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  • Intelligence collective

    Les blogs constituent un moyen de filtrer "l'intelligence collective", dont la qualité globale augmente via un processus de filtres entre pairs.

    Mais ne faut-il pas aller plus loin ?

    Ne faudrait-il pas essayer de faire sortir les techniques propres au monde en ligne pour les appliquer aux mondes réels, notamment aux institutions ?

    Le texte ci-dessous extrait du blog d'une femme engagée, dont je tairai le nom, est évocateur du réveil d'une « intelligence collective. Le tout est de savoir ce que nous allons en faire.

    Une révolution en marche

    Les Islamistes sont conditionnés par l'effroi et le fatalisme qui sont les deux  mamelles de l'islam. Quand ma voisine tunisienne dit "c'est interdit" (haram) elle roule les yeux de terreur comme si l'enfer était devant nous. Chacun doit se libérer de ses conditionnements : c'est le sens de la vie.

    On ne peut libérer les musulmans de leur prison mentale : ils devront le faire par eux-mêmes.  Malheureusement, seul un être libre sur le plan de la pensée et ouvert à l'auto-critique pourrait le comprendre et eux ne le sont pas.

    Nous sommes donc dans une impasse, en conséquence, notre devoir est d'empêcher la contamination et défendre nos valeurs de liberté, d'égalité de fraternité et de laïcité.

    Le temps n'est plus à la compréhension, à l'explication, à la compromission. Nos « élites » devront entendre le message du peuple très rapidement :

    Nous ne voulons plus de cet Islam sur notre territoire,

    Nous ne voulons plus de femmes voilées,

    Nous ne voulons plus de Burka,

    Nous ne voulons plus de Quick hallal,

    Nous ne voulons plus d'indigènes de la République,

    Nous ne voulons plus d'islamo-gauchistes traîtres à la nation,

    Nous ne voulons plus de polygamie,

    Nous ne voulons plus de Tarik Ramadan,

    Nous ne voulons plus entendre parler de la Turquie dans l'Europe,

    Nous ne voulons plus entendre des porteurs de valises crier leur haine d'Israël,

    Ce que nous voulons :

    Nous voulons que nos dirigeants s'attaquent aux imams et autres chefs religieux, véritables gourous qui profitent de l'extrême naïveté et du manque de culture et d'esprit critique de la plupart des musulmans pour asseoir leur autorité, qu'on les mettent devant la possibilité de choisir entre la « valise ou le cercueil ».

    Nous voulons qu'ils balayent les rues de la République, en particulier à Paris le vendredi vers 14 h.

    Nous voulons qu'ils passent les zones de non-droit au Karcher, et qu'ils renvoient d'où ils viennent les « Roms »,  Les Manouches et autres gens du voyage.

    Nous voulons qu'ils rétablissent l'autorité et la sécurité dans nos écoles ; que soit enseignée l'histoire de notre pays sans repentance et sans flagellation, que les sociologues Bourdieu et Mérieux, soient mis aux oubliettes avec leur pédagogisme et que leurs noms soient mis sur la liste des traîtres à la nation.

    Nous voulons qu'y soient également inscrits  ceux de Valérie Giscard D'Estaing et Jacques Chirac, responsables d'avoir vendus la France pour quelques barils de pétrole et accepté l'invasion de notre pays.

    Nous voulons que soit mis fin au regroupement familial, et que tous les sans papiers soient reconduits dans leurs pays

    Nous voulons que les aides sociales soient réservées aux Français, de toutes origines, qui respectent les valeurs, les lois et les codes sociaux de la République.

    Nous voulons que les associations qui portent atteinte au crédit de la France et à ses valeurs soient purement et simplement interdites et leurs dirigeants soient poursuivis pour atteinte à la sûreté nationale.

    Nous voulons tout cela et bien d'autres choses encore et, ma foi, si vous ne voulez pas nous entendre, nous irons le chercher nous mêmes et alors tremblez pour votre avenir.

    Michèle X

     

     

     

  • Mémoire, histoire et identité

    « Les républicains que nous sommes assistent depuis des années au déchirement du tissu social, à la contestation de nos valeurs, issues des Lumières, à la remise en cause des fondements de la République française, la liberté, l'égalité, la fraternité et la laïcité ».

    Résistance Républicaine

    C'est par ces paroles fortes et identitaires, auxquelles je m'associe, que Christine Tasin, Présidente de Résistance Républicaine introduit son invitation à rejoindre cette association.

    Certains d'entre vous m'ont fait part de leur hésitation, disant ne pas se retrouver dans cette définition limitée des « valeurs ».

    En effet, l'histoire est un instrument d'identification Nationale et une association comme Résistance Républicaine ne peut l'ignorer, au risque de se priver du soutien de ceux qui estiment que l'histoire des valeurs de la France ne commence pas aux lumières et à la révolution Française.

    Mémoire et identité, c'est un peu la même chose et, un peuple que oublie son Histoire est un peuple perdu. « Ceux qui ne frissonnent pas  à l'évocation du baptême de Clovis et de la fête de la fédération de 1790 ne comprendront jamais l'histoire de la France » a dit Marc Bloch.

    De plus en plus tournée vers la seule lecture culpabilisante du passé et cet éternel esprit de repentance, plus que jamais, notre nation a besoin d'identification dans la totalité de son histoire pour intensifier son union et consolider une culture qui, comme toutes les autres, est basée sur des valeurs d'autant plus respectées, qu'elles seront portées avec fierté, courage et honnêteté, par ceux qui en sont dépositaires.

    La France a, au moins, un double héritage : le premier, catholique et royal; le second, révolutionnaire et laïque.

    Je ne suis ni vraiment catholique, ni royaliste, mais ces valeurs comme celles d'origine gréco-romaine, puis judéo-chrétiennes ont laissé des traces indélébiles dans la structuration de mon identité, et je suis adhérent de Résistance Républicaine

    Je tenais à vous le faire savoir

    Bien à vous

    Francis NERI

     

     

  • Mon dernier « Nouvel observateur »

    Voilà, c'est fini, je renonce à acheter et lire « Le nouvel observateur ». Au commencement, c'était au début des années 80, je l'achetais régulièrement. C'était un « grand format » facile à lire, plein d'espoir, et je croyais encore en une gauche qui apporterait le changement et nous sauverait.

    Je n'étais pas content de Giscard, de son arrogance, de sa méconnaissance du « peuple » malgré ses  airs d'accordéon et, surtout, je lui reprochais son « regroupement familial » et son intention « de vider le programme commun de son contenu ». Quelle idée pour un homme de droite de faire une politique de gauche ?

    Bref nous allions voir ce que cette gauche allait faire !

    Nous avons vu ! Alors j'ai renoncé à lire régulièrement « le nouvel observateur » et j'ai commencé à acheter « le Figaro », pour comparer.

    Je ne vous dirai pas vers qui va aujourd'hui ma préférence, mais à partir du « Nouvel Obs. » numéro 2381 du 24 au 30 juin 2010 je m'abonne au Figaro. Il y a dans ce journal un type que j'aime bien : Yvan Rioufol et dans « l'autre » un type que je déteste : François Reynaert.

    La cause de mon courroux ? Sa chronique intitulée : « Le fond de lard effraie ». Il s'en prend directement à moi et me traite de « nervi d'extrême droite » et pourquoi ? A cause du « saucisson pinard » et avec des expressions comme « panzers division » ou « petite saloperie gestapiste »

    Et voilà, je suis un nazi de la pire espèce parce que j'ai osé soutenir cette initiative. Faut-il que je sois un individu dangereux pour mériter une telle appellation ?

    Vais- je le poursuivre pour insultes raciales, stigmatisation ou laisser tomber ? Ce type qui n'est certainement jamais sorti de son statut de bobo islamo gauchiste est probablement un de ces « porteurs de valises » qui fait bien rire ses amis islamistes auprès de qui il s'incline si bas.

    Ce type m'accuse encore « d'avoir fait main basse sur des valeurs qui ne sont pas à moi » Alors là c'est trop !

    Monsieur François Reynert, je vous méprise, personnellement, totalement et hermétiquement et je souhaiterais fort que Mon « Nouvel Observateur » celui que j'aimais jadis et qui hélas n'existe plus, vous vire comme un malpropre, je consentirai peut être à le relire de temps en temps.

    Francis NERI