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Islamisation - Page 12

  • Le journal du Cygne Noir Changer de cap

    Des Signaux faibles qui peuvent devenir signifiants

    N°77Hors la loi.jpg

    Mercredi 18 août 2021

    01- Changer de cap

    C’est exactement ce que disait Nicolas Sarkozy lorsqu’il parvint au pouvoir. Il invita même Edgar Morin dont il avait repris le concept de « politique de civilisation » dans lequel celui-ci exprimait la notion de « pensée complexe ». En reprenant la formule, Nicolas Sarkozy espérait ainsi la caution morale d’Edgar Morin sur le concept suivant : « Notre civilisation qui a développé le matériel a sous développé les aspects de la vie intérieure, de l’âme et de la spiritualité ». Bref remettre de l’humain au centre de nos préoccupations.

    Après avoir été reçu à l’Elysée, E.M. déclara : « Je n’avais pas d’éléments pour comprendre ce que le président entendait par « politique de civilisation » une expression derrière laquelle il ne met pas forcément les mêmes choses que moi ».

    C’est curieux, mais depuis en gros 1969, ils disent TOUS sans exception exactement la même chose et tous font exactement le contraire et le Président Macron le dernier en date

    02- Une politique de civilisation

    Une politique de civilisation telle que Morin la concevait est une reconversion, un changement de voie pour nos sociétés. Elle n’est pas seulement politique, économique, financière, industrielle, elle concerne aussi nos valeurs, notre histoire, nos mémoires, nos identités.

    Notre civilisation occidentale -qui s’est manifestée par le développement de la nation moderne, de l’individualisme, la technique, de la science de l’économie, du capitalisme- est ambivalente et complexe. Elle a produit des effets extrêmement positifs mais entrainent également des conséquences négatives qui ne font que s’aggraver et qui nous conduisent dans une impasse.

    03- Les trois ferments de la « crise globale des civilisations »

    • L’individualisme tout d’abord.
      Il a des vertus positives : il donne à chacun des possibilités d’autonomie et de responsabilité. Mais il a un revers, la dégradation des solidarités traditionnelles, celles de la grande famille, du village, du quartier, du travail. Ce repli sur soi a conduit à beaucoup de solitude individuelle et entrainé égocentrisme et égoïsme. Les individus perdent le sens de LEUR communauté.
    • Le consumérisme ensuite.
      Avec l’obsession de la consommation, ils ont apporté l’abondance du bien être matériel (à un certain nombre d’entre nous) mais pas le bien être psychique, moral éthique. L’importance des maladies psychosomatiques en sont l’un des indices.
    • La dégradation de l’environnement
      Il a pour conséquence la détérioration de la biosphère, le réchauffement climatique, la pollution des villes. Ce problème de civilisation se pose partout dans le monde mais particulièrement dans les pays à trop forte population humaine.

    04-Quelles solutions possibles aux malaises dans la civilisation?

    Il est possible, tout en pensant global, de mettre des choses en place au niveau local, national et au moins Européen. Et c’est ce que nous attendons du prochain pouvoir qui se mettra en place en 2022.

    Tout d’abord il nous faut un consensus entre les forces dynamiques qui animent nos systèmes politiques, économiques, social et donc identifier les personnalités capables de réaliser cette « politique de civilisation. Pour ma part, je suis convaincu qu’Eric Zemmour peut être le porteur principal d’un projet. Nous verrons à partir du 15 septembre ce qu’il en ait.

    05- Les réponses

    - 05-1 Rien ne pourra être construit pour l’avenir sans une rapide reprise en main de l’enseignement. Il nous faut réactiver l’éducation et la socialisation au sein des trois pôles qui en sont les opérateurs : l’école, la famille, la cité.

    Il faut que les citoyens voient qu’il y a là une voie bénéfique et que l’on doit quitter le cycle infernal de la destruction de l’école.

    Un beau projet autour duquel rassembler jeunes et aînés afin de donner vie et sens au lien social, à la solidarité intergénérationnelle et à NOS valeurs dites universalistes.

    -05-2 L’emploi. Nous pouvons susciter une politique de solidarité, trouver des emplois non pas en espérant une croissance de plus en plus mythique mais en créant des métiers de convivialité et d’entraide. Il s’agit surtout de mettre en place comme en 1945 une politique de grands travaux pour créer des emplois Bref un soutien à l’activité et moins « allocations de subsistance ». Réserver l’aide sociale aux nationaux et la limiter dans le temps.

    Cela nécessite également, et dans l'urgence, de bloquer l’immigration et de renvoyer ceux qui ne viennent « au pays » que pour en profiter où pour le combattre.

    05-3 La notion de décroissance et de développement

    Il est impératif d’examiner ce qui doit croitre et ce qui doit seulement se maintenir voire disparaitre.
    La mission Attali était un suicide car l’objectif était de tout faire pour la croissance. Nous avons vu où çà nous conduisait.
    Seuls, la technique et l’économie, l’industrialisation ne peuvent résoudre les problèmes fondamentaux. Il faut repense l’idée de développement.

    Il y a deux axes essentiels à développer : ré humaniser les villes et redynamiser les ruraux de la France Périphérique.

    L’évolution de la société rend possible ces changements : des jeunes retraités viennent repeupler les campagnes, le télétravail permet de s’y installer. Il faut également développer l’agriculture fermière et pas seulement biologique.

    05-4 Oui nous vivons une époque formidable et nous avons aussi à faire face à un formidable défi, alors ne baissons pas les bras, jeunes et ainés œuvrons ensemble, chacun à sa place et ne pensons qu’à une chose : Comment faire ce « ensemble » ? avec qui ? Comment ? Quels moyens ?

    Il est encore temps !

    Francis-claude Neri

    Cygne Noir

    www.facebook.com/groups/horizon2022/-

     

  • Etat providence quelles frontières ?

    Démographie.jpgLes citoyens européens sont très attachés à leurs systèmes de protection sociale, et reprochent à l'Europe de ne pas se préoccuper assez de social
    Il convient de  faire le point sur les relations entre politiques sociales et intégration européenne, et analyser dans quelle mesure la construction européenne a remis en cause les frontières et la nature même des États providence nationaux.

    L'État providence s'est construit à partir de la délimitation d'une frontière nationale qui détermine qui peut être bénéficiaire de droits sociaux et qui ne le peut pas. Or la construction européenne a contribué à brouiller ces frontières nationales, et à remettre ainsi en cause l’un des fondements de l’État providence, sans parvenir pour autant à définir au niveau européen de nouveaux droits sociaux.

    Étudier les relations entre citoyenneté sociale et citoyenneté européenne, entre la crise de l’État providence et la construction européenne, les problèmes liés à l’immigration incontrôlée, permet de mieux comprendre le système de gouvernement à plusieurs niveaux qui s’est mit en place en Europe en matière de politiques sociales.

    Deux sujets provoquent de nos jours des émotions très fortes : le maintien ou la réforme de l’État-providence et la question des migrants.
    Dans notre pays, les deux sont associés à la question de notre identité et, dès lors, difficiles à aborder uniquement par le biais d’une argumentation rationnelle, chiffrée et factuelle.
    Comme si cela ne suffisait pas, les deux peuvent être fort liés, accroissant ainsi la complexité du débat.

    Au cœur de ce débat, on constate parfois une forme d’alliance entre des positions anti-migrations et le souhait de préserver notre système social : les migrants seraient un poids trop lourd pour lui, et le mettraient en danger, par exemple en pesant davantage sur les prestations familiales car ils tendent à avoir plus d’enfants que les familles installées de longue date.

    Par ailleurs, notre État-providence a atteint la limite de ce qui est finançable et durable ; y ajouter à ce stade davantage de charges et de déséquilibres nous précipite dans une crise de plus en plus profonde.

    Dès lors, en réponse à ces deux questions une approche pertinente serait d’interroger l’accès à notre État-providence à tout nouvel arrivant.

    La question est extrêmement sulfureuse dans l’état actuel du débat politique, car elle se résume en deux mots : préférence nationale.
    Mais derrière cette question s’en cache une autre : est-il réellement pertinent d’être favorable au maintien de notre système social ?
    Autrement dit, est-il profitable pour les individus et peut on réserver notre système social à des individus sélectionnés et selon quels critères ?

    L'immigration constitue aujourd'hui une préoccupation centrale des électorats occidentaux. Bon gré mal gré, les forces politiques tâchant d'attirer leurs suffrages ont dû se positionner sur la question. L'exclusion de ce thème lors du grand débat national suffit toutefois à démontrer le malaise que continue de susciter son évocation. Dans un rapport récent intitulé «Immigration et préférences pour la redistribution en Europe», l'IZA (un institut de recherche allemand spécialisé dans l'économie du travail) est parvenu à établir que le rejet de l'État-providence est plus élevé dans les régions où les immigrants se trouvent en plus grand nombre.

    Il n’y a pas à hésiter il faut stopper l’immigration pendant au moins 5 ans et ensuite, la réguler et la contrôler Afin de recevoir chez nous ceux que nous souhaitons recevoir et rien d’autre !

    05 08 21

    Francis-Claude Neri
    Cygne Noir
    www.facebook.com/groups/horizon2022/

     

  • Moratoire sur l’immigration

    Mais quelles mesures pourraient VRAIMENT tarir les flux migratoires ?

    Dans une tribune publiée dans Le Figaro, l'ancien ministre et ex-négociateur du Brexit, Michel Barnier, plaide pour un moratoire afin de geler l’immigration en France sur une période de trois à cinq ans. Quelles mesures sont vraiment efficaces sur la question des flux migratoires ?

    Dans le Figaro, l’ancien ministre Michel Barnier, propose de mettre en place un véritable moratoire sur l’immigration pour agir sur celle-ci. Les mesures évoquées dans cette publication sont-elles inédites et pourraient-elles permettre de réduire réellement les flux migratoires ?
    Atlantico

    Dans cette tribune, on ne retrouve aucune mesure claire. Cette tribune a pour seul but d’attirer un électorat ciblé sans pour autant fournir de contenu. En voulant mettre en place un moratoire sur l’immigration, il ne se demande pas comment cela est possible juridiquement. Vouloir mettre en place un moratoire sur l’immigration sans évoquer la question européenne est une gageure impossible.
    Laurent Chalard
     

    Par Le Parisien avec AFP 

    Le 9 mai 2021 à 18h49

    Michel Barnier, dont évoque l’ambition présidentielle, se positionne déjà sur l’un des sujets qui risquent de marquer la campagne de 2022. L’ancien négociateur pour le Brexit (LR) a suggéré dimanche « un moratoire » de trois à cinq ans sur l’immigration. « Il faut décider dans ce pays un moratoire en matière d’immigration », de « trois à cinq ans », pour « prendre le temps de vérifier, d’évaluer, le cas échéant de changer, les procédures et les pratiques », a déclaré l’ancien ministre au Grand Jury pour RTL, LCI et Le Figaro.

    « Il y a des liens » entre l’immigration et « les réseaux terroristes qui utilisent les flux migratoires, qui les infiltrent », a-t-il fait valoir, même s’il ne « pense pas que tous les immigrés, et notamment ceux qui essaient de traverser la Méditerranée pour rejoindre un avenir meilleur, sont des terroristes en puissance ou des délinquants en puissance ».

    Il a également précisé sur l’immigration « qu’il faudra à la fin changer la Constitution sur certains points, notamment pour avoir plus de marge par rapport à des textes ou des règlements européens » sans toutefois rentrer dans les détails.

    Pour autant, « on va toujours accueillir des étudiants » et « nous devons respecter » le droit d’asile, a précisé l’ancien ministre (Agriculture et Affaires étrangères) de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

    Ce moratoire est devenu un leitmotiv du côté de la droite française. Le président des Républicains Christian Jacob avait lui proposé à l’automne un « moratoire » de trois à six mois sur l’immigration, le temps pour Emmanuel Macron de consulter l’ensemble des « familles politiques » sur ce sujet… Michel Barnier a aussi jugé qu’il y avait « des risques d’explosions » sociales en France et que « ce qui est dit » dans une récente tribune de militaires « méritait de l’attention », « parce qu’il y a de réelles et graves fractures notamment sur la question de l’immigration ».

    Il est amusant Michel Barnier Il sait qu’il faut parler pour ne rien dire afin d’être prit au sérieux
    Entre le Covid et le passe sanitaire, l’immigration, l’islamisation à marche forcée, l’effondrement économique et financier, les Woke et la cancel culture, oui il y a « risques d’explosion sociale ».

    Il va faire chaud en septembre mais l’hiver sera très rigoureux Les hivers sont très durs durant les périodes de guerre !

    Francis-Claude Neri
    Cygne Noir
    www.facebook.com/groups/horizon2022/