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Régulation, contrôle, sanction - Page 129

  • Évoluer

    Notre évolution se fait dans un processus cyclique de plus en plus complexe et de moins en moins maitrisé.
    Nous formons le postulat que la « nature » établirait après chaque évolution signifiante une position d’équilibre.
    Il semblerait que ce n’est plus le cas. Il est probable qu’il est de la responsabilité de l’Homme de rétablir l’homéostasie du système après chaque bouleversement.
    Bref l’Homme serait responsable de son avenir. La « Nature » aurait passé la main, à moins qu’elle n’ait décidé, comme pour les dinosaures de mettre fin, à un moment donné, à l’existence d’une espèce par trop invasive.
    « Au delà de cette limite votre ticket n’est plus valable », dégagez « on » repart à zéro !

    Soyons honnête, le projet de « fourmilière humaine » des apprentis sorcier qui nous « dirigent » est suicidaire ! Nous n’y survivrons pas.
    Il serait temps de penser à nous réguler et à nous contrôler, à, donner ou redonner une finalité à l’espèce,  une finalité qui dépasse le concept : « croissez et multipliez »

    Nous avons devant nous un certain nombre de défis auxquels nous avons à faire face ; le défi démographique est probablement le plus considérable et malheureusement le plus ignoré, pour de simples raisons culturelles, cultuelles, financières, économiques et le tout à la fois !

    Cela constitue ce que j’appelle la « culture du Fellah ». Elle intéresse l’Afrique en général et les musulmans en particulier.
    Cette culture fait évidemment l’affaire de nos « élites » mondialisées, de nos multinationales et de nos structures financiarisées.

    Faire trop d’enfants tue la planète disait un ami  « écologiste » Faire trop d’enfants africains et musulmans la tue absolument !

    Nous savons donc ce qui nous reste à faire !

    Francis NERI

    28 07 15

  • Espèces Invasives

    L'introduction, volontaire ou non, de nouvelles espèces dans un milieu peut entraîner des conséquences importantes. Cette nouvelle espèce peut s'adapter, au détriment des espèces indigènes (ou autochtones) et devenir une espèce invasive.

    Cette introduction peut amener d'importants risques écologiques, mais aussi économiques et sociaux.

    Il ne faut pas confondre une espèce invasive, qui vient d'ailleurs, avec une espèce envahissante dont le potentiel de reproduction est important mais qui peut être une espèce considérée avec le temps comme indigène.

    Une espèce invasive met en moyenne une quarantaine d’années à s’implanter dans un milieu, mais ensuite, son éradication devient pratiquement impossible.

    Mais si les espèces invasives apparaissent comme les secondes responsables des extinctions d’espèces dans le monde, c’est précisément parce que près de 80 % de ces extinctions se manifestent dans des milieux, où les prédateurs introduits ont un impact très élevé.

    Récemment, 40 ans environ, une espèce qu’il serait imprudent de nommer ici, particulièrement invasive, toxique même est entrée en France et on s’attend à des conséquences terribles pour la faune indigène.

    Les espèces invasives en effet disposent d’un très fort potentiel adaptatif. Ce sont elles qui se révèlent les plus aptes à vivre dans ce monde que nous avons transformé.

    Les espèces autochtones vont devoir évoluer et s’adapter, rapidement, si elles ne veulent pas disparaître.

    Car ce concept d’espèce indigène, qui s’oppose à celui d’espèce exotique, est une création de notre pensée qui n’a pas deux siècles. La nature, elle, ne discrimine rien.

    Marcel Camus disait que mal nommer les choses, c’était ajouter au malheur du monde.

    Une invasion est une invasion et à en ignorer les conséquences est une faute …mortelle pour l’espèce envahie.

    Francis NERI

    18 07 15

     

  • Économie systémique

     
    Son principe fondateur doit être posé comme cadre si nous voulons sortir des crises, des pratiques criminelles et oligarchiques. D’une rupture systémique globale qui ne peut être réparée que si l’on abandonne la pensée linéaire de cause à effet.
    Cette rupture bien entendu ne profite qu’à un petit nombre
    Nous vivons dans un système fermé, et par conséquent, toute activité qui s’y déroule doit « obéir » aux règles systémiques d’interaction et de rétroaction avec l’éco-système global.
    Nous avons à repenser les liens fonctionnels entre économie de marché, économie réelle, finance, écologie, démographie, immigration etc.
    Par exemple : Le principe de réalité nous dit « que ceux qui sont responsables du problème ne peuvent le régler. Ils ne peuvent être de la solution »
    Nous ne pouvons donc exiger une régulation des marchés financiers pour la bonne raison que ses principes de fonctionnement reposent précisément sur des mécanismes de dérégulation : croissance expansionniste, spéculation et volatilité. Prétendre qu’une régulation est possible relève donc d’une imposture intellectuelle.
    Comme nous ne pouvons les supprimer et que l’auto régulation çà ne marche pas. Nous devons donc introduire sur le système lui même une instance de contrôle, de régulation indépendante…un thermostat en quelque sorte émoticône smile
    J’en conclu :
    Que seule une pensée système introduisant régulation et contrôle sur chacune et sur l’ensemble de ces entrées permettra la regénération du système global sans le détruire… et nous avec.
    Francis NERI
    14 07 15.