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Présidentielle 2012 - Page 7

  • 47 % d’indécis !

    Je l’ai souvent dit sur ce blog, nous sommes en permanence en demeure d’appréhender la plus large réalité possible. Mais il y a la « réalité » et l’idée que l’on s’en fait et c’est là que les choses se compliquent. À défaut d’objectivité, en raison de la passion qui nous fait choisir mécaniquement un parti ou un autre, il va nous falloir considérer les faits, faire appel à notre esprit d’analyse, de synthèse et à nos compétences en communication pour ne pas nous faire manipuler.     

    C'est le moment de sortir les éléments premier de la réalité et de comparer ce que nous propose le duo de tête de la présidentielle et de voir en détail ce que soutient le troisième homme qui pour l’instant est une femme, F. Bayrou étant encore loin de la troisième place !    

    Les indécis sont aussi très nombreux en Alsace, en particulier à droite qui a vu s’effriter au fil des ans l’influence et la légitimité de ses représentants. Nous sommes nombreux à constater son impuissance face à une idéologie rose-verte qui lentement mais surement a réussi à conquérir de nombreux bastions.

    Nous savons aussi que d’autres régions, organisations, institutions sont également annexées par la gauche, que le combat des idées, des valeurs et de l’identité est commencé et qu’il est aussi important sinon plus que le débat sur l’économie et la finance. 

    Quelle que soit l’issue du scrutin la bataille ne s’arrête pas à la Présidentielle. L’élu (e) devra pouvoir gouverner. Il y a les législatives et les municipales. C’est la raison pour laquelle nous avons constitué un « Collectif Alsace pour 2012 » afin de tenter d’y voir clair ensemble et en faire profiter nos amis Alsaciens qui à droite comme à gauche sont indécis et les rapprocher de ceux qui ont déjà fait leur choix. Nous voulons décrypter le message et les propositions des trois candidats en tête : F. Hollande, N. Sarkozy et Marine Le Pen et prendre des mesures en anticipant les scrutins régionaux.

    A notre initiative d’autres collectifs sont en constitution et nous mettons en place un réseau qui devrait perdurer jusqu’aux municipales.     

    Mais j’aurai l’occasion de vous reparler de ce projet hors des sentiers tracés par les partis, que nous entendons développer et structurer et qui rassemble déjà de nombreux participants.  

    Pour l’instant et pour ma part, j’ai longuement observé les deux « hommes »  de tête  et ma foi plus je compare et moins je suis indécis pour ce qui les concerne. Entre les deux je préfère nettement N. Sarkozy

    François Hollande, fait partie du système qui depuis 40 ans  (au moins) détruit l'âme de notre pays. La crise, l'islamisation, le chômage, la désindustrialisation etc…ne sont que les conséquences de cette stratégie "mondialiste" dont sont responsables nos "élites" du CAC 40, une gauche multiculturaliste et Trotskyste, lâche et veule, et enfin des intégristes islamistes appuyés par les pays Arabes et Maghrébins qui rêvent de reconquérir le monde "par le ventre de leurs femmes...et accessoirement celui des nôtres. Et si nous résistons un tant soit peu, par les armes.    

    Comment peut-on croire aux promesses d'un candidat qui à contribué depuis F. Mitterrand à ce que la France devienne un pays de second ordre, au bord de la faillite ?

    Non F. Hollande, pas plus d’ailleurs que N. Sarkozy, ne me semble capable de redresser le pays, de lui redonner la place qu'il n'aurait jamais du perdre, de redonner confiance aux Français, de mette fin à la conquête islamo-salafiste et à l'abandon de nos valeurs républicaines et judéo-chrétiennes.

    Avec N. Sarkozy nous sommes à peu près certains qu’il fera tout simplement un peu plus de la même chose. Mais voter pour F. Hollande nous conduit directement à l'effondrement et à la guerre civile, surtout si Marine Le Pen n'obtient pas ses 500 signatures.

    Comment en effet comprendre que 20 à 25 % des Français, votant pour elle, ne puissent être représentés, ne puissent exprimer dans les urnes leur colère d'avoir été trompés depuis si longtemps ? Je soutiens avec entêtement que ceux de l'UMPS pour avoir été le problème ne peuvent être de la solution car ils sont prisonniers du système qu'ils ont contribué à construire.

    Comme 47% d’indécis j’hésite donc encore entre Marine et Nicolas au premier tour et je pense que c’est aussi au premier qu’il faut éliminer le danger F. Hollande.

    Je sais qu’il va falloir ensuite choisir son camp. C’est dans la droite ligne des choses. J’ai voté pour ce Président en 2007,  je voterais peut-être encore pour N. Sarkozy mais ce sera avec rage et désespoir, car il fait partie du système, de cette "triangulation" mondialisation-islamisation-gauchisme qui ont conduit la France dans cette impasse et ma foi comme il est dans notre pays, et au delà, le représentant de l’oligarchie mondialiste, il ne peut, pas plus que son compère Hollande, faire partie de la solution. Il fera tout pour que le « système » perdure en l’état. 

    Marine Le Pen ne m’a toujours pas convaincue. Sa promenade sur l’économie, sa sortie de l’Euro, de l’Europe et du monde est un pari sur l’échec de ceux qui se battent pour s’en sortir. Bref c’est désespérant, même si je reconnais que par bien des cotés ses analyses sont justes et que les faits semblent lui donner raison. 

    Alors voilà mes amis  je suis « rongé d’incertitudes » et je découvre que nous sommes nombreux à être dans ce cas. Alors pourquoi ne pas se mettre ensemble et échanger  avec ceux qui ont déjà pris leur décision, inviter leur candidat(e) à répondre à nos interrogations et nos inquiétudes. Nous pourrions identifier les « pièges » qui nous sont tendus, nous aider mutuellement à faire notre choix et participer concrètement à la solution de nos problèmes ?

    Il est temps que la « société civile », en dehors du clivage des partis, sorte du bois et combatte pour l’avenir de la France et de ses enfants. C’est l’objectif de notre collectif et, je sens qu’il va faire des émules ! 

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    Francis NERI

    21/02/12

    http://semanticien.blogspirit.com

     

  • La tyrannie du nihilisme homolâtre et le référendum

    Pour une fois je ne diffuserai pas les conclusions de Martine Aubry et de son avocat de mari, comme ma réponse d’ailleurs, car elles comportent une décision du tribunal que je ne puis transcrire librement sur mon blog. Je suis, d’autre part d’accord avec mon avocat (e) pour constater que mes adversaires ont beau jeu de vouloir utiliser à charge le moindre de mes propos dans leurs conclusions.

    D’autre part cela leur permet d’insinuer, avec un immense mépris, l’idée que je suis le propagateur d’une « idéologie » suspecte. Laquelle ? Ils ne précisent pas, mais c’est ma vision de l’islam qui ne leur convient pas !

    Il me vient des idées de poursuite en diffamation !

    Aussi en voyant la façon dont est traité le Député Vaneste j’ai rédigé un article que vous ne lirez pas, du moins tant que je n’en aurais pas fini avec ce procès qui s’éternise et qui brime MA liberté de  penser, de m’exprimer et de débattre.

    Mais bien heureusement j’ai des amis qui savent le faire avec talent. Alors je vous laisse avec Lucien ! Et vous au moins vous pouvez faire des commentaires. Avec prudence toutefois car ce blog est scruté en permanence par les » techniciens » de Martine Aubry dont ON m’ affirme qu’ils sont également ceux du PS…mais chut … je n’en dirais pas plus !      

     

    §

     

    Tout ce qui ne fait pas partie de ce courant (dont j'ai analysé les métastases théoriques dans plusieurs ouvrages et articles, par exemple ici) est catalogué d'"extrême droite", par exemple "resiliencetv" (écrivez le nom de ce site dans "cherchez une URL"); ne parlons pas dans ce cas du député Vanneste, même si ses derniers propos se sont avérés fondés. Il ne s'agit évidemment pas d'homophobie mais du refus de cette idéologie qui a remplacé le "socialisme scientifique"censé démontrer que le communisme serait un progrès pour le genre humain. On sait désormais ce qu'il en fut. Mais ce courant persiste et signe. L'homosexualité elle-même est perçue comme un progrès au sens où l’homosexualité n’est pas vue comme une tendance sexuelle mais un marqueur culturel obligatoire pour apparaître ouvert (un “ élément de progrès des civilisations » avait écrit Hugo Marsan in Le Monde du 7/3/97 à propos d’un livre de Henning Bech : When men meet : homosexuality and modernity) dépassée il est vrai sur sa gauche par la théorie queer remettant en cause la notion même d'homo ou d'hétéro avec ladite théorie du "genre".

    Il est en tout cas regrettable que même le candidat Sarkozy s'y est laissé prendre en confondant critique de ces théories nihilistes et homophobie. Mais faut-il s'en étonner lorsque lors de son annonce de candidature il parle de crise économique et financière, mais jamais de crise morale et spirituelle ? Comment peut-il prétendre alors faire de la France une nation "forte" s'il reste encore sous les fourches caudines de la lumpen intelligentsia politico-médiatique ?…Cela voudrait dire qu'il ne comprend pas lui non plus la réelle césure entre le peuple et l'élite, du moins supposée, parce que son radicalisme alimente les courants conservateurs en particulier religieux : les homolâtres sont en réalité les idiots utiles des propagandistes intégristes puisqu'ils renforcent ce faisant la critique de la modernité laïque effectuée par ces derniers : si en effet l'homolâtrie et/ou le queer sont les horizons indépassables de la "post" modernité, préférons dans ce cas plutôt se réfugier dans les mondes anciens. La tyrannie nihiliste homolâtre ou hypersexualiste (la contraception au berceau ou quasiment) est à la base de la poussée intégriste qui balaie aujourd'hui non seulement la France mais aussi les pays du Club Med dans lesquels cette tyrannie fait toujours ses parties fines.

    Peut-être que le référendum permettrait de cautériser sa propagation en en organisant aussi un sur l'Education ? Le degré de perdition de celle-ci, noyautée par cette tyrannie qui se considère comme une armée anti-libérale éliminant toute pensée libre, serait des plus salutaires.

    Car le référendum n'est pas d'essence bonapartiste ou plébiscitaire comme le pense Alain Duhamel (sur RTL le 17/02/2012) puisqu'il est surtout pensé (par exemple chez René Capitant) sous l'acception rousseauiste du Contrat social en ce qu'un système pleinement démocratique doit être mixte : représentatif et direct; et ce dernier point peut être obtenu en France du fait que depuis les deux cohabitations et la non démission du Président lors de défaites au référendum, ce dernier n'apparaît plus comme un plébiscite ou une sanction, mais seulement une intervention du Peuple sur des questions qui l'intéressent de manière vitale. Autrement dit, l'appréhension du référendum a changé puisqu'il n'est plus le déclencheur systématique d'une démission du Président. Dans ce cas il joue pleinement son rôle, celui de questionner chaque citoyen et non pas seulement un individu parmi d'autres. En ce sens, il n'est pas sûr qu'un référendum sur la peine de mort aurait été automatiquement repoussé comme le prétendent certains. En tout cas il est temps de se servir chirurgicalement de cette arme démocratique pour permettre l'asepsie de ce grand corps malade qu'est devenue une France ébranlée de plus en plus par cette tyrannie totalitaire, nouvel avatar du communisme et de son inhumanité ou "la mort de l'Homme" au profit de créatures interchangeables, hybrides, zombifiées.

    http://www.resiliencetv.fr/?p=10212

    lucien.oulahbib@free.fr

    0664944909

    http://lucien.samir.free.fr/biographie/index.html

     

     

  • La coercition au nom de la démocratie.

    Dans un environnement complexe, le décryptage de l’information est devenu un processus et un impératif de survie démocratique.

    La société civile des citoyens ordinaires, revenus de leurs illusions de détenir un possible pouvoir révolutionnaire ou tout simplement un changement de « système », n’ont plus grand-chose à découvrir avec les progrès de la mondialisation de l’information.

    Mais comme pour les blogueurs revenus du front "anti-liberté d'expression", le chemin de la réalité est aussi pavé d’embûches. Non que ceux qui forment la base de  la « société civile » aient tout à découvrir. Avec les progrès des chaînes satellitaires et internet, ils ont les moyens de  réfléchir à l’uniformisation des modes de pensée qui en découle.

    Simplement, pour qui a toujours vécu en démocratie, dans un environnement politique pluraliste, ou la laïcité est un dogme libertaire, renoncer à la liberté d’expression et celle du « faire ce que je dis », demande un travail sur soi considérable. Passer du choix et du travail des idées, ou tout peut faire débat, à l’ingestion forcée de dogmes préfabriqués ne va pas de soi.

    C’est pourtant ce que l’on nous « propose » et que nous sommes souvent obligés d’avaler comme une mauvaise soupe, parce que nous avons faim.

    C’est que depuis l’inversion des valeurs  de mai 68 (cette révolution des us et coutumes) la mise en relation des idées, la liberté d’expression, les rapports sociaux n'ont fait que de se dégrader. La perversion des mœurs, des attitudes et des comportements individuels, a pris progressivement et “légitimement” sa place dans la société car, encouragée, entre autre, par les partis et certaines associations de « l'Establishement ». Ils font partie de ces groupes puissants de gens installés, qui défendent leurs privilèges et leur classe sociale.

    Tout laisse à penser que l'on veut nous inculquer des idées et éthiques glauques, immorales et perverses, et de surcroit mêlées au pouvoir de l'argent !

    Tout cela, bien évidemment, facilite le travail de destruction, dans l’esprit des jeunes générations, de nos identités et de nos valeurs mémorielles dont les idéologues de gauche comme de droite veulent la disparition afin de promouvoir l’idée qu’il faut tout uniformiser pour mieux maitriser, y compris et surtout la culture.

    Nous avions l'illusion d'avoir construit une société démocratique fondée sur la libre et pacifique confrontation des opinions. Certains n’en veulent plus. Pour eux nos sociétés doivent redevenir « autoritaires ». La démocratie, même simplement représentative, serait devenue un luxe parce que des humains  sont à présent trop nombreux à vouloir avoir accès aux « richesses » et consommer comme l’Occidental moyen.

    Un luxe que les communautarismes, les clans, les religions, les sectes et les mafias ne permettent plus car ils revendiquent un pouvoir que ceux qui le détiennent ne peuvent leur accorder.

    Le combat pour l'égalité est bien engagé, mais les combattants ne savent pas encore qu'il est sans issue.

    Pour ce qui nous concerne en tant qu’Européens, au nom de l’internationalisation des échanges,  nous avons voulu la disparition de nos nations et de nos souverainetés pour une nation et une souveraineté européenne.

    Pour cela, il fallait que meurent nos identités. Eh bien ! « ils » ont réussi à tuer l’idée de la nation et de l’identité française, mais ils ne l’ont pas pour autant  remplacé par une « nation » européenne capable de fédérer au moins une politique économique.

    Contrairement à ce qu’ils avaient promis, ils n’ont pas favorisé, en même temps que l’euro, l’émergence d’une nouvelle identité économique, sociale et culturelle, une identité englobante qui nous mettrait en mesure de faire face à nos concurrents mondiaux. Bref ils ont servi leurs intérêts et ceux des spéculateurs ; ils ont mis la France en faillite et nous devons payer l’addition.

    Bien sûr ils ont vu venir la crise en 2008 et ils avaient les moyens de la prévenir.

    Bien sûr ils savaient que la dette, le déficit de notre commerce extérieur et l’immigration pouvaient faire de la France un pays du tiers monde.

    Bien sûr ils n’ont rien voulu faire car ils savaient que, de ce désastre,  ils tireraient des profits supplémentaires. Ils justifieraient une reprise en main autoritaire que la « crise» expliquerait.

    Voila pour quelles raisons la liberté de penser, de dialoguer, d’échanger des informations, de débattre, de porter sur les évènements « son » regard et « sa » main est pour le moins en perte de vitesse. Le prêt à penser a pris sa place et ceux qui insistent pour exprimer leurs différences sont traînés devant les tribunaux.

    Bref à défaut d’auto-régulation, les peuples sont comme les financiers, il faut, semble t-il, les réguler d’autorité, leur poser un thermostat.

    Le modèle social français d’intégration n’y a pas résisté. Notre modèle civilisationnel va-t-il sombrer à son tour ??

    Si on ne badine pas avec la démocratie, entre son invocation magique et sa mise en pratique, se glisse l’abîme de tous les possibles…

    La démocratie c'est le respect des minorités. En son nom nous donnons, fort naïvement, énormément de droits et de privilèges aux populations de l'immigration. Droits et privilèges généralement sans contreparties.

    Mais la démocratie c'est également la loi du nombre. Les leaders politico-religieux de ces populations, en particulier musulmanes et africaines, de plus en plus nombreuses, revendiquent des privilèges au nom de la démocratie…qu’ils aboliront le jour où ils seront suffisamment forts pour le faire. C’est du moins ce qu’ils prétendent entreprendre ouvertement puisqu’elle n’est pas compatible avec leurs préceptes religieux.

    Ce processus pervers n’échappe pas à nos « élites » mais pour eux, ce qui importe, c’est le consommateur et le producteur. De quelque culture qu’il soit, ce qu’ils veulent c’est qu’il consomme et si le « Gaulois » ne consomme plus eh bien qu’il disparaisse !

    Sur 7 milliards d’humains, dont il ne faut surtout pas réduire le nombre mais bien au contraire l’augmenter, d’autres se lèveront, en Chine, Afrique, en Argentine ou ailleurs pour remplacer ce dernier rejeton de la culture occidentale.    

    D’autre part, cette approche, idéologique et universaliste, permet l’internationalisation immédiate des conflits à des fins, officiellement, d’ingérences humanitaires. Pour les complexes « militaro-industriels » c’est une question de survie.

    C’est la position de l’ONU, à l’exception de la Chine et de la Russie, si l’on prend l’exemple syrien.

    On ne badinera pas avec la démocratie, devenue l’impératif catégorique de notre temps. Mais entre son invocation magique et sa mise en pratique, se glisse l’abîme de tous les possibles…ferons nous la guerre au nom de la démocratie ?

    Pour cela, les arguments des Islamo-gauchistes sont grosso modo les mêmes que ceux utilisés naguère par les pacifistes des années 4O, avec un risque de guerre civile accrue du fait de la nature devenue multiconfessionnelle du pays et que ces confessions, en particulier l’Islam, s’expriment avec de plus en plus de radicalisation et d’exigences agressives 

    Ceux qui nous conduisent vers cet effondrement  sollicitent à nouveau nos suffrages afin de continuer cette œuvre de mort. Mais la « crise » qui ne nous laisse aucune marge de manœuvre ne nous permet aucune erreur d’appréciation, ni aucune indulgence.

    Pouvons-nous encore confier notre destin à ceux qui sont les promoteurs de ce système infernal ? Pouvons nous croire une seconde qu’ils aient changé, qu’ils ont compris et qu’à présent ils ne nous tromperont plus ?

    Alors ? Allons nous encore nous laisser conduire, en silence, à l’abattoir comme des agneaux nous y faire égorger ? 

    Francis NERI

    http://semanticien.blogspirit.com

    07 02 12