Guerre civile ethnique
La guerre civile ethnique, comme un serpenteau de vipère qui brise la coquille de son œuf, n’en est qu’à ses très modestes débuts. « Nous sommes en guerre » aiment à rabâcher certains politiciens et journalistes. Ils entendent par là, après les attentats de janvier et de novembre : en guerre contre Daesh et contre une poignée d’islamistes fanatiques.
Non, c’est bien plus grave ; il s’agit, sur le territoire français, d’un affrontement ethnique qui commence entre populations extra-européennes sous la bannière de l’islam et la nation française.
Les « attentats » et tentatives déjouées ne sont que la partie émergée de l’iceberg.
La responsabilité de cette guerre civile ethnique dont les flammèches sont allumées incombera à une classe politique et intello-médiatique et à un appareil d’État qui, de manière criminelle, ont laissé depuis quarante ans se déverser une immigration invasive de peuplement inassimilable.
Qui sème le vent récolte la tempête.
Guillaume Faye