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Régulation, contrôle, sanction - Page 131

  • Le pourquoi et le comment

    • Pour quelles raisons les sociétés développées, malgré les extraordinaires succès de la science se sont elles jusqu’à présent montrées si peu capables de maîtriser leur histoire ?
    • Comment l’humanité peut elle surmonter les périls du futur et mieux contrôler son avenir ? 

    Répondons à ces deux questions et nous aurons la méthode de résolution du "problème" posé.

    Encore faudra t’il accepter de remettre en cause le catéchisme politique élémentaire, qui nous impose son choix, sans penser une seconde que nous n’avons plus à nous résigner à l’une ou l’autre de ses alternatives :

    Le libéralisme qui assure la liberté par une large décentralisation, est égalitaire dans une certaine mesure, atteint une grande efficacité grâce à la concurrence, lorsqu’il n’est pas détournée au profit exclusif de quelques uns.
    La démocratie populaire qui devrait garantir la participation par la suppression des classes sociales et si possible la dominance et qui n’a pas à s’adapter puisqu’elle constitue le dernier système avant l’âge d’or du communisme.  
    La dictature dont l’efficacité serait permise par la disparition des vains palabres de la démocratie, améliorerait le sort des plus défavorisés, de la communauté concernée, et assure la pérennité du pouvoir.

    La méthode nous l’avons bien évidemment et c’est à l’épistémologie scientifique que nous demanderons les modes de pensée et les concepts permettant utilement de résoudre la problématique.

    En effet, en dehors par exemple de la science économique, de l’écologie, de l’informatique, de  la sociologie etc. il se dégage un concept majeur destiné à jouer un rôle fondamental dans l’évolution de la pensée et de l‘organisation humaine c’est la notion de système et la méthode  systémique dans son approche de la complexité : interaction, rétroaction, auto-organisation, mémoire,  régulation, contrôle etc.

    En systémiciens éclairés, il nous faudra faire face aux trois insuffisances de régulation et de contrôle qui s’inscrivent à trois niveaux.

    Celui de l’individu, noyau insécable de la collectivité humaine dont le néo cortex ne régule pas toujours l’affectivité et les pulsions premières.      

    Celui du groupe et des systèmes politiques nationaux qui doivent assurer l’intégration et la coordination des activités nationales

    Celui d’un système politique international, cadre de la paix et de la guerre, avec des nations détentrices d’un pouvoir absolu de destruction.

    Dans les guerres, les révolutions, les effondrements de civilisations, se retrouvent d’une part, toujours une  seule forme de gouvernance : libéralisme, démocratie populaire ou dictature et d’autre part, toujours imbriquées les trois insuffisances de régulation et de contrôle.

    J’ai souvent constaté que nous évitons tous de nous poser la question de la « finalité » de la politique et la raison en est simple, c’est que nous nous heurtons à la divergence des systèmes de valeur et que celles ci ne sont universelles que pour ceux qui, veulent bien y croire.

    Il y a donc les tenants d’une idéologie, qui énoncent des critères de choix entre les évolutions possibles et se placent au dessus de la communauté humaine et, d'autre part, ceux qui ne veulent que créer les conditions de construire par eux mêmes, par le jeu de leurs interactions les évolutions qu’ils trouvent acceptables.

    C’est à partir, de là que se fait le choix de la gouvernance : libéralisme, démocratie populaire, Etat fort et souverain (il est temps en effet d’oublier la dictature, tout au moins au sein du Monde Occidental).

    C’est le moment, probablement historique, de faire ce choix consciemment, et il ne sera pas le même selon le contexte économique, culturel, cultuel, démographique etc.

    Et dans bien des cas il faudra faire un mixte !

    Francis NERI
    21 06 15

     

     

  • Si la Grèce fait défaut

    Cela va coûter 68 milliards d'euros aux Français. Et ça ne va pas vous faire rigoler !

    Je ne sais  si vous partagez le même sentiment que moi, mais,  au cours des discussions, concernant la politique et les navets qui nous la fabriquent (entretiens que nous échangeons souvent ensemble), j'éprouve la désagréable impression que le vocabulaire commence à me faire défaut, pour qualifier l'incommensurable stupidité et la non-moins phénoménale nullité de ces nuisibles, qui osent nous diriger.

    La construction Européenne en est une brillante démonstration.  Cette incurie pathologique des politiques à savoir édifier quelque-chose qui tienne debout, semble pour eux, inatteignable. Faire des erreurs soit !...Mais les accumuler jusqu'à les édifier sous forme d'institution...C'est prodigieux !... Il y avait pourtant  une  marge à ne pas dépasser que ces morbides crétins ont allègrement franchi pour notre plus grand malheur.

    Dépenser de l'argent qu'ils n'ont pas et nous offrir à régler l'addition de leurs monstrueuses conneries, est chez-eux, un sport national. Sport au demeurant partagé part bien d'autres pays Européens, tout en reconnaissant que la France, mérite à elle-seule, un podium d'honneur dans cette discipline particulière.

    La foudroyante idée de notre président à la face de raie, de saborder les navires  qu'il  refuse de livrer à la Russie, pour plaire à Monsieur BANANIA, représente à elle seule le summum, l'archétype, le mètre étalon de la sidérale connerie universelle.

    Les bras m'en tombent !...Avec son acharnement à nous faire payer ses monstrueuses bourdes... de manchots  que nous sommes déjà...nous deviendrons tous  culs-de jatte, ou hommes troncs....
    au choix !...c'est vous qui voyez !...  

    Quand on pense qu'il a fallu construire des grandes écoles, en assurer le fonctionnement, rémunérer les professeurs, pour au final, détenir la plus remarquable collection de crétins abrutis et stupides....Crétins des Alpes ...certes non ...de l’Himalaya serait une origine plus à leur mesure.

    C'est consternant!...Les mots me manquent... J'ai la nausée !... Bonne journée quand-même !... Je retourne à ma lutherie,  mes  outils, mes bouts de bois, ma colle et mes vernis, le parfum qui s'en dégage me convient mieux !...  

    Amicalement

    Claude Allard

     

  • Le démantèlement de l’Etat social.

    « La politique néolibérale, fondée sur une vision étroite de l’économie, a pour objectif de détruire tous les collectifs (Etat, associations, familles), pour permettre à ses forces de s’exercer en toute liberté »
    Pierre Bourdieu

    Je considère cette perception et interprétation du « libéralisme et de la mondialisation « libérale » comme erronée. Une résurgence de la « lutte des classes » et de « l’internationale communiste ».

    Ce qui devrait être « démantelé », c’est l’extension de l’État social à ceux qui n’ont pas participé à sa construction.
    Par exemple il n’est pas « sain » d’accepter que ceux quoi n’ont jamais versé au fond du système par répartition des retraites en tirent bénéfice, que ceux qui n’ont jamais rien versé dans les caisses de « sécurité » sociale soient soignés sans bourse déliée etc.

    Le néolibéralisme se moque de qui paie pourvu que TOUS consomment. Et les hypocrites de gauche comme les « Bourdieu », dont s’inspirent les Hollandes et consorts, les prédateurs de droite comme les « Sarkozy », que je renvoie dos à dos, se moquent des réalités quotidiennes auxquelles les Nationaux de base ont à faire face.

    Ils sont donc des alliés objectifs et l’islam est leur arme de guerre !

    Le « vrai » problème est ailleurs ! S’il est exact que la politique « marchande » actuelle de l’Empire Anglo-saxon a intérêt à « détruire tous les collectifs et l’Etat social pour s’exercer en toutes libertés », ce n’est pas en ouvrant nos portes à la prolifération démographique du tiers monde et en l’implantation sur nos sols d’une culture guerrière et conquérante que nous y parviendrons… bien au contraire.

    Seul un « Etat stratège souverain » peut nous sortir de l’impasse dans laquelle nous ont conduit tous les apprentis sorciers de droite comme de gauche.

    C’est cette idée première que je retiens dans le projet de gouvernance de Marine Le PEN et du FN/RBM qui s’exprime très bien dans son opposition au TAFTA et dans la nécessité de stopper l’immigration non désirée.

    Il s’agit tout simplement d’imposer la notion de régulation, de contrôle et de sanctions, à commencer par l’immigration, la démographie, l’économie, les finances et pour cela retrouver notre souveraineté nationale.

    Peu importe donc les divergences actuelles au sein de ce parti, qui ne sont que des conflits d’intérêt et de personnes, tant que sera maintenu le Projet garantissant le bien commun « des conquêtes sociales » à partir d’un « libéralisme » recentré vers l’Humain et pour l’Humain au sein de SA niche écologique, sociale, économique et culturelle.     

    Francis NERI
    19 06 15