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Union Européenne - Page 12

  • George Soros

    «  Un projet de société mondialiste »

    L’Europe traverse depuis des années une catastrophe migratoire sans précédent qui, si elle ne cesse pas, modifiera l’identité culturelle de notre continent pour longtemps. Face à ce chaos migratoire qui menace de tout emporter, discerner les responsabilités est fondamental. Celle de l’oligarque globaliste George Soros permet de comprendre qu’il n’y a pas de fatalité en politique : sans son intervention et son influence sur cette question, la politique migratoire européenne pourrait être tout à fait différente.

    George Soros est favorable à une vassalisation et à une dilution progressive des souverainetés étatiques dans un système de gouvernance mondial inclusif, l’impérialisme direct lui apparaît comme trop visible et même risqué à moyen terme :

    « La stratégie de Soros pour étendre Pax Americana diffère du modèle de Bush, en particulier dans sa subtilité. Mais c’est tout aussi ambitieux et tout aussi mortel. Les libéraux de gauche, qui admirent son soutien pour certaines de leurs questions favorites telles que les droits des homosexuels et la légalisation des drogues douces, le laissent s’en tirer à bon compte. »

    La spécificité de l’Open Society Foundations de Soros étant d’opérer sur des thématiques sociales, sociétales ou métapolitiques sur tous les continents. Un outil d’autant plus efficace qu’il se présente comme indépendant des États ou des institutions internationales. De plus, si la plupart des ONG concentrent leur action et leurs moyens sur un thème précis, l’Open Society peut quant à elle, avec son idéal de société ouverte, embrasser tout le champ du possible des actions non gouvernementales. Comme l’expose la présentation officielle de l’OSF :

    « Les fondations Open Society soutiennent aux quatre coins du globe des personnes et des organisations qui se battent pour promouvoir la liberté d’expression, des gouvernements transparents qui rendent des comptes, et des sociétés plus justes et plus égalitaires. Cela se traduit souvent par une attention particulière envers ceux qui souffrent de discriminations pour le simple fait d’être eux-mêmes, tels que les Roms en Europe, et d’autres forcés de vivre en marge de la société. » 

    Migration, dépénalisation des drogues, nouvelles normes sociétales (théories du genre, propagande LGBT), déstabilisations de régimes politiques, liberté de la presse, écologie : l’activité de l’OSF touche tous les sujets de société sensibles sur la plupart des continents. (…)

    Un budget d'un milliard de dollars en 2018

    Le budget officiel de l’OSF pour l’année 2017 était évalué à 940,7 millions de dollars. Pour 2018, ce budget a rejoint les 1, 005 milliard de dollars, ce qui représente une augmentation de plus de 60 millions de dollars en un an. Les dépenses totales de l’OSF depuis sa création sont estimées quant à elles à 14 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. Cela donne une idée de l’ampleur démesurée des moyens dont dispose le réseau Open Society Foundations. Comme l’indique le site de l’Open Society, George Soros a fait don à l’OSF depuis 1984 de 32 milliards de dollars sur sa fortune personnelle si on inclut les derniers 18 milliards de dollars qu’il a légués en 2017. Le budget que l’Open Society consacrait à la seule question migratoire en 2018 était de 63,3 millions de dollars. Aussi, en septembre 2016, George Soros promettait d’investir 500 millions de dollars de placements en actions dans des investissements qui bénéficient aux migrants. 

    Avec une telle force d’influence, George Soros peut véritablement être appelé « un homme d’État sans État » comme il se définit lui-même.

    Selon la thématique chère aux mondialistes du "glocalisme" : fusion du global et du local. Investir le champ local et s’impliquer sur le terrain dans des problématiques bien réelles, inonder de moyens financiers colossaux des associations et ONG qui sont en fait autant de relais salariés de son projet de société, telle est la méthode Soros sur la question migratoire comme ailleurs.

     13 03 19

    NERI Francis @Iese67NERI

    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Europe et UE

    La réponse de Laurent Wauquiez à la lettre d'Emmanuel Macron

    "Dans une tribune au "Monde", le chef des Républicains répond au chef de l'Etat et considère que l'Union européenne a échoué."

    Dans une tribune publiée dans Le Monde le samedi 9 mars, Laurent Wauquiez répond à la lettre d'Emmanuel Macron aux Français. Dans cette dernière, le président des Républicains fait le constat d'une Union européenne qui a échoué et appelle à refonder le projet européen autour des nations.

    "En deux ans, Emmanuel Macron n'est parvenu à aucun progrès sur la scène européenne ; aucune des idées du discours de la Sorbonne ne s'est traduite en actes" explique-t-il. Il critique le recours aux même "slogans incantatoires" comme "refonder l'espace Schengen" ou "créer une Europe sociale". Il dénonce aussi le manichéisme du président de la République qui oppose «proeuropéens et antieuropéens, progressistes et nationalistes, sauveurs et destructeurs».

    Laurent Wauquiez réaffirme tout de même son attachement à une Europe des nations contre un fédéralisme européen. Pour lui, l'Europe doit s'appuyer sur les nations pour grandir et non pas sur les "décombres" de ces dernières. 

    Dans cette continuité, il s'attaque à la compétence normative de l'Union européenne. Pour lui, " L'Europe des normes doit céder la place à l'Europe des projets».

    Pour Laurent Wauquiez, "L'Europe ne vient pas de nulle part" elle est "le fruit de trois traditions, gréco-latine, judéo-chrétienne et des Lumières". Toujours selon ce dernier, elle porterait un "combat" pour contrer "l'islamisme qui menace les fondements de notre civilisation".
    Pour compléter son projet et sa vision de l'Europe, le président des Républicains, entend "renforcer la préférence européenne" et appelle à un vrai protectionnisme européen.  Enfin, il propose un plus strict contrôle des frontières européennes et françaises. 

    Vu sur : Lu sur Le Monde

    Eh ben, il va y avoir de la concurrence pour rester dans l’UE …moi je vais voir du coté d’Asselineau  au moins LUI dit clairement qu’il faut en sortir de L’UE …pour peu qu’il s’en prenne également à l’islamisation et à l’immigration, il aura tout bon J
    La seule chose que j’apprécie dans le discours de LW c’est la reconnaissance  des origines plurielles de l’Europe …il était temps !

    Ah si Chirac avait su …il aurait lui aussi "combattu l'islamisme".

    Le « reste » n’est que discours de circonstance !  

    Francis-claude Neri.

    http://semanticien.blogspirit.com/
    11 03 19

  • La République actuelle est morte

    Oui elle est morte, et seul son cadavre bouge encore !

    26 milliardaires possèdent autant d’argent que la moitié de l’humanité. Notre époque n’est plus qu’un immense simulacre, des « faire semblant », en particulier des « faire semblant » démocratiques.
    Libéralisme et libertarisme ont construit une alliance qui se caractérise par l’absence des limites détruisant les sociabilités et réservant les richesses à une poignée d’oligarques.

    Résultat, la violence qui se déchaine un peu partout conduisant à la guerre de tous contre tous. Le racisme anti-blanc, les transsexuels de couleurs ou pas disant en chantant vouloir bruler l’Élysée tout en faisant des câlins au Président et son épouse.
    La responsable de la communication Elyséenne déclarant à la mort de Simone Weil : « Yes, la meuf est dead… »
    Des proches du Président se comportant comme des aventuriers et des prédateurs (affaire Benala).

    Oui la République est morte et seul son cadavre bouge encore entre les mains du « pantin de l’Elysée ».
    Les « valeurs » républicaines ne sont plus que des ruines  et nous sommes de plus en plus nombreux  à vouloir nous appuyer sur une éthique et une morale à retrouver dans le passé.
    C’est probablement cela la « révolution conservatrice ».

    Il est probable que le hiatus entre le discours du candidat Macron en 17 et la perception de son action comme Président par le peuple, sera la cause de sa défaite en 22.      

    Celui ou celle qui gagnera devra savoir que la modération et l’indécision ne sont pas les clés du succès. C’est le différentiel de mobilisation-en particulier par les réseaux sociaux- qui fera la différence.  Le discours modéré et sans aspérités n’est plus de mise… que l’opposition se le dise, ceux, par exemple, que l’on qualifie encore de souverainistes.

    L’immigration et le communautarisme seront primordiaux dans le vote aux Européennes comme aux prochaines municipales.
    Quand à l’idée européenne elle ne sortira pas de la « crise » et cette crise la tuera tant l’efficacité  des institutions communautaires apparaît douteuse dans à peu prés tous les domaines.
    De LR à RN, la droite joue son salut dans l’affirmation de ses valeurs et non pas dans l’injonction modératrice et l’impossible rassemblement des appareils.
    Savoir répondre aux attentes sociales, culturelles, impérieuses et sans nuances,  persuader et convaincre que « l’on dit ce qu’on va faire et que l’on fera ce que l’on dit », en particulier sur les plans économique, financier, fiscal, voilà l’enjeu des prochaines élections.

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    09 03 19