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Présidentielle 2012 - Page 9

  • Comment détruire la "patrie des droits de l'homme" ?

    Faisons référence à la complexité.  Sinon, nous n’en sortirons pas si nous continuons  à tout regarder en noir et blanc.

    Merci, par exemple, de ne pas confondre, arabe, maghrébin, musulman et racaille. Il existe des arabes israéliens, chrétiens qui ne sont pas des repris de justice. Il existe aussi des Français de souche multirécidivistes. Il existe enfin des maghrébins épris de justice  qui sont parfaitement intégrés.
    Quand on dresse la communauté nationale contre une minorité désignée, l'amalgame ne permet plus de faire de quartier et c'est la porte ouverte au crime contre l'humanité...
    Certes la révolte gronde, mais je ne crois pas qu'un peuple vieillissant et plutôt « sage » en arrive à organiser des « ratonnades » anti immigrés. Il se contentera de durcir sa législation pour réserver les prestations sociales aux Français de souche. Les étrangers n'auront plus alors intérêt à rester dans un pays en crise et préfèreront survivre dans leur pays d'origine... Et si cette mesure provoquait une guerre civile, alors les forces de l'ordre les renverraient directement chez eux. Il n'y aura pas de révolution dans un bain de sang, sauf si Marine LE PEN n'obtient pas ses 500 signatures et que la fraude électorale batte son plein.

    Alors les Français descendront dans la rue exprimer leur colère. Le vote FN est d'abord l'expression de cette colère et ceux qui souhaitent la museler, prennent les risques d'être renversés par la rue. La colère des Français doit s'exprimer dans les urnes et si elle est majoritaire, alors les hommes du système devront tirer les conséquences de leurs responsabilités dans cette crise. Car en avril 2007, tous les candidats étaient déjà au courant de la gravité de la crise financière qui faisait déjà rage aux USA et qui arrivait en Europe par contagion... Ils savaient tous mais cela ne les a pas empêcher de nous mentir et faire d'énormes promesses qu'ils n'ont pas tenues et de se servir de cette même crise pour se justifier d'un piètre bilan. Et le pire c'est qu'ils recommencent sans complexe !

    J'espère cette fois que les Français ne vont pas se laisser impressionner et leur donner une belle leçon de démocratie !

    Evidemment, si Marine LEPEN est élue, elle devra composer avec une assemblée UMP et un sénat PS... Comment pourra-t-elle diriger le pays ? Même avec des élections législatives à la proportionnelle, elle ne pourra pas disposer d'une majorité pour modifier les lois, sans faire des alliances.

    Chaos pour chaos, autant alors se débarrasser de ceux qui se sont bien moqués de nous depuis plus de trente ans !

    Quant à l'Euro, les Allemands n'en veulent pas plus que les Américains qui annoncent déjà sa mort. Les Allemands ne défendront pas l'Euro qui va disparaître.

    La FED a gagné la guerre monétaire et l'UE va se décomposer. Alors pourquoi ne pas voter pour Marine LEPEN qui a eu raison de l'annoncer depuis plusieurs années ?  Après tout n’est elle pas la seule qui propose une vraie alternative et qui surtout n’est pas partie prenante du « problème ».

    Comme l’écrit souvent Francis NERI, « si vous faites partie du problème vous ne pouvez faire partie de la solution »

    L’UMPS ne fait pas seulement partie du problème ; l’UMPS « EST » le problème ! L’UMPS est prisonnière du système prédateur qu’elle a construit, elle ne peut donc s’en libérer. Voter pour l’un de ses candidats c’est renoncer à résoudre les problèmes qui nous sont posés.    

    Écrit par : Bertrand | 24/11/2011

     

  • Droit international

    Le droit des peuples recule à l’évidence. Nous avions tous placés de grands espoirs dans l’ONU au lendemain de la chute du mur de Berlin. Pour ma part, j’avais pensé que s’en était fini du collectivisme et de l’intérêt supérieur des états sur l’individu.

    Pour le moins, j’espérai qu’enfin l’intérêt de l’individu allait rejoindre celui du groupe. Du pur « libéralisme » !  En quelque sorte allait venir le règne tant attendu de l’auto-régulation. 

    Progressivement allait s’installer l’idée d’un droit des gens lié à la dignité et à la liberté de la personne humaine, qui soit supérieur aux droits des Etats et à l’intérêt d’une mondialisation qui déjà n’avait plus rien de « libérale ». 

    C’était méconnaitre trois éléments essentiels : l’incroyable développement démographique du « tiers monde », l’irrésistible montée en puissance de l’Islam, la réalité des machines totalitaires. 

    Il faut dire qu’une foule « d’experts » ont quotidiennement entretenu la désinformation sur la situation réelle du monde. La planète était censée s’unifier dans la paix et le bonheur des peuples par la grâce des « marchands » prêchant un monde « multipolaire » opposé au monde unilatéral dont l’hyperpuissante Américaine était l’expression. 

    L’ONU, ce « machin » comme disait DE Gaulle, nous a trompé et vendu. Et puis nous avons été trompés et vendus par nos élites et nos politiciens. Nous avons vu alors le droit international permettre aux Etats souverains d’opprimer leurs peuples en paix pourvu qu’ils se prêtent aux règles du libre échangisme international.

    C’est ainsi que nous avons vu en France nos dirigeants s’incliner devant les multinationales et accepter une immigration incontrôlée qui puisse, dans un premier temps, faire concurrence aux nationaux.

    Une deuxième étape permis de délocaliser massivement l’industrie, puis les services, avec la complicité de la gauche comme de la droite, afin de paupériser un peu plus un peuple devenu par trop éduqué, inemployable et inexploitable.

    Tout au plus ces empires marchands escomptaient-ils un niveau de consommation suffisant pour assoir définitivement leur puissance, le temps, comme l’affirmait déjà Yvan Illich, que le haut de la pyramide n’ait même plus besoin de consommateurs. 

    Je ne regrette pas le monde bipolaire tel qu’il existait avant la chute du mur de Berlin, mais le multipolaire me paraît encore plus dangereux que le précédent.

    Le monde s’est en effet organisé par groupes géographiques d’Etats Nations…qui ne vivent pas dans les mêmes « bulles temporelles » dans un même contexte, qui n’ont pas les mêmes cultures et qui n’ont nullement l’intention de s’enrichir de nos différences, bien au contraire !

    Et encore une fois, on nous a trompés en nous forçant à relativiser nos valeurs, nous persuadant qu’elles n’avaient aucuns sens à devenir « universelles », que nous devions bâtir un « multiculturalisme universaliste ».

    Alors soyons clairs, il ne s’agit plus de défendre nos « valeurs » auxquelles nous sommes attachées. Elles n’étaient précieuses que pour nous et chez nous.  Nous le voyons bien elles ne sont pas acceptées ailleurs : liberté d’expression, liberté d’opinion, liberté politique, liberté économique, liberté de la presse, liberté de la femme etc.

    On a joué de nos émotions, de notre « compassion » on nous a culpabilisé, on a corrompu et déculturé nos enfants. Tout cela afin de nous faire accepter l’inacceptable : la perte de nos valeurs, de nos identités, de notre modèle social et économique, de nos entreprises.                  

    Je sais bien que la démocratie, réduite aujourd’hui à la loi de la majorité, légitime la domination d’un groupe sur un autre, d’une ethnie sur une autre, d’une religion sur une autre, et peut conduire à la dictature, comme cela s’est déjà produit dans l’histoire, mais c’est par là qu’il nous faut passer.

    La démocratie, c’est le droit et les devoirs de la minorité. C’est aussi la liberté et la dignité de la personne garanties par une Constitution  et des institutions qui respectent les traditions nationales. Une constitution qu’il faudra probablement « revisiter » afin de donner plus de « pouvoirs » de contrôle du peuple sur la démocratie représentative. 

    Il y a donc incompatibilité totale avec ce qui s’invente actuellement dans les pays musulmans. Je suis, par conséquences, très méfiant envers ceux de nos politiciens qui veulent nous vendre l’idée d’une « démocratie musulmane » qui verrait le jour dans un avenir plus ou moins lointain. 

    La question essentielle à nous poser est la suivante : « peut-on construire un multiculturalisme et multilatéralisme démocratique au service de l’universel ? » Et la question subsidiaire : « A qui cela profiterait ? »

    Si nous disons oui, ayons conscience que cela revient à imposer, avec fermeté et détermination, nos institutions démocratiques à d’autre peuples et à d’autres cultures !

    Il fut un temps ou nous pouvions encore le faire. Aujourd’hui, en avons nous encore les moyens et surtout le désir, l’énergie, la compétence ? 

    L’alternative, c’est le repli sur soi, le recentrage sur ce qui nous reste et que l’on peut encore conserver, une fois repris en main notre destin.

    Mais il pourrait être nécessaire de passer d’abord par cette étape pour ensuite revenir à la première proposition après nous être en quelque sorte « ressourcés ». Tout serait possible une fois retrouvé un Etat fort, légitimé par le peuple.

    Retrouver nos codes, nos valeurs,  nos entreprises, notre économie, bref notre rôle de grande puissance pas du tout incompatible avec une faible démographie. Surtout si nous avons la sagesse de rester solidaires au sein d’une  Europe restreinte et aux intérêts compatibles.  

    L’élection présidentielle de 2012 a donc une importance cruciale pour notre avenir et celui de nos enfants. C’est la raison pour laquelle nous devons rester profondément conscients, vigilants, libres, « manœuvrant » et faire le meilleur choix possible.

    Libres de choisir et de soutenir ceux que nous pensons être en mesure de nous représenter dans ce combat ;  libres de s’opposer, libres de proposer des choix réformateurs qui nous avantagent, libres de défendre nos choix patriotiques, libres de choisir l’intérêt des nationaux plutôt que celui des migrants, libres de refuser d’accueillir toute la misère du monde etc.        

    Il faudra compter sur nous et ceux qui doutent de notre détermination doivent savoir que nous serons présents à l’heure où ils devront rendre des comptes. Pour eux, la fête est finie ! 

    Francis NERI 

    17/01/12

     

  • L’immigration et la mauvaise conscience européenne

    Bonjour chers amis,

    Aujourd'hui un dossier de notre ami José Castano ! Il ya longtemps que j'avais envie de vous le faire connaître! Voilà, c'est fait !

    Bien à vous !

    Le texte de JOSE

    « Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous ayons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir » (Blaise PASCAL)

    Dés lors qu’il s’agit des relations entre pays développés et tiers-monde, l’Occident, et principalement la France, sont atteints d’un sentiment de culpabilité qu’entretient une classe intellectuelle et médiatique inspirée par l’idéologie mondialiste et le rejet du passé colonial présenté comme honteux. L’esclavage, le colonialisme, le capitalisme, l’exploitation sous toutes ses formes, que nous aurions infligés aux peuples du Sud, nous rendraient coupables à leur égard d’une faute irrémissible et leur confèreraient sur nous des droits : devoir de repentance pour les uns, pour les autres droit aux compensations, à l’ouverture des frontières, et demain bien sûr droit à une revanche méritée. Alors que sont expulsées ou dépossédées les dernières minorités européennes des pays ex-colonisés et notamment d’Afrique, il nous faudrait, au nom de ces « péchés » historiques, accepter et entretenir sur notre sol des flots de migrants venant de ces mêmes pays, y compris lorsqu’ils s’imposent chez nous en violant nos frontières et nos lois. Dans cette vision des choses, les coupables ne sont plus ceux qui renoncent à défendre nos valeurs, notre identité et notre territoire, mais ceux, qualifiés de « xénophobes », qui prétendent résister à un déferlement migratoire de plus en plus envahissant et arrogant. La manipulation idéologique s’appuie sur un arsenal législatif de jour en jour plus répressif. 

    Accueillir des migrants en surnombre auxquels nous n’avons à proposer que l’assistanat, l’économie parallèle et la délinquance, au nom de la compassion et du rachat de nos fautes présumées, est un faux argument auquel nos compatriotes cèdent trop facilement. L’alibi de la solidarité et de l’aide au tiers-monde ne tient pas : Les pays qui voient partir les migrants n’ont rien à y gagner sur le long terme. Le coût social d’un seul immigré africain en France permettrait d’en faire vivre et travailler utilement plusieurs dizaines chez eux. Aider les tricheurs attirés par le mirage de l’Eldorado français ne fait qu’enfoncer un peu plus leurs pays dans un sous-développement devenu chronique, car structurel. L’argent qu’ils envoient à leurs parents est investi dans l’immobilier de prestige (Bamako et Kayes, au Mali, sont entourées d’une ceinture de carcasses de béton abandonnées) ou sert à acquérir des biens de consommation importés au détriment de l’économie locale. Le « bon pain blanc », fabriqué avec de la farine de blé d’origine étrangère acheté avec l’argent des immigrés, a ruiné les producteurs de vivriers locaux, mil, sorgho et manioc. Les politiques dites d’aide alimentaire aboutissent d’ailleurs aux mêmes conséquences, déstabilisant des économies fragiles et poussant les agriculteurs à émigrer, dans un premier temps dans les mégapoles africaines devenues ingérables, puis en Europe. Les « transferts de technologie », autre argument souvent invoqué en faveur de l’immigration, sont de très faible amplitude car les retours au pays sont de plus en plus exceptionnels et les savoir-faire acquis en France par une main-d’œuvre non qualifiée au départ trouvent rarement un débouché en Afrique. Un éboueur parisien aura du mal à exercer ses talents dans la vallée du fleuve Sénégal, où, par contre, l’agriculture manque désormais de bras et surtout de débouchés rentables. L’immigration des cadres, dite à tort immigration « choisie » car elle n’est pas davantage maîtrisée que l’autre, est tout autant pernicieuse car elle prive l’Afrique de l’élite professionnelle dont elle aurait besoin pour enfin sortir de l’ornière. 

    L’immigration, conséquence du sous-développement et d’une décolonisation ratée, ne saurait en constituer le remède. Faire appel aux bons sentiments d’une opinion publique manipulée, mal informée et indûment culpabilisée, pour lui faire accepter l’intrusion sur son territoire d’une immigration envahissante qui tend à ruiner notre économie et à détruire notre identité, sans bénéfice décelable pour les pays d’origine des migrants, constitue une supercherie mortelle. Ce n’est pas en encourageant les comportements de fuite que nous contribuerons au développement des pays du Sud, bien au contraire. L’émigration est un choix personnel, qui ne confère aux migrants aucun droit. Les intellectuels, politiques, magistrats, gens d’église, de media, de lettres et du spectacle, belles âmes en quête de valorisation personnelle ou électorale, qui jouent de la corde sensible pour instrumentaliser la pitié des Français, se trompent ou nous trompent. A l’époque coloniale et après, alors que la France constituait encore aux yeux des Africains authentiques un modèle et un partenaire respecté, beaucoup d’entre nous avons participé, sur un terrain difficile, à la construction d’une Afrique prospère et digne. Nous n’avons, à ce titre, aucune leçon de générosité à recevoir d’apprentis sorciers et d’idéologues toujours prêts à dénigrer la France, pour soigner leur image politique et promouvoir leur vision d’une humanité hors-sol, grise, déculturée et amnésique. 

    Robert SCHILLING

    rjp.schilling@wanadoo.fr

    "La France est un pays qui s'est construit sur la diversité et sur l'immigration. Ça doit continuer." (Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l'Intérieur, le Monde 08/04/2003)

    « L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C'est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre »

    (Aristote, Politique, Livre V)

    « Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire » (Enoch Powell – 20 avril 1968)

    Sous le titre « Stopper l’immigration, renforcer l’identité française », Marine Le Pen prévoit ceci dans son programme : « L’immigration non contrôlée est source de tensions dans une République qui ne parvient plus à assimiler les nouveaux Français. Les ghettos, les conflits interethniques, les revendications communautaires et les provocations politico-religieuses sont les conséquences directes d’une immigration massive qui met à mal notre identité nationale et amène avec elle une islamisation de plus en plus visible, avec son cortège de revendications. Le communautarisme est un poison contre la cohésion nationale. »

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    - Cliquez sur : SCOOP : Parrainages pour la « Présidentielle 2012 » - par Marc NOÉ 

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    - Cliquez sur ce lien : ¤ Immigration : dossier brûlant 

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    - Appel à soulèvement des immigrés musulmans contre la France
    http://www.petitsechodoran.com/flash-info/la-france-en-grand-danger-de-printemps-arabe,a3005645.html
     

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    Conférence sur : « LA KAHENA »

    (La fabuleuse épopée de cette reine berbère qui s’opposa au VIIe siècle à l’invasion arabe de l’AFN) 

    « Quinze ans après la mort du Prophète Mahomet, les armées arabes abordaient l’Afrique du Nord. Ce pays, jadis transformé par la civilisation romaine, en partie conquis à la foi chrétienne, va entrer dans l’ensemble, de jour en jour agrandi du monde musulman. C’est alors, que pour faire face à l’envahisseur, une femme va organiser la résistance berbère, réaliser la difficile unité du Maghreb et infliger aux cavaliers arabes de cuisantes défaites. Celle-ci, connue dans l’histoire sous le nom de La Kahéna, avait un caractère sacré. Il signifiait, la sorcière, la prêtresse, la devineresse. Elle possédait en effet un don prophétique et était vénérée de son peuple. Mais ses succès mêmes causeront sa chute…

    Durcie par ses victoires dans une orgueilleuse intransigeance, ne vivant plus que pour son clan, cette femme, si longtemps écoutée et obéie, ne pourra maintenir l’unité berbère et juguler les séculaires rivalités entre tribus. Dès lors, elle prédira son propre destin et, cernée par la trahison, verra dans un ultime baroud d’honneur tomber les meilleurs de ses compagnons. L’islamisation de l’Afrique du Nord était en marche… »

    C’est en s’appuyant sur les travaux des plus éminents historiens que le conférencier retrace avec l’émotion, l’amour et la passion qu’on lui connaît pour sa défunte terre française d’Algérie, l’extraordinaire épopée de cette « Jeanne d’Arc berbère » qui incarna avec tant de grandeur la folie d’indépendance et la fierté passionnée d’un peuple.

    - Cette conférence, organisée par l’association culturelle « Lettres de Sable », sera donnée par José CASTANO, lundi 27 Février, 20h, à la Maison du Combattant, 14, quai du Chapitre (rive droite) – 34250 PALAVAS LES FLOTS - Contact : 04.67.75.30.57 – e-mail : lettresdesable@gmail.com - Blog: http://lettres.de.sabl.over-blog.com 

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    Deux légionnaires français ont été tués, jeudi 29 décembre, en Afghanistan par « le tir délibéré d'un soldat afghan de l'ANA », l'Armée nationale afghane, ce qui porte désormais à 78 le nombre de soldats français tués en Afghanistan depuis fin 2001 (il y a également plus de 500 blessés dont certains ont été amputés). Le président de la République a « présenté à leurs familles et à leurs proches ses plus sincères condoléances en s’associant à leur douleur » tout en « exprimant, à nouveau, la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité pour rétablir paix et stabilité dans ce pays et contribuer à son développement ». Dans un communiqué séparé, François Fillon a « salué solennellement le courage, le dévouement et le professionnalisme sans faille de nos militaires agissant aux côtés de leurs camarades afghans ». Et pendant que ces Messieurs « s’associent à la douleur des familles », nos soldats continuent de se faire tuer pour une cause qui n’est pas la leur, dans un pays soumis aux lois et coutumes féodale, hostile et étranger, et qui retournera aux talibans quand l’OTAN se sera retirée. A quoi auront donc servi tous ces morts ? Au nom de quel droit, de quelle éthique, de quelle loi sacro-sainte les aura-t-on sacrifiés ?

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