Nous sommes des millions à le penser : la France est en train de mourir.
Cette mort que nous sentons venir, c’est la mort de quinze siècles d’histoire de France, de plusieurs millénaires de civilisation européenne.
Car « l’establishment » des mondialistes fait la guerre à notre histoire, il la détruit patiemment, par l’Ecole, par les médias. La haine de nos origines est l’essence de leur construction lentement élaborée.
Cette guerre ne se fait pas seulement contre le passé, lointain ou récent. Elle se fait chaque jour contre les vivants de 2017.
Partout, la mondialisation et son idéologie, le mondialisme, frappe. Et leurs victimes ne doivent pas seulement dire merci, mais aussi pardon. Pardon d’être là, pardon d’être Français, pardon d’être blanc, pardon de gêner, pardon de croire que la France est le pays des Français.
Ces Français qui souffrent sont des millions. Ils sont les victimes immolées dont le sacrifice doit être tu et même enseveli sous les mensonges. Ils sont la France et ils vivent en direct sa disparition.
Il n’existe pas plus grande victime qu’eux , car il vivent dans un pays ou l’Etat mène une guerre contre eux, un pays ou l’étranger passe avant l’autochtone, un pays ou il lui est dit qu’il est une brute, un égoïste, un raciste et un assassin esclavagiste.
Cela ne peut pas durer, çà a assez duré ! Un Etat qui fait la guerre aux siens doit être combattu.
Un Etat qui prend ses ordres à Bruxelles ou à Berlin n’a plus rien de national, il n’est plus légitime, il doit disparaître.
L’élection de mai et de juin17 nous donne une chance. C’est sans doute la dernière pour que les choses se passent avec le minimum de tension.
Nous devons nous doter d’un gouvernement et d’une majorité à l’Assemblée nationale qui soit issue du peuple, de ce peuple bafoué et qui ne veut pas mourir, qui veut une nation puissante et pas une société de consommateurs.
S’il y a assez de Français qui le veulent, c’est à dire une minorité agissante, une avant-garde déterminée, alors la France ne mourra pas, nous la sortirons du tombeau s’il le faut !
Un peuple mérite ses chefs, et Fillon, Macron et quelques autres, ce n’est pas une punition divine. Ils ne seront pas si nous ne les voulons pas …et nous n’en voulons pas, alors nous sommes prêts à les combattre pour permettre à celle que nous avons choisie d’être notre chef de guerre : Marine !
Qu’ils se le disent !
Francis-claude Neri