Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

contrôle

  • Une approche systémique

    La systémique consiste en un système  d’éléments interactifs formant un tout intégré. Il s’agit de l’identification de structures, de principes fonctionnels et d’approches à travers le système.  A partir de la, il devient donc possible d’organiser les connaissances et savoir faire en modèles afin de les utiliser pratiquement.

    Ainsi, l’approche systémique organise les connaissances et expériences et rend l’action plus efficiente.  A ce niveau, elle est donc différente de l’approche analytique puisqu’elle va au delà de la  configuration d’un problème a partir d’actions séquentielles. 

    L’approche systémique commande des interactions complexes, une interdépendance indispensable entre entités, secteurs et environnements. L’interaction entre les parties est aussi importante que les éléments. Elle est axée sur l’organisation pratique structurée, l’interdépendance et la régulation.

    En tant que méthodologie, l’approche systémique rend possible le recueil, l’organisation rationnelle de connaissances cumulées en vue d’améliorer l’efficacité des initiatives constructives.

    (S’élever pour mieux voir, relier pour mieux comprendre, situer pour mieux agir)

    Il est important de souligner que l’approche systémique est à la fois différente et complémentaire de l’approche analytique. Alors que la première unifie et se concentre sur les parties, l’approche analytique réduit le système dans ses éléments distinctifs afin de les étudier en détail, dans le but de comprendre les interactions entre eux.
    D’autre part, l’approche systémique étudie les effets des interactions tandis que l’approche analytique se concentre sur la nature des interactions.
    Du même coup, l’approche systémique met l’accent sur la perception générale, l’ensemble, alors que l’approche analytique précise les détails. De plus, l’approche systémique est pluridisciplinaire et l’approche analytique juxtaposable. 

    D’autre part, l’approche systémique conduit vers l’action via des objectifs. Tandis que l’approche analytique amène vers l’action programmée en détail.

    Finalement, l’apport du systémique et de l’analytique peut se caractériser comme étant la connaissance d’un tout et celle des détails qui se rejoignent pour l’approfondissement, le progrès et la réussite d’une action.

    Ainsi donc, la complexité de l’approche systématique nécessite une application générale. Elle ne peut-être utilisée de façon sélective pour la résolution d’une problématique « isolée ». Elle doit tout aussi englober les « constructions » sociale, politique, économique et culturelle etc.

    L’approche systémique transcende le temps, les groupes, les secteurs, les partis, les sexes, les âges, les nationalismes, les religions etc.. Elle classe, par genres, par catégories bien définies des éléments différenciés, un phénomène  d’intégration, de rassemblement, d’assimilation, au sein duquel tout le monde se retrouve, au bénéfice de l’ensemble, de la communauté en général.

    Elle possède toutefois ses prés requis, ses mécanismes d’adaptation et de renouvellement.
    Que ce soit sur le plan social, politique et économique, il est impératif de tenir compte des indicateurs, des tendances, des facteurs clés ainsi que des différents contextes.

    Pourquoi, par exemple, semblons-nous systématiquement en retard d'une crise ? 

    C'est le défi de chaque époque de mutation. : Nous n'avons plus l'intelligence de nos risques et de nos crises, nos savoir-faire sont dépassés. Il est vital de réagir.

    L’approche systémique généralisée peut commencer à mettre fin à la fausse assomption que la mondialisation peut, a elle seule, conduire a la transformation, au développement, a la modernité, à la régulation et au contrôle local/global.

    La première exigence est de bien comprendre le changement de décor. Nous étions habitués à considérer des risques isolés, indépendants, limités, connus, contrôlés, assurés. Nous voici confrontés à des risques de systèmes, à des dynamiques de dislocation de fond.

    Tous les fronts sont concernés :

    Le climatique : désertification, cyclones, incendies, famines, immigration de masse
    La santé : pandémie

    La finance : contagion à l'économique, au social, au géostratégique, au sécuritaire

    La technologie : Tchernobyl
    La guerre : Ukraine, Kosovo, Taïwan
    Etc.

    La deuxième exigence est de cerner les pièges à éviter.

    Cet événement est exceptionnel : « Ce n’est pas çà l’Islam ». « Le changement climatique a toujours existé »
    Ukraine : « La France est à l'abri»
    Immigration : « La France en a besoin »

    Attentats : « d'ici à quelques jours on n'en parlera plus »,

    L'erreur de diagnostic : on applique les réponses prévues, mais en se trompant de sujet.

     

    La troisième exigence porte sur la carte des acteurs à mobiliser. Dans toutes les crises en émergence, il y aura le plus souvent obligation d'intégrer tout à la fois le global et le local ; des acteurs publics et des acteurs privés - notamment les grands opérateurs de réseaux. Mais aussi : les équipes de terrain, les ONG, les populations. La clé n'est pas dans la centralisation simplificatrice. Ceux qui ont su mobiliser, en confiance, leurs équipes, les familles, ont su agir local tout en pensant global échappent aux crises.
    On ne sort pas des crises actuelles, qui viennent fréquemment «par le bas» avec un plan bureaucratique imposé du haut.

    La quatrième exigence est de déterminer au plus vite, moins un plan d'action général que quelques initiatives fortes permettant de remettre des dynamiques qui fassent sens dans un tableau chaotique de plus en plus vibrionnant. Par exemple, au lieu de chercher à «rassurer» les électeurs par des mots leur assurant que «cette fois-ci on peut être cru», on devra tenter de trouver des initiatives partagées permettant de refonder la confiance. C'est le plus complexe dans les nébuleuses actuelles. Eric Zemmour en sait quelque chose

    De quoi s'agit-il ? Quels pièges ? Quels acteurs ? Quelles initiatives ? Ce sont là les quatre points d'entrée de la démarche que nous préconisons pour détecter au plus tôt les signaux (faibles) aberrants (souvent annonciateurs de décrochages majeurs) et venir aider au pilotage lors des grands chocs. Concrètement, l'idée  conduit à la constitution de «forces de réflexion rapide» -Cygne Noir -, des groupes de personnes très diversifiées, placées aux instances de décision, et aptes à se saisir de toute question «impossible». Sur le fond, il s'agit de passer d'une logique de réponses préprogrammées à une logique de questionnements audacieux et de propositions inventives. En France, certaines grandes  organisations et institutions ont systématisé l'usage de cette démarche. Il faut maintenant passer à l'échelon régional, local  et surtout du politique. C'est le défi de chaque époque de mutation. L'urgence aujourd'hui est bien de se mettre en posture de ne pas subir de  nouvelles défaites … et pas seulement électorale.

    FCN
    11 08 22

     

     

  • Régulation démographique

    Régulation démographique

    À défaut d’une régulation démographique urgente de portée planétaire, la prolifération de l’espèce humaine conduira inéluctablement à des réactions sociétales d’une ampleur et d’une violence sans précédents.

    Les crises qui se succèdent, les évènements actuels, la poussée islamique, comme les revendications les plus contradictoires exprimées par la foule partout dans le monde n’en sont que les prémices.

    Démonstration s’il en est que la révolte, pour aussi justifiable qu'elle soit, n’apporte de changement qu’en haut de la pyramide, où se joue une partie de chaises musicales, un pouvoir chassant l’autre.

    Mouvante mais impérissable, la pyramide sociale demeure la même et la masse qui l’habite et croît sans cesse ne fait, à quelques exceptions près, que changer de maîtres ou s’en donne l’impression fugace.

    À défaut de sciences humaines défaillantes, par aveuglement ou calcul, le bon sens et l’observation suffisent pour aboutir à un tel constat.
    La question du comment de cette régulation se pose…il y a des réponses et elles ne peuvent être, dans le contexte actuel, que locales.
    Commençons par sortir de L’UE !

    Francis-Claude Neri
    www.facebook.com/groups/horizon2022/

    http://www.cygnenoir.ovh/

  • Islam deux poids deux mesure ?

    Les occidentaux ont ils un problème avec l’islam ou est ce lui qui a un  problème avec les occidentaux ?
    A l’évidence c’est la seconde branche de l’alternative qui est la bonne. Alors pour quelles raisons serait-ce un crime en occident que de critiquer l’islam comme nous le ferions pour d’autres religions ?
    L’affaire des caricatures nous a démontré qu’il ne fait pas bon de critiquer Mahomet et encore, moins de la caricaturer.
    Le dessin ayant le plus choqué est celui où le turban de Mahomet a été remplacé par une bombe ; arme qui est utilisée par les djihadistes qui se réclament de son enseignement.
    Le problème de la religion musulmane aujourd’hui n’est pas celui de son temps (leVII e siècle) Pour Médine c’était fort « progressiste ».
    Avec le monde contemporain, c’est autre chose et en particulier le fait qu’à partir du XIIe siècle, l’interprétation (l’ijtihad) a été gelée en Islam, bloquant de fait toute réforme.
    Si depuis la Saint-Barthélemy, la religion catholique n’avait pas été réformée en profondeur, elle se serait éteinte en occident.

    Nous voyons bien que les foules musulmanes sont manipulées par des prêcheurs fanatiques et intéressés. Mais au delà des ces manipulations, il existe un fossé culturel extrêmement profond qui se révèle constamment a travers les manifestations hostiles du monde arabo-musulman envers le fonctionnement des sociétés occidentales.
    Ces manifestations sont elles admissibles lorsqu’elles se produisent en France ? Est-il admissible que des musulmans viennent en France massacrer des Français parce que ces Français ne voient pas le monde avec leurs yeux ?
    Au cours de ces quatre décennies passées, la France s’est fait remarquer par une grande générosité dans l’accueil des arabo- musulmans chassés de leurs pays en guerre.
    Si l’ignorance peut expliquer les « mouvements » de foules contre la France dans un pays musulman, on ne peut accepter leur « liberté de manifester et d’assassiner » sur le sol de France.
    Si des musulmans de France, ou en France, ont tellement en horreur les valeurs occidentales de liberté et de laïcité, pourquoi ne leur vient il pas à l’idée d’aller vivre au Qatar ou en Arabie Saoudite ?
    Les a t’on vus descendre dans la rue pour exprimer leur rejet de la « pensée Ben Laden » toujours présente dans NOS cités de non droit ?!
    Les a t’ont entendu protester de l’assassinant d’un opposant dans l’ambassade d’Arabie Saoudite ?
    N’y a t’il pas, en Islam, deux poids, deux mesures dans l’indignation ?

    En France, le droit d’asile politique, héritage des lumières, a été détourné car il est entendu que le demandeur d’asile devait partager les valeurs fondamentales du pays dans lequel il veut habiter.

    Loin de les partager, la plupart les ont rejetés et comme nous avons eu la sottise de leur accorder la nationalité française, eux et leurs enfants retournent ces valeurs contre nous.
    Il est clair en outre que les dirigeants Français comme Européens doivent savoir les défendre eux mêmes sans concession.
    Il est grand temps de faire un choix et les imposer ces valeurs ; ne choisissons plus le déshonneur des concessions pour éviter la guerre, car nous aurons au final le déshonneur et la guerre.
    C’est ce que nous invite à faire Eric Zemmour, alors pour cela choisissons le comme Président en 2022.  
    06 07 21

    Cygne Noir
    Francis-Claude Neri
    http://www.cygnenoir.ovh/

    www.facebook.com/groups/horizon2022/