateurs d'entreprises... Ils sont 285 000 à partir chaque année, en quête de perspectives de carrière, d'une augmentation de leur pouvoir d'achat ou de cieux fiscaux plus cléments.

    Ce sont «des gens comme vous et moi» qui quittent la France. Ils fuient la politique économique et fiscale suicidaire à l'œuvre depuis plusieurs décennies en France. 
    Et souvent, ils ne reviennent pas. Car si l'herbe n'est pas toujours plus verte ailleurs, au moins elle y pousse...

    Avec la petite sœur de la directive Bolkenstein, une directive Européenne de 1996 qui permet le détachement de salariés en Europe dont les cotisations sociales demeurent celles du pays d’où ils viennent, nos « commissaires européens » ont inventé la délocalisation interne.

    Des centaines de milliers de Roumains, Bulgares, Polonais et pourquoi pas, bientôt Ukrainiens viendront travailler dans le bâtiment, l’agriculture dans ce qu’il reste d’industrie et bien entendu dans les services.

    On veut vivre et travailler au pays hurlaient tous ceux, CGT en tête qui ont encore une fois voté à gauche.

    Les expatriés s’en vont les « salariés détachés » arrivent !

    Comment peuvent-ils encore croire en la droite actuelle et en l’Europe sociale et libérale ces électeurs « de droite » qui se croient libres au sein d’une nation libre ?  

    Comment les Français de droite peuvent ils encore croire en des individus qui les ont privé de leur non à la constitution Européenne inventée par des traites et des vendus à l’Empire américain comme VGE et Chirac !

    Comment peuvent-ils encore espérer un retour de Sarkozy, un homme qui a pensé réaliser tout cela, quel qu’en soit le prix social. 

    Comment peuvent-ils encore, ces électeurs de gauche, vouloir concerner au pouvoir un pantin comme Hollande, qui ne fait que suivre la ligne de conduite de ses prédécesseurs ?  

    Une seule issue pour que l’herbe repousse en France : Marine le Pen !

    Francis NERI

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  • Bonnets rouges, retraite chapeau, prostitution, Iran…

    A lire attentivement une chronique de Lucien qui nous livre une « photo » de la situation des relations et interactions au sein de la Triplice.

    Je ne partage pas tout, bien sur, en particulier sa vision de ce qu’il qualifie « l’extrême droite » je pense qu’il fait référence à Marine.

    Il est temps que nous apprenions TOUS à ne pas faire d’amalgames en « reliant » Ceux qui associent les événements et les situations en les reliant n’apprécient qu’un nombre très limité d’éléments. Je sais par exemple que Marine Le Pen dissocie totalement l’Amérique d’Obama avec Israël et les Sionistes.

    Mais Marine Le Pen N’EST pas d’extrême droite n’est ce pas Lucien ?

    Par  Lucien SA Oulahbib le 27/11/2013

    34 milliards de déficit des retraites publiques payés par "nous", gros chiffre qu'il faut vite vite vite cacher par les "21 millions" de retraite chapeau de ce directeur de Peugeot alors que les trois quarts auraient été récupérés par l'impôt… Le ministère de l'économie en profite pour réapparaître, de même que celui du redressement productif, jusqu'au Président, alors qu'ils nous concoctent une progressivité de la CSG au nom de la "morale" alors que cette ponction freinera encore plus l'activité et donc alimentera le cortège du chômage et le désir du repli néo-nationaliste ou social-étatiste.

    Les bonnets rouges expriment ce raz le bol, qui touche tout le monde, d'où ces manifs où patrons et salariés défilent ensemble, au grand désarroi de la caste syndicalo-intello-universitaire s'étant accaparée l'État depuis le Conseil National de la Résistance, et qui aimerait continuer à régner par la division, afin de paraître comme conciliateur, intermédiaire, du genre : je vous ponctionne de trente milliards, je vous en prête 20 avec le crédit impôt-recherche… Le fait qu'il vaudrait mieux ne pas ponctionner mais aider à la coopération en prenant, à proportion, une obole publique, ne vient évidemment pas sur la table. Le fait aussi que les Mutuelles, privées, remboursent trois cent à six cent fois mieux que la S.S, les couronnes, implants, soins dentaires, lunettes, lentilles, en dit long sur le degré de lobotomie sournoise qui continue encore ses méfaits en voulant justifier la ponction des dépenses publiques par le nombre d'emplois publics créés en matière d'éducation et de santé alors que ces métiers pourraient fort bien être occupés par du privé puisqu'ils le sont déjà, sans que la déontologie "publique" au sens de "bien commun" ne fasse défaut. Des Autorités indépendantes du genre de la Cour des Comptes pourraient y veiller.


    Nous sommes en pleine confusion culpabilisante où le fait de ne pas payer sa baguette selon un barème "progressif" comme on le dit sur BFM Business sera bientôt un problème alors que le rôle de la puissance publique est de palier à l'inégalité des chances et non d'égaliser tout le monde, or ce n'est pas par la ponction puis par la redistribution que l'on aide les plus défavorisés mais en les aidant à mieux se former via des fondations et un impôt proportionnel susceptible de ne pas freiner l'activité mais au contraire de permettre que celle-ci puisse apporter les emplois attendus.

    Au lieu de cela les étatistes veulent "moraliser" à tour de bras alors que leur morale fonctionne plutôt comme justification de leur existence non nécessaire en fait. Et cette moralisation veut désormais s'en prendre à la prostitution, et ce avec les mêmes arguments dressés contre l'idée même du salariat condamné : ce n'est pas volontaire mais subi. Cette moralisation préfère l'hypocrisie, celle des "promotion canapé", où l'on doit "coucher" pour réussir dans certains milieux, mais cela se fait en douce, implicitement… Et puis les plus aisés (mais votant à gauche) auront toujours leurs hôtels bien achalandés à Lille ou ailleurs, sans parler d'Internet ; il faudra donc engager des milliers de flics pour traquer sur la Toile les adeptes de la braguette facile ; plus des milliers d'inspecteurs du travail pour traquer le travail au noir, les fonds manquants, nouveaux commissaires publics qui viendront sonder les âmes et les cœurs pour les rendre plus transparents. Tout cela peut se faire ensemble : et les acteurs du porno n'ont qu'à bien se tenir…

    La moralisation, autre nom du bourrage de crâne, passera aussi par le retroussage idéologique qui fera par exemple croire que la France est "orientale" et "arabe" depuis longtemps, et que dire le contraire serait "raciste". Un colloque au Sénat va même le démontrer.

    De là à avaliser "l'anti-sionisme" il y a un pas vite franchi, malgré la visite du Président Hollande en Israël dernièrement, car ce qui compte pour certains c'est au fond de se dédouaner de l'antisémitisme larvé en le maquillant dans de l'anti-sionisme exacerbé. Mais de gauche bien sûr, pas façon Soral, non.

    Doit-on lire dans ce contexte les concessions opérées en faveur des Mollahs ?… Sans doute. Néanmoins, sur ce dernier point, il faudrait nuancer. Car qu'est-ce qui est préférable : l'Arabie Saoudite avec la bombe ?… Pas sûr… Après tout l'URSS et la Chine l'ont bien eu, idem pour le Pakistan ; Israël pense-t-il vraiment que l'Iran serait plus dangereux que le Pakistan au bord de l'effondrement ?… On verra bien dans six mois. Date limite donnée aux khomenystes.

    Il faudrait plutôt s'interroger sur les négociations actuelles avec ce qui reste de l'OLP et qui voient relancer l'idée, avancée par Frédéric Ancel (sur BFM buzeness le 23 novembre), qu'au fond le problème des réfugiés n'en serait pas la clé, alors qu'elle en est la voûte.

    Les Palestiniens sont arrivés parfois certes à des accords secrets. Mais cela ne leur coûte rien puisqu'ils les dénoncent sitôt le vent tourné.

    La pression va être très forte sur Israël, alors que l'anti-sionisme n'a jamais été aussi puissant en France, jusqu'à l'extrême droite bien entendu, prête à faire alliance avec l'arabo-islamisme tant sa haine du judéo-américanisme la hante.

    L'extrême gauche est sur les mêmes positions. La gauche et la droite classique aussi, ou à peu près.

    Il reste une poignée de récalcitrants, dissidents, ceux qui n'oublient pas qu'en 48 Israël avait proposé la paix, en 1990 aussi, cela lui a été refusé. Deux fois. Des "colons" ont même dit qu'ils étaient prêts à prendre la nationalité palestinienne si on les laissait là où ils sont, semblables au fond à des gens qui prennent racine, comme partout dans le monde, sauf qu'ils ont le malheur d'avoir eu des ancêtres qui avaient été là aussi il y a fort longtemps, et qu'ils ne sont pas Kosovars, africains, arrivant en masse sur les côtes grecques et italiennes, non, ils sont là depuis la fin du 19ème siècle, attirant ensuite ensuite d'autres populations, des Syriens, des Libanais, qui  venaient les aider à défricher, puis ils s'installèrent, sans se savoir "palestiniens" ; jusqu'à ce que cette identité leur fut proposée par leur soutien arabo-islamique et "alter" divers.

     

  • LA GRANDE OFFENSIVE EST-ELLE EN COURS ?

    Un rapide inventaire des dangers qui nous menacent, y compris certains de nos « amis » sur les réseaux sociaux. Alors oui, restons vigilants, ne nous égarons pas, allons à l’essentiel et, si 80 % du projet de Marine nous convient pourquoi ne pas y adhérer ? Mais y adhérer vraiment, pas seulement y penser !

    Un ami me disait récemment après avoir lu mon dernier post : Tu as raison pour Marine et je voulais voter pour elle et son candidat à Strasbourg, mais ma femme l’a entendu « parler sur les otages à la télé » et çà ne lui a pas plu …alors je ne sais pas ! »

    C’est le moment de continuer à y penser mais aussi à s’engager mes amis…demain il sera trop tard !

    Francis NERI    

    LA GRANDE OFFENSIVE EST-ELLE EN COURS ?

    Ce terme guerrier s'explique d'abord par le fait que nous venons de fêter 99 ans après la fin d'une grande guerre (et non un centenaire à la Hollande qui ne sait pas vraiment compter à croire que dans sa promotion de l'ENA ne se sont retrouvés que des cancres).

    Comme à chaque fois qu'il se déplace, la rue se rappelle à lui par des sifflets. Il est vrai que lorsqu'on tombe aussi bas dans les sondages il y a lieu de s'interroger sur une légitimité car peut-on à ce niveau argumenter sur le fait de l'être par la voie démocratique.

    Les constitutionnalistes diront qu'il l'est effectivement mais au niveau atteint la sagesse voudrait que l'on revienne aux urnes. Ce n'est pas la voie choisie et la seule réponse aux Français c'est d'envoyer les CRS et choisir la radicalisation qui conduit tout naturellement a établir un rapport de force totalitaire plaçant l'arbitraire comme seul moyen pour imposer une politique dont plus personne ne veut, y compris au sein du PS. Lorsqu'on en est réduit à ce type de méthode tout est bon pour casser une opposition. Or celle-ci s'exerce par les commentaires de Français qui ne sont pas tous de mêmes sensibilités et sur le plan politique par la seule opposition forte du seul F.N qui représente d'abord une alternative et un programme.

    L'offensive du clan PS s'exerce donc par médias d'une part et par l'apparition sur les réseaux sociaux de personnages troubles qui se présentent d'abord comme des patriotes purs et durs, utilisant un langage souvent grossier, parlant de révolution, d'armes et de violence cherchant ainsi à capter d'éventuelles confidences d'opposants. Lorsqu'on pousse d'ailleurs l'analyse on découvre que ces personnages cachent d'abord leur date d'entrée (sur Facebook), leur profil et on découvre que ce sont de simples personnages de composition, des provocateurs un peu à la manière des éléments qui font parfois déraper de simples manifestations dans le but de créer la répression. D'autres se mêlent aux commentaires prétendant qu'il n'y a plus rien à faire, que tout est foutu et que le vote est inutile. S'adressant aux adversaires ce n'est ni plus ou moins qu'une cinquième colonne agissant précisément pour jeter le trouble chez ceux qui ne savent pas trop bien où aller, ceux qui à droite sont déboussolés. Ces faux amis sont partout à la fois et lorsqu'ils arrivent à pénétrer dans un compte, ils entrent en action, parfois de façon anodine pour ne pas éveiller les soupçons, puis ils glissent leur petit commentaire.

    Je dois dire que tout cela est somme toute dérisoire face à une colère qui s'amplifie et face à des personnes qui n'hésitent plus ni à manifester ni à s'exprimer au grand jour. Cette façon d'opérer proche des services de sécurité communiste de l'ancien rideau de fer ne fait plus recette.

    Cela sert toutefois à certains services pour mesurer les risques insurrectionnels mais chacun sait qu'une étincelle peut déclencher l'explosion.

    On allume les contrefeux, c'est toujours le bon vieux racisme qui est ressorti, ce n'est guère payant aujourd'hui, pas plus que de désigner l'extrême droite. Lorsqu'on parle de racisme c'est évidemment celui qui s'exercerai sur tel ou telle personne en fonction de ses idées, de sa religion ou de la couleur de sa peau et on prend prétexte d'une attaque contre une ministre pour monter la mayonnaise.

    Si cette personne focalise sur elle autant de haine c'est bien parce qu'elle ne défend pas l'identité française, ni ses racines, ni la vraie société traditionnelle et la couleur de sa peau n'est pas en cause pour la majorité des gens qui la critiquent.

    Quant à parler d'extrêmisme c'est une plaisanterie lorsqu'on laisse libre d'agir des antifas ou des gens qui tiennent des propos de haine anti blanc.

    Si racisme il y a c'est celui qui est fabriqué par cette gauche qui s'éloigne même de son propre électorat.

    La pseudo droite n'est pas en reste non plus pour tenter de noyer le poisson et on peut voir certains commentaires de gens qui se qualifient de droite se plaindre du gouvernement et affirmer quelques secondes après qu'ils voteront pour un socialiste plutôt que pour le FN.

    Ben voyons, pourquoi ne pas prendre déjà sa carte au PS, acheter un tapis et se préparer à la prière coranique.

    Là aussi la grande offensive est lancée car lorsqu’on n’a rien à proposer, le mieux c'est de s'attaquer à son concurrent.

    Que représente aujourd'hui cette droite? Elle souffre d'un manque d'idées pour l'avenir, occulte les vrais problèmes et se divise en clans qui se combattent : Fillon contre Copé, le mode muni qui nous ressort la girouette Bayrou, l'hypothétique Sarkozy, qui, s'il se représentait ne pourrait même plus compter sur les siens, d'ailleurs largement réduits puisque bon nombre de cadres et d'adhérents sont partis vers le Front National.

    Si d'aventure il comptait revenir il serait battu encore plus largement car les méfaits de sa politique sont, hélas pour lui, trop visibles, l'éco taxe, le karcher, la trahison Européenne étant des sujets bien présent dans l'esprit.

    Toutes ces grandes offensives apparaissent dérisoires dans une situation comme la nôtre et la toute dernière évoquée par le nommé Apparu ( un accord de gouvernement avec le PS) montre la parfaite connivence des deux frères ennemis qui n'ont pas encore compris le message de ce peuple.

    Créer l'illusion ne servira pas à masquer l'échec de 45 ans de gouvernance sociale démocrate. Qu'en sera-t-il de toutes ces gesticulations? Personne n'en sait rien même si dans la coulisse chaque camp se prépare et on peut même supposer que des tractations sont en cours pour une fois de plus tromper les Français. Mais ceux qui prendraient ainsi des accords plongeront inévitablement avec le commandant du bateau à la dérive. La grande offensive masque la déroute mais aussi une situation dont nous risquons de ne pas nous remettre.

    Je vous souhaite une bonne fin de semaine.

    A bientôt!

    Ivan Smolenski