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Islamisation - Page 15

  • Le choc des civilisations est un combat identitaire.

    Si nous ne défendons pas notre identité nous serons submergés par une civilisation étrangère qui va purement et simplement remplacer la nôtre. Tout ce qui peut favoriser une identité étrangère sur notre sol est dangereux et il faut à tout prix l’empêcher. 

    Autrefois le monde était structuré par deux antagonismes, deux entités antagonistes : le monde dit « libre » comme on l’appelait, c’est-à-dire l’Occident en gros, et puis le monde communiste, d’ailleurs les deux étant structurés par des Européens et présents en Europe. Mais le fond culturel était le même. Il y avait un antagonisme idéologique, le monde était structuré par le conflit entre le communisme et le libéralisme. Cela, c’est terminé.

    Aujourd’hui la Chine est devenue la première puissance mondiale d’ores et déjà ; l’émergence de l’Inde ; et l’émergence de la composante islamique. L’Europe n’est plus dominante, l’Europe est sur la défensive et l’Europe subit un choc des civilisations qui se traduit par une guerre commerciale, une guerre économique vis-à-vis de la Chine ; une guerre culturelle vis-à-vis de l’islam.
    Mais aussi une guerre avec le terrorisme islamique.
    Ainsi qu’une invasion migratoire qui ne pose pas seulement un problème par rapport à l’islam mais pose aussi un problème ethnique par rapport aux populations provenant de pays africains et de pays hors de l’Europe et qui mettent en cause notre identité non seulement sur le plan culturel, mais aussi sur le plan religieux et ethnique.

    On est passé d’un système représentatif, électoral, démocratique, à un gouvernement des juges.
    Il ne s’agit plus que le droit soit un cadre défini par le peuple et voté par les élus, notamment par les députés et les sénateurs. L’Etat de droit est un corpus idéologique qui s’impose au peuple, qui s’impose à ses représentants, et qui est gardé par les structures judiciaires et tout particulièrement par le Conseil constitutionnel. C’est très concret.

    Le problème est que la Ve république a été sapée dans ses fondements mêmes par la montée en puissance du Conseil constitutionnel.

    Le Conseil constitutionnel avait pour seul but de vérifier que les articles de la constitution étaient respectés.

    Puis il y a eu une espèce de coup d’Etat institutionnel orchestré directement par les membres du Conseil constitutionnel, qui ont commencé à juger, non plus seulement en fonction des articles de la constitution, mais aussi en fonction du Préambule et même de l’interprétation qu’ils faisaient du Préambule. Or le Préambule a été enrichi au fil des années de textes innombrables qui donnent finalement au Conseil constitutionnel la possibilité de juger de tout par référence à cette espèce de catéchisme politiquement correct.

    On voit bien ce qui se passe. Plus on enrichit ce Préambule de textes politiquement orientés, plus vous donnez de pouvoir au Conseil constitutionnel, plus vous augmentez les possibilités de saisine du Conseil constitutionnel, en annonçant aux Français que ce sera une façon de garantir leurs droits, et plus en réalité vous les diminuez puisque, plus le Conseil constitutionnel a des possibilités de saisine, plus il va étendre son pouvoir et avoir ainsi la possibilité de censurer comme c’est le cas maintenant.

    Le véritable patron français ce n’est pas le président de la république, c’est monsieur Fabius, président du Conseil constitutionnel.
     Je pense qu’on peut dire cela. Je fais référence à un propos tenu par monsieur Debré qui était l’ancien président du Conseil constitutionnel, quand on lui parlait du danger que représentait éventuellement l’arrivée au pouvoir du Front National, répondait :
    « Ne nous inquiétez pas, on tient tout ».

    Je voudrais ajouter qu’il y a le Conseil constitutionnel, mais derrière, il y a tout le système judiciaire parce que toutes les juridictions ont maintenant cette démarche de s’ériger en pouvoirs de contrôle et finalement en pouvoirs politiques suprêmes. Par exemple lorsque François Hollande était président, il avait été décidé de démanteler un camp de réfugiés à Calais. Une procédure a été engagée pour annuler la décision gouvernementale de ce démantèlement (qui au demeurant ne servait à rien) et l’on a vu une petite juge du tribunal administratif venir sur place pour voir ce qu’il y avait lieu de faire et pour décider si, oui ou non, le gouvernement pouvait procéder au démantèlement. On sait aussi que les juges empêchent systématiquement l’expulsion des clandestins.

    C’est tout le système judiciaire qu’il faut remettre au pas et rétablir l’équilibre des pouvoirs entre le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire, sans oublier le pouvoir médiatique.

     

    Faut-il le Frexit pour y parvenir ?

    La question EST posée !

    Bruno Megret !

  • Laïcité, religion et Cygne Noir

    Certains reprochent au monde laïc de s’être installé sur les terrains laissés libres par les insuffisances des chrétiens (le terrain de la morale par exemple).
    L’appauvrissement et le déclin de la chrétienté, la médiocrité de certains des chrétiens fit enfin le lit de l’islamisme auquel ils n’ont opposé la moindre résistance.

    Peut-être est-il temps de se dire que libre pensée et christianisme pourraient bien ne pas être seulement des ennemis et que ce n’est pas un hasard si l’idée de conscience individuelle a prit son essor dans l’ère géographique chrétienne (voir Bernanos et Péguy) et que nous y trouvons moyens de ne pas fuir la complexité.

    Cette idée suppose un changement de rapport entre la religion et la société laïque. Mais pas n’importe quelle religion. Il nous faut considérer qu’il ne peut y avoir un accommodement de territoires qu’entre libre pensée, christianisme et judaïsme.
    L’islamisme s’en exclu de lui même.

    Le projet Cygne Noir se doit de travailler à ce rapprochement. Soutenons-le ! Plus un projet est soutenu au moment de son lancement, plus il aura de chances d’être populaire par la suite.

    Cet effet d’amplification conduit quelques rares projets à devenir extrêmement populaires, faisons en sorte que le Projet Cygne Noir soit de ceux là ! 

    Francis-claude Neri
    Cygne Noir
    http://www.cygnenoir.ovh/ 

    https://cygnenoir.vienouvelle.fr/wp

    18 02 21

  • Il y a MOI et le système

    (Voir : L’affaire Thomas Crown)

    Tout le monde veut sortir du système mais sortir du système c’est passer d’un état à un autre, d’un niveau de conscience à un autre, par un changement de comportement (et donc d’attitudes) qui peut se produire au gré du sujet concerné ou de facteurs externes...

    Nous ne pouvons faire l'impasse sur la prise de conscience du "sujet concerné" même si nous pensons qu’il ne veut pas faire cet effort, qu’il se complet dans son "attitude" de soumission au pouvoir, car il reste le ou les "facteurs externes" ...le chaos probablement…donc un Cygne NOIR.

    Nous pouvons tout essayer en fait !

    A quand, par exemple, une table ronde avec Arthur Keller, Jean-Marc Jancovici, Gaël Giraud, Philippe Bihouix, Vincent Mignerot, Pablo Servigne, Laurent Testot et NOUS ?
    Faire le constat et l’état actuel du système, explorer des pistes pour anticiper et faire face à un effondrement et un « emballement »  mondialiste  prévisibles ?!
    Travaillons sur une vision, une utopie qui dit que la solution est de rendre son quartier résistant, quartier par quartier, et mettre en avant l’altruisme de masse, la bienveillance, le partage, l’entre aide !
    La prise de conscience individuelle nous intéresse, mais ce qui fera le changement c’est la naissance et le développement d’une intelligence et d’une prise de conscience qui soient collectives, qui agissent  « maintenant » dans leur contexte et leur environnement LOCAL Bref agissons « local » avant de penser Europe ou mondial c’est de toute façon, pour le moment, hors de notre portée !
    C’est sur place, dans NOS systèmes de proximité que nous pourrons recréer des systèmes résistants à la mondialisation, à l’invasion migratoire et à la Oumma  ce que nous ne faisons plus depuis au moins 50 ans

    Mais pour cela, il faudra en France, prendre le pouvoir en 2022  et sortir de l’UE …il n’y a rien à tirer pour nous de cette institution.

    Nous avons à nous mettre d’accord sur une procédure efficace, durable et conviviale, afin de contrôler les outils sociaux.
    Sachons que l’inversion de la structure institutionnelle, par une constituante, ne pourra être ni amorcée ni soutenue si nous laissons en place et reconduisons les mêmes cadres politiques, institutionnels et médiatiques qui ne sont capables que de faire un peu plus de la même chose et promettre la lune aux peuples crédules.  

    https://www.youtube.com/watch?v=kLzNPEjHHb8&fbclid=IwAR22mEy301vsvqv0OYkmeN5c9Q_vZMvNtf4R6wcc0MQRWspyaHhO6hYA0-M

    04 02 21
    François Hoffmann

    Cygne Noir