Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Crise systémique - Page 38

  • La pensée totalitaire

    Le dernier commentaire de l'année !

    on m'a conseillé de lire vos commentaires...et j'en ressors dégoûté. Tant de haine ponctué de fautes d'orthographe incroyables pour quelqu'un qui se réclame d'une "élite" ! Vos analyses valent ce que valent toutes les opinions et ne sont pas LA vérité, chacun ayant la sienne et le monde pullule de "yakas et de "fokons". Vous avez de la chance d'être en démocratie, et pouvoir vous exprimer avec tant d'emphase et tant de liberté...vous n'y allez pas avec le dos de la cuiller ! Par contre, vous vous situez bien et vous vos y accrochez sans prendre de recul aucun. Je trouve indigne que vous receviez des chèques, pour vous "défendre"...alors que si vous êtes si "misérable", vous pouvez bééficier, même chez un avocat de renom, bénéficier des A.J. ! proportinnellement, bien sûr, à vos revenus..Vous devriez rougir de honte de mendier ainsi la "pitié des autres, alors q'uil ya 8 millions de gens qui viven au-dessous du seuil de pauveté : ce qui n'est pas votre cas.

    Écrit par : guy | 29/12/2011

    Bonjour mes amis,

    Voilà, nous entrons dans cette nouvelle année que la plupart d’entre nous appréhendons avec une certaine angoisse, mais aussi une grande détermination à reconquérir la maîtrise de notre destin. Ce dont je « nous » souhaite.

    Je dis bien la plupart d’entre nous, car « certains » de l’élite fortunée et à l’abri de tout besoin, ont triplé leur fortune depuis 2008. Date, paraît-il du « début » annoncé de la crise. Début que pour ma part je situe en 1973. Ce que je rappelle en tout innocence à ceux qui, décédés ou pas, en sont co-responsables. Pompidou, Bouygues, VGE, Chirac, Barre  et quelques autres de leurs complices de gauche : Mitterrand, Maurois, DSK, Fabius, Jospin, Aubry, Hollande, Lang etc.       

    Vous avez probablement noté comme moi que les prix s’envolent dans l’industrie du luxe. La vente des villas et des appartements de standing défie la crise et s’élève à des niveaux jamais connus. Les acheteurs sont des « bobos » de gauche comme de droite, qu’on se le dise et qu’on le garde en mémoire. Ne soyons pas dupes, leur complicité est évidente.

    Comme vous le savez l’accès aux commentaires sur « mon » blog m’est interdit. Je n’accuse personne, mais suivez mon regard !

    J’ai choisi le dernier pour le commenter à partir de cette nouvelle note.

    Il est symptomatique de l’ignorance crasse des sympathisants de Martine Aubry, de François Hollande et de la gauche en général.

    Au delà de la « prose » de Guy, à l’identité plus que « douteuse », qui incarne l’ignorance, la bêtise et la méchanceté de la « gauche »,  se révèle l’ADN gauchiste. ADN qui trouve sa source dans le totalitarisme communiste dont il est impuissant à se débarrasser et qu’il conjugue sans le moindre remord avec le totalitarisme nazifiant et l’islamisant.

    A partir de là, nous comprenons pour quelles raisons, le fait de ne pas être d’accord avec eux suscite autant de détestation et d’insultes.      

    J’en tire pour conclusions qu’il serait vain de débattre de l’avenir de notre pays avec des socialistes comme Martine Aubry, François Hollande et leurs partisans.

    Leur enfermement idéologique, la certitude qu’ils ont de détenir la « vérité » pour toute l’humanité les rend extrêmement dangereux.

    Une vérité dont ils s’octroient la maîtrise et qui les transforment, systématiquement et régulièrement, en « savant fou » producteur de désastre, de barbarie et d’immondices.

    Le socialisme de François Hollande et de Martine Aubry  est l’exemple de cette « banalité du mal » qui veut se faire « bien » alors que le monde n’est « vivable » que si les hommes savent encore établir une « continuité » entre les hommes du présent et ceux du passé.

    Bref qu’ils ne renient pas leur mémoire.

    Pour ma part, je ne saurais choisir pour « amis » que ceux des personnes, des idées et des projets qui tiennent compte autant du passé que du présent, du contexte, et qui savent appréhender l’avenir et le construire sans haine revancharde et sans violence.

    Les socialistes et leurs leaders nihilistes comme François Hollande et Martine Aubry me sont devenus totalement « étranger » et à tout jamais, c’est à dire pour ce qu’il me reste d’existence, un peu à la manière de « L’étranger » de Camus.

    Je souhaite vivement que la droite, une fois encore, ne tombe pas dans le piège de la « politique de gauche » comme le gouvernement actuel, nous ne les avons pas élus pour cela. Pour commencer, à droite, les « mots, les opinions et les comportements qui blessent doivent être honnis. » Il faudra se retrouver après le premier tour une fois François Hollande éliminé.

    Dans cet objectif, heureuse et bonne année mes amis !

    Francis NERI

    01/ 01/12

  • Un ami est de retour…mais avec des réserves !

    Un ami qui avait soutenu notre lutte pour la liberté d’expression, en particulier dans cette affaire de prétendue « diffamation » AUBRY/BROCHEN, dont j’ai fait les frais, semble avoir renoncé à combattre.

    Je le comprends pour avoir subi à peu près les mêmes déboires que lui sur mon blog. Mais il faut résister et persévérer, je l’y engage.

    C'est un devoir pour ceux qui peuvent exprimer le ressenti "populaire", leur attachement à la liberté d'expression, de propositions et surtout qui veulent qu'une "alternance" ne se fasse pas avec cette « gauche égarée» avec laquelle, collectivement, plus aucun consensus ne semble encore possible.

    Il suffit juste de rester d'une extrême concision et de ne cibler que l'essentiel, sans vaine polémique toujours stérile car l’on ne peut convaincre à nos vues que ceux qui le veulent bien et qui sont déjà à moitié convaincus.

    Nous avons encore environ 4 mois devant nous et l'essentiel c'est de nous resserrer sur le "politique" C'est à dire empêcher François Hollande d'être au second tour avec ses amis qui, depuis 40 ans, votent des budgets déficitaires en grande complicité avec une droite qui s’est « oubliée ».

    Le reste : l'islamisation de la France, l'économie, la mondialisation etc. ne sont que les CONSEQUENCES de 40 années de gestion de la France au service d'une clique prédatrice et spéculatrice qui depuis la loi Pompidou-Giscard de 1971 a livré le peuple aux financiers et aux spéculateurs. Il faut nous en débarrasser !

    Il nous appartiendra ensuite d'initier comme en Suisse, et pour commencer, le référendum d'initiative populaire et quelques autres "changements" : la proportionnelle ou encore le « tirage au sort » de citoyens pour modifier la constitution.

    Mais rien ne pourra être fait sans une reprise en main par le peuple de son destin économico-financier, et pour cela la création monétaire doit être, à nouveau, réservée à l’Etat et, en attendant de retourner à une économie « réelle », instaurer une taxe dissuasive sur les transactions financières et mettre un frein aux importations de pays ne respectant pas les mêmes règles « sociales » que nous en matière de production de bien et de services.

    Un Etat dont les citoyens doivent reprendre le contrôle.

    En France, la première étape : "se débarrasser de la gauche".

    Concentrons-nous sur ce premier objectif. Il fait consensus à droite...après nous réglerons nos comptes avec une certaine Europe dont nous ne voulons plus. Mais aussi avec nos "amis" spéculateurs, leurs valets de l’oligarchie politico-financière au pouvoir et cette « islamisation » qui nous "préoccupe" et remet en cause nos valeurs, nos codes et nos lois les plus profondément enracinées dans notre culture. 

    Francis NERI

    Bonne Année …tout de même !

    27/12/2011

  • La France qui ne veut pas mourir

    Au moment où la France joue son destin dans un monde dominé par l’hyperconsommation et l’hyper endettement, que l’immigration menace son identité, que le libéralisme spéculatif des marchés financiers se joue de la puissance de son Etat, que son industrie s’évapore vers les pays émergeants, que le chômage et la paupérisation s’accroissent sans que rien ne vienne y remédier, certains Français se retranchent du corps de la nation.

    La cause en est la désaffectation des citoyens à l’égard des institutions.

    Le taux considérable de l’abstention est la preuve de leur désarroi et de leur méfiance envers le pouvoir, qu’il soit politique, social, économique, médiatique ou encore culturel, voire cultuel.  

    La question, à présent posée, est celle du fonctionnement de l’Etat qui n’est plus ni ferme, ni impartial, ni continu.

    Il semble être le jouet des événements et le peuple est las, démuni, menacé, car l’action publique n’est ni nette, ni protectrice, ni forte.

    L’Etat semble avoir perdu la tête et n’être plus que le jouet, voire le complice d’une mondialisation qui le manipule à sa convenance car il est englué dans l’impuissance d’un pouvoir mondial élitiste et prédateur dont il fait partie et dont il faut l’en sortir.

    La France qui doit se retrouver a besoin d’un Etat fort, d’un peuple rassemblé, au sein duquel, chacun à la place qui est la sienne, face son devoir.

    Le présent est dur, l’avenir est menaçant. Les partis en présence savent bien que la crise qui se perpétue par vagues successives et qui risque de conduire le monde à l’abîme est d’une extrême gravité.

    Pourtant, pas question pour eux d’envisager un seul instant de faire taire leurs querelles de personnes, de pouvoir, de « places » à conquérir ou à conserver. Pas question de se rassembler au-delà de leurs divergences personnelles ou de groupes.

    Chaque jour qui passe pèse bien lourd et il faudrait sans perdre plus de temps, rassembler le peuple de France autour de l’idée de « restitution » et la sauvegarde de ses valeurs et identité, nationale et régionale. Il est encore temps !

    Il s’agit, encore une fois, de sauver la France et de lui assurer dans le monde la place qui est la sienne et qui lui revient.

    Il s’agit à nouveau de rénover la République pour mettre l’Etat à la hauteur des tâches qui l’attendent.

    Notre constitution est prévue pour ce cas de figure. Malgré tout, nos divisions sont multiples et profondes et aucun représentant des partis susceptibles d’accéder au pouvoir, ne possède l’autorité nationale qui est indispensable pour gouverner efficacement. Il est entravé dans ses prises de décisions, aussi bien par l’opposition interne, que par l’Europe ou la finance spéculative et mondialisée, caractérisée par la rapacité et la partialité des forces qui s’appliquent à dominer la France à la faveur de sa faiblesse et de sa confusion.

    Pourtant nous voyons bien ce qui pourrait être fait et qui pourtant ne l’est pas.

    Certains voient clairs, c’est vrai. Mais ce n’est pas tout, il faut réaliser et, pour cela il convient de créer les conditions.

    Elles dépendent de nous et c’est la raison pour laquelle les Français doivent se mobiliser et reprendre leur destin en main.

    Il dépend de nous de nous rassembler au-delà du clivage où nous enferment les partis, pour imposer l’action de redressement national au-delà de nos vieilles querelles, politiques, sociales, religieuses, idéologiques.

    Nous devons nous voir les uns et les autres tels que nous sommes : des Français unis par plus de deux milles ans d’histoire commune dont ils sont les héritiers sur une terre qui leur appartient par le sol et le sang.

    Nous devons lutter en nous rassemblant sur l’essentiel contre ceux qui s’efforcent de prolonger un système suivant lequel ils peuvent faire perdurer leur autorité, leurs privilèges et leur pouvoir prédateur.

    Les évènements sont trop menaçants pour qu’il soit permis d’attendre. Les élections à la Présidence en 2012, les législatives, puis les municipales en 2014 vont être l’occasion de mettre fin à un régime de confusion et de division qui plonge l’Etat dans l’impuissance et les citoyens dans le désespoir.

    La France est multiple, elle l’a toujours été et le sera probablement toujours. Seulement, pour le moment, nous nous trouvons devant des objectifs de salut public et de préférence nationale, qui doivent s’imposer à tous dans l’équité et la justice sociale sans lesquels il ne peut y avoir de consensus social.                        

    Il nous appartient donc dés à présent d’analyser, dans cette optique de « dos au mur », les propositions de ceux qui prétendent à nos suffrages et les juger d’après leur capacité,  leur dignité, leur bonne volonté et leurs précédents résultats.

    Il ne s’agit plus de savoir de quelle famille spirituelle, idéologique, partisane proviennent les personnes voulant exercer leur autorité sur nous et la France. Cela devient secondaire car en période de crises, seules de fortes personnalités pénétrées de leur mission de salut public doivent faire partie de notre choix.

    Nous devrons donc être vigilants et capables d’appréhender s’ils sont en mesure de sauver la nation  si nous leur en donnons le pouvoir, les moyens et la légitimité.

    Ne laissons pas la « cinquième colonne » mettre la France à genoux devant la mondialisation et ses conséquences : les crises, l’immigration massive, la destruction de notre environnement, la marchandisation de l’homme.

    L’avenir, à très court terme, nous dira à qui nous pourrons confier notre destin. Non pas à un homme, ou une femme, providentiel(le), mais à une équipe capable de proposer un contrat aux Français, de s’adresser directement à eux. Une équipe solide pour le promouvoir au-delà des partis qui sclérosent la France et l’enferment dans des intérêts catégoriels.

    Les Français ont perdu confiance en l’avenir. Les injustices répétées, les promesses non tenues les poussent à la révolte et l’hostilité envers l’Etat, les politiques, les partis, les syndicats, les patrons du « CAC 40 », les médias, les technocrates etc.

    C’est donc dans les rangs du peuple, au-delà des partis qu’il faudra aller chercher les anonymes prêts à se lever pour reconstruire un Etat juste et fort délivré des « factions » dont depuis Charles De Gaulle nous pensions être libérés.

    Rien de solide et de durable, disait-il, ne peut se bâtir en France, sinon à partir de la volonté exprimée par le peuple.

    Le peuple doit pouvoir s’exprimer directement et pas seulement au travers de ses représentants actuels dont globalement il se méfie, mais au moyen des nouveaux médias qu’il ne doit pas laisser l’en priver ceux qui veulent le faire taire.

    Le peuple doit à nouveau lutter pour sa liberté d’expression directe sur Internet et par référendum d’initiative populaire. C’est par là qu’il faut commencer.

     

    Francis NERI

    24 10 11