Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Doit-on rendre le vote obligatoire ?

    Dixit  « ce grand républicain », Thomas Thévenoud (il faut comprendre l’inverse mais je ne souhaite pas de procès en diffamation).

    Jean Moulin s’est fait trucider par la Gestapo pour assurer notre liberté et l’émergence du programme du CNR (le Conseil national de la résistance), héritage sur lequel l’ensemble de notre classe politique « pisse » consciencieusement dessus.

    Refuser de voter est aussi une forme de vote, un vote de défiance à l’égard d’une classe politique qui ne s’occupe plus depuis bien trop longtemps du sort du peuple de France.

    Comment peut-on mettre à l’amende des citoyens refusant de voter pour une caste refusant  de payer ses impôts comme n’importe quel citoyen sous prétexte d’amnésie fiscale ?

    Comment des députés, incapables de faire le ménage dans leurs rangs, peuvent-ils avoir l’outrecuidance de proposer une loi pénalisant mes compatriotes refusant de légitimer ce système ? Comment cela peut-il seulement leur venir à l’esprit ?

    Parce qu’ils feront tout pour sauvegarder LEUR système !

    Voilà la logique de cette proposition de François de Rugy, le coprésident du groupe écologiste à l’Assemblée nationale qui va déposer un projet de loi pour lutter contre l’abstention !

    Charles SANNAT

    Moi je vais voter oh que oui !  Et je donne une consigne de vote et une seule : VOTER pour les candidats Front National ou RBM ! Tous les autres se moquent de nous.
    Il faut expliquer aux acolytes de Valls, Hollande, Sarkozy et toutes leurs équipes de bras cassés que la lobotomie préfrontale peut supprimer leur angoisse et la lobotomie amygdalienne empêcher la douleur qu’ils vont ressentir au premiers coups de pieds aux fesses.
    Nous allons bien rire, nous ne sommes plus angoissés car nous croyons au changement, et nous luttons contre la souffrance en organisant NOTRE tissu social.

    Francis NERI

    13 09 15    

  • Des actes monstrueux

    Seuls les « islamistes » peuvent ils en commettre ? 

    Finalement lorsque l'on examine avec un peu de recul notre situation, économique, sociale, sécuritaire, et que nous la comparons à d'autres, nous pouvons considérer que nous ne sommes pas mal placé pour opérer une inversion totale de tendance.

    Nous nous rendons de plus en plus compte que les pensées simples, si elles semblent claires, sont le plus souvent fausses.
    Les causalités linéaires n'existent pratiquement jamais, c'est un ensemble de forces hétérogènes qui convergent pour provoquer un effet ou l’atténuer.
    Certains, enfin, admettent cette pensée systémique qui donne la parole à des disciplines différentes et associés.
    D'autres, hélas, préfèrent des explications linéaires qui donnent des certitudes :
    Par exemple : "L'islamisme, la violence au sein de nos cités s'expliquent par la stigmatisation et le racisme exercés par les Gaulois depuis de trop nombreuses années" 
    Ou d'autres encore :"Pas du tout c'est le capitalisme prédateur qui est responsable"
    Chacun trouve son compte dans SES explications mais la réalité mouvante ne peut être réduite à une formule.
    Finalement l'expérience m'a enseigné que la gauche, l'islamisme et le grand capital ne sont pas en conflit et que nous sommes comme toujours les dindons de la farce.
    Finalement, au-delà des idéologies et des intérêts personnels de « certains », deux grands "espaces" de résolution des problèmes s'ouvrent à nous.

    L'éducation ET la socialisation
    La régulation, le contrôle et la remédiation sur des éléments comme :

    • la financiarisation,
    • l'économie globale, 
    • la démographie.

    Pour faire court …et çà résoudrait pas mal de problèmes

    Il faut espérer que Marine Le PEN prenne ce chemin. C'est me semble t'il le plus prometteur même s'il est le moins fréquenté.

    Francis NERI
    11 03 15

  • Vocabulaire UMPS

     

    Un texte bien pensé transmis par un ami Facebook  et que je diffuse avec plaisir. Il me semble correspondre à la réalité !

    §

    Les mots Apartheid et Ghetto sont venus s’ajouter, récemment, aux éternels : Discrimination – Victimisation.

    La liste employée est longue chez ces gens-là donneurs des leçons de morale. Ne viennent-ils pas de réinventer la mixité sociale ?

    Si nous leur rappelions la réalité ?

    Dans les programmes de construction de grands ensembles d’il y a quarante-cinquante ans, on compte un certain nombre de logements dits sociaux, gérés par les mairies ou les offices de HLM, les autres étant la propriété des promoteurs de ces monumentales et, parfois, hideuses cités.

    Qui achetait et qui louait ?

    -Il y avait ceux qui acquéraient pour en retirer un revenu locatif.

    -Beaucoup de Français de souche européenne (nous les nommerons, ici, FSE) se sont endettés, souvent, pour acquérir leur résidence principale. Ils devenaient propriétaires d’un appartement hypothéqué par les organismes bancaires. C’est à l’époque de Giscard que les premiers prêts conventionnés ont été créés pour inciter les citadins à migrer en milieu rural, souvenez-vous.

    -Et il y avait ceux qui n’avaient pas les moyens d’acheter mais pouvaient obtenir, par les municipalités, un logement en location à prix honnête, plus confortable que ceux dans lesquels ils vivaient, souvent à l’étroit et dans des cadres pas si odieux que cela, avec parc ou jardin d’enfants, desservi par des transports en communs, proches des écoles et des commerces, etc…

    Cela faisait le bonheur de tout le monde tout en permettant de désengorger les villes et les FSE, locataires et propriétaires, vivaient en bonne intelligence.

    Mais voilà que la politique du regroupement familial des mêmes Giscard et Chirac change la donne.

    Il faut loger les milliers de familles immigrées venues rejoindre le père ou le frère ou le grand père venues des pays d’Afrique subsaharienne ou du Nord. (Nous les nommerons FSA et FSNA, ici).

    Que s’est-il passé dès lors que les portes de ces cités radieuses leur ont été ouvertes ? Ils se sont regroupés en fonction de leur pays d’origine, de leur culture, voire même, de leurs villages ou de leurs clans familiaux, aidés en cela par nos services sociaux et associations de gauche qui voyaient, là, une manière d’apaiser l’éloignement du pays. Il est bien connu que lorsque une famille FSA ou FSNA arrive dans un quartier, un bâtiment ou un village, dix tentent de les rejoindre jusqu’à obtenir leurs places aux côtés des premiers arrivés.

    Sauf que… Réunis, ils ont continué à vivre comme dans les douars ou les villages africains, imposant aux FSE leurs us et coutumes, leurs familles nombreuses et tout ce qui va avec.

    Peu à peu, les FSE ont déserté ces cités et ont été, systématiquement, remplacés par les FSA et FSNA toujours demandeurs, qui y trouvaient leur compte. Et nos cités radieuses se sont vite transformées en cités de la joie… façon Calcutta, hideuses à souhait.

    Aujourd’hui, Valls parle d’apartheid. Il est fou. Nous ne les avons jamais regroupés ni maintenus à part.

    Ils se sont installés, mixés, volontairement et ils ont, eux-mêmes, créé leurs ghettos. Alors, quand nous l’entendons parler de la mixité sociale à recréer, ça peut faire rire certains ou faire froid dans le dos des FSE en demande de logement social.

    Quant à croire et faire accroire qu’ils sont défavorisés, discriminés parce que réunis dans ces cités, il y a une énorme mauvaise foi patentée de la part de ces politiques puisque ce sont ces immigrés, eux-mêmes, qui l’ont voulu ainsi.

    Les FSE ne font plus, depuis longtemps, des familles nombreuses. Dans leur culture, deux ou trois enfants sont le maximum qu’elles puissent élever décemment… et encore !

    A l’inverse, les familles FSA et FSNA ne connaissent que peu ou pas la contraception que ce soit par conviction religieuse ou non. Elles forment, en moyenne, des familles comptant six enfants voire plus.

    Il en est résulté une surpopulation dans ces cités où la jeunesse grouille d’ennui dès que la scolarisation n’est plus obligatoire. Et quand des jeunes s’ennuient, ils font n’importe quoi.

    On l’a pu constater, dans les cités périphériques des villes de France, cela va du trafic de drogue au commerce des armes en passant par les vols à l’arraché ou les vols par effraction jusques et y compris les assassinats et autres règlements de comptes que la France connait depuis quelques années.

    Il est évident que, aujourd’hui, dans ces cités, les gens vivent mal. Le sentiment de victimisation que les bienpensants leur ont inculqué en a fait des rebelles repliés dans des zones incontrôlables appelées, aussi, zones de non droit. La situation internationale ne faisant rien à l’affaire, les apprentis terroristes s’y sont multipliés là où les recruteurs rencontrent un terreau fertile.

    Ceci est la réalité. Alors, qu’espère donc obtenir notre gouvernement de gauche en prônant le retour à la mixité sociale, sauf à dépenser plus d’argent que la France n’en a les moyens ?

    Aucun FSE, fut-il le plus pauvre, n’acceptera d’élever ses enfants dans des cités - même neuves - qui deviendront, en très-très peu de temps, des poubelles, ce qu’elles sont aujourd’hui.

    Nombre de familles FSA et FSNA ne veulent rien entendre, non plus. Elles se sont assimilées et ne veulent, pour rien au monde, mélanger leur progéniture à ceux-là. Elles n’ont pas tort, on ne les protège jamais assez.

    Mais alors, exiger de construire de nouveaux logements sociaux, les imposer à d’autres villes, d’autres endroits, sous peine d’amendes comme ils le préconisent, ne pourra jamais être la solution. On voit bien, d’ici, ce que donnerait un tel programme. Refouler plus loin, encore, les FSE et les familles assimilées qui fuiront ces quartiers, ces villages et nombre de demandeurs de logements sociaux, FSE ou autres, qui refuseront de cohabiter avec les familles FSA et FSNA fortes de l’exemple qui leur est, tous les jours, démontré.

    Le résultat est que ce programme, souhaité par la gauche au pouvoir, ne fera qu’étendre les zones de non droits au lieu de les faire disparaitre.

    Nous ne sommes pas en face d’un problème social mais, bien, d’un problème crucial qui est d’ordre culturel et cultuel.

    Et il perdurera tant que la gauche continuera de refuser d’admettre qu’un FSA ou un FSNA n’est pas un occidental et qu’ils refusent, dans leur grande majorité, de s’intégrer ou de s’assimiler.

    La question à se poser est : Faudra-t-il un jour, séparer les villes d’immigrés des villes de FSE comme elles existaient, plus ou moins, dans les anciennes colonies françaises ?

    C’est, pourtant, ce qui existe depuis plus de trente ans mais les gens de gauche et les bienpensants ne veulent pas le voir. Dans toutes les villes françaises, nous avons les cités en majorité maghrébines et africaines ou ce qu’on appelle, les quartiers arabes. Des endroits où, seuls, de rares FSE cohabitent avec eux. Sauf que le grand banditisme et le terrorisme y sont en développement constant. Ajoutez à cela qu’ils y règnent en petits caïds et que, du simple commerçant FSE aux forces de l’ordre, interdiction leur est faite de s’installer ou s’approcher de « chez eux » sous peine de graves sévices.

    Aucun de nos présidents antérieurs et, encore bien moins, ce dernier en exercice, n’a cherché à faire comprendre à ces immigrés qu’ils n’étaient pas des citoyens exceptionnels. Au contraire, ils ont fait preuve d’un laxisme et d’une lâcheté (politique avec les pays arabes, oblige) envers leur incivisme et, même, leurs crimes qui les a confortés dans le sentiment qu’ils étaient intouchables.

    Face à cet état de fait, il faut chercher à résoudre le problème avant que nous ne soyons totalement submergés.

    La République, une et indivisible, est la seule solution au problème. Qu’ils vivent entre eux, si ça leur plait mais en respectant les Lois de la République Française. Tant qu’il y aura deux poids deux mesures qui séparent bien plus ces communautés des Français républicains que la mixité sociale, nous ne pourrons jamais vivre ensemble. Parce que La Loi doit s’appliquer à tous ceux qui vivent en France.

    Alors, que restait-il à ces politiques, de leur esprit du 11 janvier, guignolesque à souhait, pour se maintenir à flot ?

    On savait qu’il y avait une manipulation flagrante de leur part et que leur retournement de veste allait s’opérer rapidement. Mais le scrutin à venir les a obligés à se dévoiler plus vite, encore. Après ces crimes racistes que les Français ont vécus et la pantalonnade socialo du 11 janvier, il leur fallait récupérer les voix potentielles de ces communautés pour éviter la débâcle amorcée et celle de la droite, aussi.

    Que pouvaient-ils offrir, en échange, à ces électeurs-là ? Des paroles… oui, ils n’en manquent pas. Mais il fallait des (projets d’) actes pour essayer de convaincre les zonards et autres immigrés de leur faire confiance. Comme ils ne sont jamais à court de mensonges, Hollande et Valls, pour ne nommer qu’eux, ont pondu la mirifique mixité sociale à venir après avoir dénoncé un apartheid sorti de leur esprit mytho maniaque et les ghettos devenus, pour l’occasion, musulmans.

    Ce qui est infiniment plus grave et doit nous faire réagir rapidement c’est qu’ils sont bien capables de mettre leur projet à exécution ; ils ont encore deux ans pour le faire. Il en résulterait l’extension des zones de non droit dans nos villes et nos villages, surprotégées comme ils le sont aujourd’hui, par une ministre de la Justice, garde des Sceaux faisant preuve d’une affection particulière pour les rebelles et autres indépendantistes antifrançais.

    Français, FSE ! Il n’y a plus une minute à perdre. Si nous voulons sauver notre République, si nous voulons sauver la France, votons vite et bien, dès ce 22 mars.

    Nobeline

    Sud de la France .