Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

réguler

  • La réalité

    Comment passer de la dure réalité perçue par la raison dans le monde dit matériel à la douce réalité dans laquelle l'amour nous invite à baigner?
    Je suppose que la réponse est déjà dans la question...

    Je ne sais pas si comme moi vous avez quelques fois eu le sentiment de boucler une boucle, d'arriver à sinon résoudre du moins vous êtes parvenus au stade où on commence à avoir l'impression de conclure une dichotomie, en tout cas au niveau de sentir que vous vous approchez d'une conclusion satisfaisante, c'est à dire d'un modus vivendi avec vous-même asez agréable, relativement plaisant, presque apaisant, à toucher du doigt l'harmonie et la plénitude, fût-ce de manière fugace, assez souvent pour être satisfait, infiniment heureux de vivre, conscient d'exister !
    Personnellement cette dichotomie essentielle et permanente chez moi, mon champ de bataille interne, c'est banalement celle universelle, celle j'imagine de tout un chacun, entre la partie de soi-même qui prétend se soumettre à la raison, à un âge dit de raison (pour moi au plus tard vers sept ans), c'est-à-dire cette partie de soi appelée l'Égo, qui en réalité veut surtout soumettre le monde à sa propre raison et la partie de soi-même, qu'on appelle aussi la conscience, qui considère quelques fois être le vrai sujet, voire le vrai moi, celle qui se présente sous couvert de l'intuition et du "... plus fort que soi...", comme en amour (et au poker, au billard, au tennis, sur un coup-franc au football, au tir à l'arc, etc.) , précisément cette partie là de soi-même qui défie la raison, comme s'il s'agissait de sa raison d'être et l'entendement comme si les lois du monde étaient son défi, cette partie rebelle à laquelle il arrive dans certaines circonstances particulières, comme dans un rêve, comme sur un pont entre ce réel et une autre de ses dimensions, de percevoir le temps et l'espace ainsi que soi-même, les limites de son corps et de son esprit d'une manière tout à fait incompatible avec la raison, la science, le bon sens et tout ce que le matérialisme, rationalisme, le domaine des contraintes et la dure réalité du monde, nous imposent.

    François Amsallem
    14 05 23

     

     
  • Le principe d’assimilation

    C’est "devenir le même". A partir du moment où un individu refuse de devenir le même, il ne peut y avoir assimilation.
    C’est le cas avec les islamistes ; ils refusent de s’assimiler. Du coup ils tentent de NOUS assimiler c’est de l’assimilation à l’envers.
    Avec une dynamique démographie suffisamment forte, l’immigration massive en cours et notre « passivité » il est fort possible qu’à moyen terme la Oumma, ce puissant égrégore de l’islam gagne la partie.

    Et la France peut rapidement ressembler au Liban. Dans certaines « zones » en France c’est le cas, et « l’appariement sélectif » en cours comme dans « Le camp des saints ».

    Le voulons-nous ?  

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/
    20 09 20

          

     

  • La complexité de la notion de système.

    La connaissance des parties additionnée ne peut conduire à la connaissance ; pourquoi ?
    Parce que l’organisation d’un système produit des émergences et les émergences sont des propriétés qui naissent de l’organisation du tout.

    Jacques Monod, dans le Hasard et la nécessité, parle de l’émergence. Et de la grande conquête dans la biologie des années 1950 qui a consisté à montrer que la vie était faite de constituants physico-chimiques que l’on peut retrouver dans la nature ; dès lors la différence entre la vie et la non vie ce n’était pas la matière, mais l’organisation, la complexité de l’organisation vivante. Et l’on retrouve cette question à tous les niveaux, jusqu’aux sociétés organisées.

    C’est la raison pour laquelle nous ne comprendrons rien au monde en devenir si nous ignorons la notion de système, de structure et d’organisation.

    J’ai relu attentivement le livre de Zemmour, un ami ayant attiré mon attention sur la dernière phrase du livre qui est la suivante : La France se meurt, la France est morte !
    Et comme Zemmour a sur cet ami une grande influence, celui ci considère que puisque la France EST morte, il n’est plus nécessaire de combattre.
    Et donc il envisage de se réfugier et s’enfermer avec quelques amis dans une proprièté-bastion, cultiver ses salades biologiques, faire son pain, son électricité etc. et attendre que çà se passe.

    Après réexamen, je considère que cet ami

    1) simplifie le discours de Zemmour, qui écrit aussi : ce projet subversif  (de destruction de la France) connaît aujourd’hui ses limites ; il est temps de déconstruitre les déconstructeurs ! Et c’est ce qu’il s’attache à faire…moi aussi !

    2) additionne des parties (des éléments) du système en interaction dynamique, en oubliant que le TOUT est au moins plus que la somme des parties…ce qu’à mon avis il doit mieux appréhender !

    Du coup j’ai fait et refait une analyse systémique car elle est la seule en mesure d’analyser la complexité et je vous rends attentif à ce que dit à ce sujet Edgard Morin :
     « Cela nous conduit à un paradoxe logique. Le problème de la complexité ne se pose pas seulement en termes empiriques : l’embrouillamini des actions, réactions, interactions, rétroactions ; c’est aussi un problème conceptuel, et je dirais même logique : il faut concevoir ce type d’unités où il y a du plus et du moins, donc en apparence antinomique. De même il faut concevoir l’unité du divers et la diversité de l’un. Et là, sans doute, la formation que nous avons tous reçue rend très difficile cette conception. Prenons le débat sur l’humain. Il y a ceux qui vont insister sur l’unité de l’humain, car il y a le même génome, les mêmes traits anatomiques, le même cerveau, la même aptitude à rire, pleurer etc. Mais d’autres — et le débat a commencé avec Voltaire et Herder — disent que les cultures, les individus sont irréductibles les uns aux autres, et l’on ne voit plus que le singulier et le divers. Alors que le grand problème, je le répète, est de concevoir l’unité dans le divers et le divers dans l’unité. »

    La difficulté est donc de sortir d’un système de pensée qui tend à disjoindre ce qui doit être associé. Et c’est cela qu’il faut commencer à appeler complexe.

    C’est TOUT le problème actuel que nous avons par exemple avec l’Islam. Si nous concevons que l’islam fait partie du système, alors nous ne pouvons le « disjoindre » mais dans son propre intérêt, nous avons à le réduire à sa plus simple expression afin qu’il n’envahisse pas tout le système et ne nous impose pas sa vision du monde.
    Bref …nous voulons justement que le monde reste divers et Morin à tort de vouloir que la  « singularité » de Islam réduise l’Occident à sa plus simple expression sous prétexte que celui-ci aurait « canibalisé », « mis en esclavage » l’Afrique de l’Ouest et les Arabo-musulmans depuis trop longtemps.

    Il nous faut donc combattre les idées de Morin et combattre en nous le désir de se réfugier sur notre arbre et attendre que çà se passe.


    Il n’y a qu’une seule voie possible si nous ne voulons pas nous retrouver dans une situation sans issue : plus de régulation, plus de contrôle et plus de sanctions envers les éléments du système qui veulent nous imposer leurs pratiques…à commencer par NOS dirigeants et nos élites actuelles.
    Quand au tiers monde, au monde Africain et Arabo-musuman, si nous voulons bien comprendre leur soif d’égalité, qu’ils veulent eux aussi consommer jusqu’à en devenir obèses, nous devons leur dire : pourquoi pas, mais alors réduisez VOTRE population, car ce que vous voulez : le beurre et l’argent du beurre ce n’est pas possible …

    Ce qui ne veut pas dire que nous devons nous aussi continuer à consommer comme des malades …et à ce sujet, je trouve l’idée de réduire au maximum la population de ceux qui ont tout juste 90 de QI comme excellente …il suffit de les obliger à  une sévère contraception, voire d’en stériliser certain(e)s.

    N’avez vous pas remarqué qu’il n’y a plus de gros et de grosses parmi nos « zélites » ?
    Small is beautifull !
    Par contre comme aux USA …les gros et les grosses parmi le « bon peuple » leur nombre grossi … si j’ose dire !

    C’est voulu …bien sur : du pain et des jeux, la télé, le foot, les chips et le beurre de cacahouètes !

    Bien sur j’entends d’ici les moralistes, les « bien pensant » me traiter de nazi en voulant réguler, contrôler et sanctionner …la démographie, les finances, l’économie, la production et l’attribution des matières première, la production agricole  …d’être un VRAI écologiste en fait.
    Surtout si je leur dis, en plus, que je ne crois plus du tout, mais alors du tout, que le système électoral et démocratique à fait son temps car 51 % d’imbéciles votant pour des crétins comme Hollande, ce n’est plus possible.

    Il faut réduire le nombre de crétins ou les empêcher de voter !
    C’est ce que pourrait sinon dire, mais du moins envisager de faire Marine LE PEN si elle veut vraiment parvenir au pouvoir.

    Voilà …je crains que ce soit ma dernière chronique !

    Francis NERI
    10 04 16