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Régulation, contrôle, sanction - Page 72

  • Palestiniens

    "Je ne pleure plus aucun palestinien depuis l'âge de 15 ans.
    Autrement dit depuis que j'ai bien compris leur mode de fonctionnement. Des pleureuses doublées de fainéants, de comédiens et de mendiants professionnels. Voilà ce que sont ceux qui revendiquent avec verve et fracas cette appartenance ethnique et identitaire.

    Des peuples entiers se sont relevés de conflits fratricides, de guerres sanglantes voire de génocides sans pareil pour construire ou reconstruire leur pays, bâtir des nations solides, fières et soudées. Parfois, souvent même, sans la moindre aide extérieure, à la seule force de leurs bras et de leurs cerveaux.
    Sans jamais se plaindre, ces peuples que nous connaissons tous ont réussi à faire des blessures et des traumatismes de l'Histoire un élan prodigieux pour édifier un avenir meilleur. Certains sont même devenus des puissances économiques mondiales, des exemples universels d'évolution sociale et culturelle.

    Qu'ont fait, en 70 ans, les Palestiniens et leurs dirigeants, avec le soutien moral, politique et diplomatique international et les millions de dollars reçus tous les ans des 4 coins de la planète ?
    Locaux ou diaspora, qu'ont-ils accompli pour ce pays dont ils défendent avec autant d'ardeur la légitimité et le droit à l'existence ?

    Que vont-ils léguer à leurs enfants ? La haine primaire et assassine du Juif qui les éduque, les emploie et les soigne. Une cause nationaliste complètement vendue à l'islamo-terrorisme. Et, de père en fils, de mère en fille, les outils de propagande et de mises en scène misérabilistes pour faire pleurer dans les chaumières et maintenir ouverts ad vitam eternam les robinets de la charité planétaire.

    Je ne pleure plus les Palestiniens depuis qu'ils ont perdu mon respect. Et pour toutes ces raisons-là, je suis et resterai sioniste. Jusqu'à mon dernier souffle."

    Belzebuth Kahena
    09 10 18

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/
  • La guerre civile

    Le journaliste Yves Mamou accuse les élites françaises de s'être coupablement désintéressées de l'immigration, et d'avoir fermé les yeux sur l'islamisation du pays

    La guerre civile se définit comme le déchirement d'une nation. Je ne sais pas si cette guerre aura lieu, mais il m'a semblé utile de m'interroger sur la présence de deux nations sur le même territoire national. Parfois, ce sont des frontières mal tracées qui créent les conditions d'un affrontement entre deux nations. Mais en France, la nation islamique a été fabriquée de toutes pièces. Elle est le résultat d'une politique.

    Les élites françaises, c'est-à-dire les grands corps de l'État, les partis politiques, les experts, les magistrats, les médias, les élites culturelles… ont, pour de multiples raisons, plusieurs décennies durant - et encore aujourd'hui - encouragé et légitimé l'immigration musulmane.

    Cette préférence des élites pour l'islam a produit un fossé abyssal entre la France d'en haut et la France d'en bas.

    La majorité de la population française témoigne à l'égard de sa classe politique d'une gamme de sentiments qui va de l'écœurement au dégoût.

    Et sur quoi se cristallise cette rupture entre le haut et le bas de la société? Sur l'islam jugé trop invasif et l'immigration jugée excessive.

    L’islamisme et l'immigrationnisme ont été voulus, théorisés, écrits et préparés à l'avance !

    La constance avec laquelle le Conseil d'État a aidé à la constitution d'une nation islamique en France est sidérante.

    Tous les arrêts du Conseil d'État sont favorables à l'immigration musulmane, favorables au voile, favorables au burkini, favorables à la burqa, favorables aux familles polygames et j'en passe.

    Idem pour le Conseil constitutionnel qui trouve conforme à l'intérêt général de laisser les écoles salafistes proliférer ou de supprimer, au nom de la «solidarité», les peines qui frappaient autrefois les délinquants qui facilitaient l'immigration clandestine.

    L’antiracisme politique et le discours diversitaire n'ont pas pour but de combattre le racisme. Ce sont des outils au service d'une réinitialisation des consciences. Ils servent à marteler que les immigrés de couleur sont par essence des victimes.

    En trente ans, la société française a quitté un modèle laïque républicain pour être projetée dans un modèle multiculturaliste, communautariste et anti-laïque. Il s'agit d'une authentique révolution qui se poursuit encore aujourd'hui sous nos yeux.

    Les élites politiques, économiques et institutionnelles ont balayé le vieux modèle laïque et républicain sans demander l'avis du reste de la population. Les élites françaises ont été à l'origine du plus grand casse du siècle, lequel s'avère être aussi un casse de la démocratie et de la laïcité.

     
    Pour quel profit ? Je crains que seul l'islamisme soit à même de tirer les marrons du feu.

    Les musulmans deviennent une composante à part entière de la population et celle ci est majoritairement hostile à la composante autochtone : faut il que des politiques, à gauche en particulier, leur parlent et les accompagnent dans leurs revendications ?

    La gauche clientéliste flatte le communautarisme islamique: baux emphytéotiques pour la construction de mosquées, heures de piscine réservées aux femmes, etc., cela dans le but de recueillir les voix des musulmans.
    L'islamo-gauchisme accompagne la violence islamiste pour conquérir le pouvoir. Ce sont deux démarches différentes, mais les deux instrumentalisent les musulmans comme outil de conquête du pouvoir.

    En trente ans, la société française a quitté un modèle laïque républicain pour être projetée dans un modèle multiculturaliste, communautariste et anti-laïque.

    En réintroduisant la religion - et surtout la religion musulmane - dans l'espace de la politique, la gauche (mais aussi la droite) a disséminé les germes de la guerre civile.

    Penser comme le font nos élus de droite et de gauche que la République doit des mosquées aux musulmans est une erreur et une trahison.

    Quand à « l’église », elle dit avoir de la compassion pour les migrants musulmans, il est bon de rappeler que cette compassion est sélective. L'Église ne défend pas les Coptes quand ils sont massacrés en Égypte, elle proteste à peine contre l'authentique épuration ethnique qui frappe les chrétiens d'Orient, et elle n'a guère eu de mot charitable pour les Yazidis massacrés par l'État islamique.

    C'est cette sélectivité compassionnelle qui interroge. La charité affichée de l'Église envers les musulmans est aussi une politique.

    Sélections par :

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    06 10 18

  • Non axiomes III

    Le prénom
    « Le prénom choisi souligne une intention : pour des immigrés par exemple celle de s’assimiler à la nation au sein de laquelle ils souhaitent vivre ou au contraire de persévérer dans l’allégeance au groupe d’origine voire de manifester un rejet de la terre d’accueil »

    Le prochain

    « Le prochain est l’autre qui est proche, qui fait partie du groupe, ou qui vient vivre en son sein en se conformant à ses règles. Ce n’est pas le lointain, l’autre en tant qu’autre qu’on aime, non malgré, mais en raison de sa différence. Car cet attrait pour l’altérité risque bien de cacher une détestation de soi et de l’identité issue de la tradition du groupe auquel on appartient parce qu’on lui doit sa culture. »

    Le sionisme
    «  Le sionisme, mouvement millénaire du peuple juif au centre de la vision juive a enclenché un mouvement historique de retour vers la terre ancestrale, ce mouvement est irrésistible et supplante l amour réel des juifs français pour leur patrie mais ne l annule pas, il suffit de questionner ces nouveaux israéliens qui portent la France au cœur de la nation juive renaissante »

    Christian Vanneste

    03 10 18

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/