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Le systémicien - Page 323

  • Les systémiciens et la liberté.

    Il y a des moments dans l’histoire ou les digues se rompent. Eh bien, nous y sommes : dans le mur, à nouveau au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio !

    Un Homme qui ne perçoit la réalité que quand elle lui fait mal !

    Dés que nous prenons conscience des faits et de leurs relations, que nous sortons de nos désirs de consommation et de copulations nous constatons que le barbare c’est aussi nous !

    Depuis 60 ans, nous voyons arriver le point de non retour et nous ne faisons pas grand chose pour l’éviter. Nous avons laissé ce monde devenir incontrôlable et certains d’entre nous l’ont voulu ainsi.

    Seul celui qui domine la parole et les forces chaotiques qui s’agitent sous le langage, échappe à la nouvelle barbarie. Il est « civilisé » dans la guerre comme dans la paix

    L’idée essentielle de ce groupe est de « civiliser » le plus grand nombre possible d’Humains.

    Il signifie que la compréhension du « système mondial » dans sa totalité est aujourd’hui envisageable.

    Le comportement de l’ensemble terrestre « global »  serait alors prévisible. Il suffirait d’observer le passé et d’agir au présent en inventant le futur.

    Mais jusqu’à présent, devant la puissance des instincts et des émotions incontrôlées, que pouvions nous faire ?

    Probablement pas grand-chose, sinon attendre, faire le dos rond et aller cultiver son jardin !

    Aujourd’hui, nous avons l’informatique pour éclairer la caverne, disait dans les années 70 Henri Laborit dans son merveilleux ouvrage : « La nouvelle grille ».

    Il nous invitait déjà à décoder le message humain, car les attitudes et comportements, comme les gènes, président à la destinée humaine.

    Qu’avons-nous fait depuis les années 70 ? Avons-nous trouvé les moyens d’y parvenir enfin ? Qu’avons-nous été et que sommes nous devenus ?

    Avons-nous su, à l’aide des merveilleuses technologies qui s’offrent à nous, comprendre la connectivité du monde et la réalité des rétroactions et sommes-nous parvenus à acquérir la maîtrise de notre destin ?

    Pour le savoir, prenez la route avec les « Systémiciens ». Vous êtes, peut-être, sur le bon chemin. Mais, surtout, n’oubliez pas que tout ce dont nous avons besoin n’est nulle part en dehors de nous même.

    Un « systémicien » sait qu’il nous faut construire un monde commun car un monde fragmenté produits toujours des effets de barbarie.

    Un mode commun ne signifie pas un monde « communiste », ni même « libéral » au sens étroit qu’on lui donne à présent, mais un monde divers et plein de « singularités »

    Pour participer à la construction des singularités nationales et internationales et les rendre cohérentes entre elles, il utilise l’Analyse Systémique afin d’appréhender les évènements des 50 dernières années et en projeter les conséquences pour un « futurible » angoissant, enfin révélé au plus grand nombre par la crise écosystémique.

    Il  estime que surviendront des dommages irréversibles de moins en moins improbables si l’on persiste à associer causalité et chronologie dans les réponses aux défis qui, nous sont adressés.

    Alors pour quelles raisons ne pas prendre les devants ? Pour quelles raisons ne pas aller à grands pas vers ce futur en toute conscience. 

    Nous pourrions, au présent, le penser, le préparer, l’emménager, créer du « temps potentiel ». Quand on sait que la prochaine évolution sera culturelle ou ne sera pas, nous pouvons penser qu’il est grand temps de prendre en main notre destin et de ne plus le laisser entièrement au hasard ou à la nécessité.

    Nous ne pouvons en effet « identifier » la crise actuelle avec les précédentes car notre réponse serait inadaptée.

    Cela consisterait à faire plus de la même chose, et le désastre serait au bout.

    Pour l’instant chacun des « systèmes en interaction » tente d’apporter des réponses à son niveau de compréhension d’expertise et d’intérêt pour leur domaine, sans trop se soucier des interventions positives ou négatives qui sont provoquées. 

    Ces systèmes ont perdus leur capacité d’auto régulation, de contrôle et de capacité à corriger les écarts ou les déviances.

    Réguler, contrôler, corriger au niveau de  la démographie, la finance, l’économie. Procéder à une juste utilisation et affectation des richesses produites.

    Éduquer, former, socialiser…

    Voilà la finalité et l’objectif.  

    Il est à notre portée et nous en avons les moyens !

    12 04 14

    Francis NERI

    Président de L’IESE

    Collectif Racines 

  • Eduquer, socialiser, assimiler.

    La France est soumise à système libéral extrémiste qui la détruit volontairement. Le corps et l’âme de la nation sont menacés à la fois. Ce qui est grave, c’est cette plaie sociale qui n’en fini plus de ne pas guérir
    L’unité profonde de la nation ne dépend pas seulement de la « justice sociale » Elle est aussi le fruit de la valeur morale des citoyens.
    L’éducation, la socialisation, l’assimilation revêtent une importance primordiale.
    Sans nul doute, c’est aux familles qu’appartiennent le devoir et la responsabilité d’éduquer nos jeunes gens et nos jeunes filles. Mais il faut les y aider ; en particulier ceux des parents qui, venant d’autres pays et d’autres cultures, seraient eux aussi à éduquer et A-culturer !
    C’était à l’Etat et aux collectivités publiques d’assurer cette mission et de former des éducateurs spécialisés.
    Nous avons besoin d’enseignants capables d’intervenir au sein des trois pôles de l’Education : l’école, la famille, les institutions et les associations du temps libres afin de ne pas laisser la « rue » et les communautarismes, éduquer et socialiser nos enfants.
    Rien n’a été fait, volontairement très probablement. L’on voit en conséquence des adultes qui refusent tout enseignement qui ne soit de leur communauté d’origine et leurs enfants ne savent même plus à quelle culture ils appartiennent.
    Notre responsabilité de citoyens Français, d’origine ou pas, est de remettre en cause les lois sur l’enseignement dans l’école publique qui doit retrouver son rôle d’éducation et de formation à NOS pratiques, NOS codes sociaux, NOS règles, NOS valeurs et mettent en lumière les aspects positifs de notre histoire plutôt que d’en valoriser les seuls aspects négatifs.
    La liberté d’enseignement doit s’y retrouver. L’intérêt public également et les écoles libres doivent avoir toute leur place et recevoir de justes ressources.
    En amenant les Français de bonne foi à s’accorder sur une éducation ainsi aidée, nous pourrons enfin servir l’unité nationale, la France et les Français.
    C’est un axe essentiel du projet de Marine Le Pen, il s’inscrit dans une organisation : Le Collectif Racines.
    Il est souhaitable que vienne rapidement le temps où nous pourrions le voir s’inscrire comme incontournable dans le paysage éducatif et socialisant de la France.


    Francis NERI
    Président de l’Institut Européen de Socialisation et d’Education (IESE)
    Membre du Collectif Racines

  • Défense des valeurs morales

    C’est au nom de l’Égalité que la « théorie du genre » s’impose dans nos écoles avec l’ambition proclamée de « briser les stéréotypes », c’est-à-dire la différenciation sexuelle. La société civile s’en est alarmée et elle s’est mobilisée, en plaçant le débat sur le plan de la défense des valeurs morales.
     
    Çà a commencé dans les années 1950 à partir du Rapport de l’américain Alfred KINSEY, nous dit Marion SIGAULT auteur de la marche rouge et A l’ombre des lumières.

    Avec la « théorie du genre » que ce rapport a directement inspirés, nous sommes au bout de « la révolution sexuelle » qu’il n’a cessé de promouvoir et que nos adversaires ont utilisés pour nous réduire.Ce rapport à complètement bouleversé l’Amérique, l’Europe, le monde.

    Il raconte qu’elle serait selon KINSEY la véritable vie sexuelle des Américains.

    Ce rapport a tout déclenché et rien depuis n’a pu arrêter le cours de cette révolution. Mai 68 en fut l’expression en France ! 

    Hors ce rapport qui souhaite que les enfants aient une vie sexuelle à partir de trois ans et qui favorise la pédophilie est basé sur une étude volontairement falsifiée, commandée par la haute finance américaine (Rockefeller).

    La vérité qui en a émergée a été traumatisante pour l’Amérique qui n’avait pas d’elle l’image que lui renvoyait le rapport :

    Un homme sur 10 avait des rapports homosexuels réguliers.

    Qu’un homme sur deux trompait sa femme.     

    Que deux hommes sur trois allaient voir des prostituées.

    Ce n’était pas du tout l’image que les américains avaient d’eux-mêmes.

    Sur les femmes :

    La moitié des femmes avaient des rapports sexuels avant le mariage

    Un quart des femmes étaient adultères

    97 % des célibataires avaient avorté !

    Alors puisque c’est ainsi, que la science le dit, pourquoi ne pas continuer au grand jour et à plus grande échelle, sans tabous ?

    Ce rapport a déclenché ce que l’on a appelé la « libération des femmes », l’autorisation de vivre enfin sans entraves, l’existentialisme.

    Disposer librement de son corps, faire l’amour avant, pendant et après le mariage avec qui je veux, quand je veux. Place à la pilule et à l’avortement comme acte banalisé, à l’arrivée de la pornographie, à l’accès au travail à la chaine comme les hommes et à l’égalité sans la complémentarité.

    A partir de là, la législation s’est adaptée. On n’a plus poursuivi les délinquants sexuels comme auparavant. On en a fait des victimes de la société, ils devenaient ainsi amendables.    

    Le modèle de la loi pénale qui fut adopté après 1955, était basé sur les recherches de KINSAY Une charte fut rédigée décrivant comment ses recherches pouvaient intégrer le code pénal.

    C’est là que des plaintes d’abus sexuels provenant de familles et d’enfants furent retirées ainsi que des protections en amont.

    Kinsay fut déclaré et accueilli comme le meilleur esprit scientifique de l’époque sur la sexualité (travaux repris en France par F. DOLTO).

    Il fit référence sur l’éducation des enfants et que ceux-ci  pouvaient avoir des relations sexuelles dés le plus jeune âge avec des adultes et des incestes.

    Donc il fallait diminuer l’âge légal du consentement, ce qui fut fait.

    A partir de ce moment il travailla à faire en sorte que tout devienne le plus légal possible.

    Et ma foi il y réussit assez bien et « l’institution » malgré qu’il fut démontré que l’étude avait été réalisée à partir de délinquants en prison et de marginaux, s’en empara afin de satisfaire ses objectifs de mondialisation libérale pour lesquels il lui faut des individus décervelés, profondément individualistes, égoïstes et livrés à leurs seules passions …qu’elles qu’elles soient !  

    C'est donc en MODIFIANT profondément et dans le temps, les attitudes (donc les représentations) et les comportements (qui découlent des représentations) des individus que le pouvoir a pu, ensuite, faire de nous ce qu’il voulait pour son profit, son clan ou sa caste. 

    Et il n’a pas fini si nous le laissons faire. C’est la raison pour laquelle nous, en France et en Europe, nous ne pouvons résoudre le problème de fond qu’en revenant sur NOS fondamentaux éducatifs ET socialisants. D’où l’intérêt du collectif « Racines » de Marine Le Pen.

    Notre engagement dans son sein sera d’une grande utilité pour reconstruire notre avenir culturel, car nous pourrons intervenir DIRECTEMENT dans le milieu scolaire, familial et dans les associations et institutions du temps libre, au sein des organisations afin de refaire le travail inverse c’est à dire re-former, re-socialiser, re- assimiler, re-définir ce qu’est NOTRE culture, notre identité, re-inculquer nos codes, nos valeurs, les éléments de vie qui sont les nôtres.

    Nous avons devant nous un immense  travail : récupérer le terrain politique, économique, social. Celui des institutions, de l’administation,  de l’école, de la famille, du périscolaire. Le terrain associatif, culturel et cultuel 

    Former, éduquer, socialiser, intégrer, assimiler. Inculquer nos codes, nos valeurs, nos références identitaires.
     
    N’attendons pas demain c’est aujourd’hui, ici et maintenant qu’il faut s’y atteler avant qu’il ne soit trop tard.
     

    06 04 14

    Francis NERI

    Président de L’IESE

    Membre du collectif Racines