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un cygne noir

  • Approche systémique

    François, le Poverello d’Assise, engageait ses auditeurs à ne juger personne, faute de connaître tous les aspects d’une conduite, toutes les motivations d’un acte.

    C’est déjà un conseil quelque peu dangereux à suivre dans la vie courante.

    Il est impossible d’appliquer ce principe en histoire, en politique, dans les affaires où l’on doit, bien au contraire, tenter de se forger une opinion sur un personnage ou sur une époque, sur un politicien, sur un chef d’entreprise, en confrontant un maximum de points de vue, évitant par-dessus tout de les considérer de façon simpliste.

    Rien n’est compliqué, mais tout est complexe !

    - S’élever pour mieux voir
    - Relier pour mieux comprendre
    - Situer pour mieux agir

    FCN

     

  • Marion la terreur de Macron

    Nul n’est besoin d’être un grand politologue pour comprendre que la campagne pour les présidentielles vient de connaître un tournant qui peut être décisif : ce tournant concerne l’entretien que Marion Maréchal vient d’accorder au journal Le Parisien.

    Dans cet entretien, Marion déclare tout de go que se réinvestir en politique est quelque chose qui la « titille » depuis des mois, et que ce réinvestissement ne pourrait se faire du côté de Marine, mais pourrait se faire du côté de Zemmour.

    Dans ce que l’on appelle actuellement « la chasse aux ralliements », chaque candidat fait feu de tout bois. Valérie Pécresse a obtenu le séduisant ralliement du très séduisant Jean-Christophe Lagarde, patron de l’UDI, dont les meilleurs idées consistent à amasser chez lui des armes de guerre et à vouloir mettre deux balles dans la tête d’Éric Zemmour : on a les ralliements qu’on mérite.
    Plus intelligemment, Zemmour rallie peu à peu des têtes du Rassemblement National, comme l’emblématique Gilbert Collard, ou des têtes des Républicains, comme le non moins emblématique Guillaume Peltier : les prises sont bonnes, incontestablement. Mais un ralliement de Marion ne serait ni une « prise », ni une « bonne prise » : cela serait une révolution. Pourquoi ?

    Tout d’abord, la notoriété de Marion, ainsi que sa popularité, sont suffisamment grandes pour que l’on ne puisse évoquer le terme de « bonne prise ». Si Marion rejoint Zemmour, ce sera de façon libre, sous ses propres conditions, à prendre ou à laisser : il est fort peu probable que Zemmour ne se plie pas avec bonheur aux conditions de la très volontariste Marion.

    Ensuite, au moment où Macron descend peu à peu dans les sondages, et où Zemmour, Le Pen et Pécresse se tiennent dans un mouchoir de poche, la déflagration Marion risque de changer fondamentalement la donne, en faisant bondir Zemmour dans les intentions de vote. Car Marion, jeune femme de fer, sait communiquer avec une immense douceur et empathie, et avec un profond respect pour ses interlocuteurs, quels qu’ils soient. Quel atout exceptionnel dans la campagne de Zemmour !

    Pour Macron, cet entretien de Marion avec un journaliste du Parisien lui promet des nuits blanches à répétition, car l’éventualité d’un ticket Zemmour-Marion se traduirait très probablement par un second tour Zemmour-Macron, au cours duquel un débat entre ces deux candidats pourrait sonner la fin de la vie politique du grand déconstructeur qu’aura été l’actuel président de la République.

    Zemmour chamboule tout le jeu politique depuis six mois. Marion va chambouler tout le jeu politique dans les huit semaines à venir. Ce grand jeu de « chamboule tout » est particulièrement réjouissant, et réveille l’espoir.

    François Billot de Lochner

    28 01 22

  • Les journaleux et Eric Zemmour

    Ils sont presque tous des clones les uns des autres  déformés dans des écoles privées de « communication » où prédomine l’idéologie bobo écolo islamo gauchiste.
    Imbus d’eux mêmes, croyant constituer une caste détenant une partie des leviers du pouvoir alors qu’ils n’en sont que des loufiats de luxe, même chassant en meute ils ne font pas le poids quand ils sont confrontés à quelqu’un qui les surclasse comme «  Z »
    Notre peuple est submergé, notre histoire bafouée, notre identité tournée en ridicule, notre économie démantelée et notre culture niée. Nous avons rendez-vous avec l’histoire, mais dans quelques mois, il sera trop tard pour pleurer sur notre sort.
    Alors fini les états d’âme, les hésitations en fonction des « sondages », ils ne sont que l'expression des sondeurs et de ceux qui les commandent.
    Tous avec Eric Zemmour ; il est la France que nous attendons depuis 1969 Le temps est venu de la reconstruction.

    Cygne Noir

    Francis-Claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/