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Nouvel Ordre Mondial - Page 57

  • Syrie : la France hors-jeu

    Titre d'un Edito pour qualifier la politique étrangère de la France dans le conflit Syrien. Si ce n'était que dans ce domaine que la France était hors-jeu, il n'y aurait que moindre mal, encore que le problème soit extrêmement sérieux. Mais c'est dans tout les domaines que notre pays l'est.... Pas étonnant avec la bande d'abrutis qui nous dirige, sans parler de ceux qui frappent à la porte pour continuer le massacre.
    Il faut bien se mettre dans la tête que la France n'est plus rien... aussi bien sur le plan économique qu'intellectuel. Cette constante qui depuis un demi-siècle s’efforce de descendre le pays toujours de plus en plus bas, est voulue et programmée par des puissances dites amies, qui nous veulent un mal inouï. Alors que les coups répétés nous tombent dessus de plus en plus fort, il semblerait que la population n'arrive pas à se rendre compte de l'ampleur du mal causé et attende, je ne sais quel miracle salvateur à déceler dans le marc de café ou des entrailles de poulet.

    Pour nous la Pythie fait pitié . Le pneuma d'Apolon ne dit rien qui vaille... l’oracle est particulièrement mauvais et rien à l'horizon laisse filtrer pour nous, la plus petite lueur d'espérance. Le collège des sagouins est plein à craquer, ils se battent comme des chiffonniers pour prendre d'assaut les bonnes places, bien juteuses et bien lucratives, en remerciement des servilités rendues aux grands argentiers internationaux.

    La France est littéralement vendue à qui veut bien l'acheter ! Dans cette maudite transaction le peuple est offert en prime pour usage divers, sans ménagement particulier.

    Voilà comment nos politiques nous ont mené aux abattoirs, sans le moindre remord et avec une facilité déconcertante !...

    Claude Allard
    17 03 16

     

  • La crise mondiale

    La crise mondiale est en action depuis un bon moment et c'est une crise systémique globale qui touche tous les domaines d'activités et tous les systèmes.
    La réponse ne peut donc être que systémique et globale.
    Maintenant et en attendant nous pouvons ici et maintenant régler NOS problèmes. Rien ne nous en empêche : UE, mondialisation (TAFTA), immigration, concurrence déloyale des pays à bas salaires etc....
    C'est en fait l'élément clé de la "subsidiarité" chère à nos dirigeants et à nos économistes actuels : laisser faire les choses au niveau de compétence où il peut être fait. Le Jacobinisme centralisateur c'était sous la révolution ...française :-)
    Francis NERI

    Pierre Le Mével •
    Tant que les économistes, les intellectuels et autres penseurs n'auront pas intégré que l'économie de croissance est arrivée à son terme, à sa fin de cycle naturelle, ils continueront à régir de travers. Faire tourner la planche à billet ( QE = quantitative easing), c''est à dire créer de la monnaie ex nihilo pour l'injecter dans l'économie réelle, c'est à dire combler artificiellement les déficits et les manques à gagner des États et des entreprise, petites ou grandes, ne peut que consituer qu'un remède palliatif, c'est à dire faire en sorte que l'agonie du Système ne soit pas encore trop visible à l'opinion publique ordinaire pour qu'elle ne s'inquiète pas.

    L'économie mondiale est passée successivement par trois phases importantes: première phase: croissance par conquête territoriale, deuxième phase : croissance par innovation technologique, troisième phase : ouverture à la consommation des classes moyennes.
    Dans la réalité ces trois phases ont été concomittantes et il se trouve que toutes sont arrivées en fin de cycle.
    Alors les petits génies de l'idéologie libérale ont inventé une quatrième phase de croissance par l'ouverture à la consommation des classes populaires non-solvables qui est à l'origine de la crise des subprimes.

    A l'heure actuelle, l'économie libérale de croissance est à l'agonie tout simplement parce que plusieurs facteurs aggravants convergent pour la détruire:
    A) la maturité des marchés (équipements des ménages et des entreprises)
    B) le ralentissement dans l'innovation et de l'offre des produits consommables
    C) la concurrence non faussée qui lamine les bénéfices des entreprises et surtout compromet le pouvoir d'achat des employés consommateurs qui, devenant chômeurs viennent peser sur les charges sociales des États dont les dettes explosent
    D) la révolution technologique dans la productique responsable de:
    1) innondation de produits sur les marchés donc on revient en A)
    2) supprimer des emplois pérennes ce qui explique que le chômage explose, reduisant le nombre de consommateurs potentiels.
    3) maturation rapide des niches commerciales (durée de vie de plus en plus courtes)

    En résumé, rien ne va plus dans le monde de l'économie libérale pure et dure et de ce fait dans l'économie réelle.
    Il conviendrait donc réinventer un nouveau modèle économique.
    Mais pour le moment personne n'en veut.

    Cependant, les petits génies du modèle économique libéral disposent d'un dernier atout. C'est celui de déclarer la troisième guerre mondiale laquelle présente le double avantage de
    1) réduire la surpopulation mondiale
    2) de faire un maximum de casse matérielle,

    A la suite de quoi il faudra tout reconstruire suivant le même modèle économique libéral
    Puis dans 50 à 100 ans l'économie libérale étant épuisée, il faudra à l'oligarchie dominante organiser la 4ème guerre mondiale et ainsi de suite. dans un cycle qui se perpétuera jusqu'à ce que les humains comprennent et acceptent enfin d'augmentent leur niveau de conscience.

    Le libéralisme, c'est de la prédation économique. Tant que les humains n'auront pas compris ça, ils n'ont pas fini de souffrir.

    Erulin De La Ranville •
    Il n'y a rien, absolument RIEN de ce qui existe dans l'économie mondiale actuelle qui peut être qualifié de "libéral" : les Etats interviennent tous, à tous niveaux, dans des proportions diverses, sur les marchés, les contrats, l'emploi, etc ... Le libéralisme, c'est l'inverse de ça (libéral = libre = sans intervention autre que les accords mutuels ... pas de tiers, et surtout et avant toute chose : respect des droits naturels de chacun, dont celui de la propriété).

    Dans votre analyse critique (que je partage : la relance de l'économie ne se fera pas - ce coup ci - par encore plus de QE), vous décrivez le collectivisme (dont le socialisme est une forme doucâtre) et/ou le capitalisme de connivence (accords entre Etats et Entreprises contre la libre-concurrence), et non le libéralisme.
    Si vous n'utilisez pas les bons éléments de langages et vous détournez justement d'une des seule doctrine économique qui n'a jamais été appliquée depuis des décennies, la solution risque d'être plus compliquée à trouver.

    Pierre Le Mével •
    Erulin De La Ranville Le libéralisme tel que l'ont théorisé (intellectualisé) des économistes comme Milton Freeman est une chimère qui ne peut fonctionner tant il rend instable les équilibres sociétaux et économiques Le libéralisme c'est la croyance que les marchés libres peuvent s'autoréguler naturellement et la preuve est donc faite que ce n'est pas possible.
    Ce que tout le monde sait, c'est que toute les idéologies politiques du passé ont échoué: socialisme, communisme, collectivisme libéralisme, capitalisme. Il en est de même pour les système de gouvernance, république, démocratie, monarchie, dictature. Pourquoi ? Parce que ces idéologies et les systèmes de gouvernance étaient par nature simplistes. Parce qu'il leur manquait l'essentiel, c'est à dire une fonction cognitive, le bon-sens et une vertu, l'honnêteté.
    Il conviendra aux peuples européens d'avoir le courage de faire un débriefing honnête de toutes les erreurs passées pour les transformer en expérience par synthèse.
    On en est pas encore là.

    Francis Neri •
    Erulin De La Ranville Il me semble ...mais je n'ai peut être pas encore compris que la "crise des subprimes" démontrait à l'évidence l'absence de régulation et de contrôle et que l'auto-régulation çà ne marchait pas ... et vous dites pourtant que l'Etat EST interventionniste, que le "libéralisme" n'existe pas ...j'avoue ne pas comprendre mais je n'ai rien d'un économiste
    Pierre Le Mével Je partage ...je n'avais pas lu votre réponse ...oui l'auto régulation çà ne marche pas ! Commençons donc à réguler et contrôler au niveau et dans les domaines où cela est possible.

    13 03 16

  • Les musulmans

    Réponse à un ami qui se dit prêt à admettre des actes « condamnables » dirigés contre des musulmans et qui nous apporte son soutien

    Merci Ami pour ton soutien. Mais rassures toi il ne s'agit pas "d'actes condamnables » et de plus la guerre contre les musulmans ne peut être gagnée …par la guerre.

    On ne gagne pas une guerre contre Dieu et pour les musulmans la parole de Dieu est immuable, elle est organisationnelle et n'est pas séparable du POLITIQUE.
    Ils ne disent pas "Ce qui est à Dieu et ce qui est à César" pour eux ce n'est pas dissociable.

    Le problème est le suivant : tous les musulmans ne sont pas islamistes radicaux, mais TOUS les islamistes radicaux SONT musulmans …et nous avons vu ce que peuvent faire quelques islamistes radicaux.
    Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils font de plus en plus d’émules et de convertis au djihad parmi les musulmans et ceux qui ne le sont pas encore…De plus en plus de jeunes « Gaulois et Gauloises » recherchent un « idéal » qu’ils ne trouvent plus « chez nous ».

    Pourtant, il ne faut pas tomber dans le piège que nous tendent les islamistes radicaux qui serait de se livrer à des « ratonnades », de bruler des mosquées ou de mettre le feu aux voiles des musulmanes. Ce serait un premier pas vers la guerre civile inter ethnique ; pensons à l’ex Yougoslavie et au Liban.

    C'est donc notre attitude et notre comportement de fermeté sur nos principes, nos intérêts, nos codes nos valeurs vis à vis d'eux qui nous permettra de sortir de l'impasse.

    C'est à nos "zélites" actuelles et précédentes (pour les empêcher de revenir) qu'il faut s'en prendre et si possible les écarter par la voie électorale…car pour ces élites mondialisées qui ont perdu le contrôle et jouent aux apprentis sorciers, les musulmans sont des "outils" qu'elles utilisent contre nous pour nous "normaliser", nous « formater».

    Elles nous conduisent vers l'impasse de la guerre civile, voire mondiale et çà peut commencer dés demain par exemple entre Poutine et Erdogan…

    Reprendre la main politiquement sur le terrain (et y rester) par des manifestations pacifiques et de désobéissance civile, c'est l'objectif de NOTRE action et pour l'instant politiquement, seule MLP semble en position de nous aider à prendre ce chemin …mais je sais aussi qu'il faudra la dépasser.

    La réponse des musulmans aux problèmes qu'ils se créent en jouant le jeu du "système" appartient aux musulmans.
    La question, pour nous, est simplement de maintenir NOTRE territoire hors de leur portée en attendant une hypothétique évolution de leur part comme l'ont fait à un moment donné les Chrétiens et les Juifs.

    A eux de savoir s’ils veulent disparaître, eux et leur culture, ou s’ils veulent intégrer une humanité dont ils ne font déjà plus partie et qui se passera d’eux sans problème.

    Et c'est sur le chemin de la "mémoire " retrouvée, de l'identité culturelle et cultuelle qu'il nous faut revenir, bref éduquer et socialiser, réguler et contrôler, selon nos normes à nous et pour l'immédiat protéger et sécuriser les plus faibles d'entre nous …et ce dernier point qui serait le devoir de l’Etat régalien est le plus important ; alors, d’une manière ou d’une autre constatant la carence du gouvernement actuel, il va nous appartenir d’y remédier.

    Voilà pour l'essentiel de notre « combat ».

    Amitiés à tous

    Francis NERI
    Institut Européen de Socialisation et d’Education
    IESE67@gmail.com
    20 02 16