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réalité

  • Réalités

    André Roussaire à Frédéric D'Aubert
    La situation que nous vivons et qui est en train de changer totalement le visage anthropologique de l'Europe est historique et inédite...
    On ne connaît pas un seul pays colonisé sans guerre , sans un seul coup de feu, uniquement par le nombre et le ventre ...
    Pour information il y 45 ans , on entendait les chefs d'état ( Boumedienne, Komeiny, Assad, etc...) tenant des discours dans les conférences au sommet des pays africano-arabo-musulmans : un jour viendra où les peuples pauvres (musulmans ) iront à la conquête de l'hémisphère Nord ( occident chrétien) pour le conquérir ( islamiser) par le nombre et le ventre ( ils savaient déjà leur infériorité militaire ).
    Nous y sommes !

    Frédéric D'Aubert Parfaitement exact !
    André Roussaire à Frédéric D'Aubert
    J'ai passé la moitié de ma vie dans les pays arabo musulmans d'une part et la colonisation en cours est commenté par les intellectuels, philosophes et personnalités comme Finkielkraut, Onfray, Zemmour etc...
    Voyez la désintégration inédite de la France par rapport aux années 70/80 , c'est très surprenant ...
    Frédéric D'Aubert à André Roussaire Dans les années 60, ces problèmes ne se posaient justement pas et la France s’équipait comme jamais, n'ayant plus à traîner le fardeau de ses colonies. Cette époque fut un âge d'or.

    André Roussaire à Frédéric D'Aubert
    Dans les années 60, il y n'y avait pas une proportion d'immigrés importante qui mettaient en insécurité culturelle les Français. Être Français voulait dire quelque chose... J'ai filmé ma ville de province en 1980 . En passant les cassettes en numérique en 2010, je fus surpris par le changement de population en si peu de temps, ce que je n'avais pas réalisé.
    Si en 1980, la ville, les gens étaient Français avec quelques Italiens, espagnols etc... Actuellement, au moins 50% sont arrivés d'autres continents et on réalise qu'on est passé d'une société blanche homogène, même dans l’habillement, le mode de vie à une société multiculturelle colorée...
    Je pense que ce n'est pas une avancée car nous avons importé des problèmes éthnico-socio-religio-culturels avec des frictions de mode de vie pour lesquels nous n'avons pas de solution.

    Frédéric D'Aubert ; Francis-claude Neri met des "Like" à des commentaires énoncés totalement à côté du sujet. C'est cocasse

    Francis-claude Neri à Frédéric D'Aubert Mais non c'est une OBSERVATION à coté du fil ...mais elle n'est pas hors sujet ...à partir du moment où l'on considère que tout est lié

    Frédéric D'Aubert Il est vrai que tout est dans tout, et réciproquement.

    Francis-claude Neri à Frédéric D'Aubert Ah là je te retrouve ...je commençais à être inquiet. Je considérais jusqu'à présent que contrairement à certains "communicants" politico-médiatiques, entre autres, mais aussi à Mr MACRON, tu partageais l'idée-force que chaque être humain - comme sujet actif- construisait SA propre réalité.

    Ce qui lui est nécessaire pour affronter les situations problématiques auxquelles il fait face (même par la fuite -voir Laborit, éloge de la fuite).

    Ce n'est en rien une prétendue "réalité" ou "vérité" sur les choses, mais SA connaissance opératoire et stratégique qui le rend à même (ou pas) de résoudre, par étapes les problèmes qu'il rencontre. Et cela est généralement suffisant dans un système en équilibre (homéostasie)

    Dans le contexte actuel ce n’est plus le cas.

    Alors, nous pouvons essayer de lui faire découvrir d'autres "réalités", d'autres attitudes, élaborer d'autres comportements à l'aide d'une INTERACTION qui se veut managériale, pédagogique, thérapeutique ou les trois à la fois.

    Elle peut être qualifiée de constructiviste (d’où ma référence récente à l'Ecole de Palo Alto comme méthodologie fondamentale d’intervention (Mental Research Institute).

    Une procédure clinique ET répétable qui synthétise l'approche systémique, respecte l'individu, le groupe ET l’espèce dans ses relations avec SON environnement.

    Je te précise (pour l'avenir de nos relations) que je ne prétends pas être épistémologique (je ne fais pas l'étude de ce que je sais et comment je le sais).

    Je me dis simplement que si les modalités perceptives d'une personne (sujet) changent, ses propres représentations et ses comportements changeront.

    De l'observation des attitudes et des comportements de Mr Macron et les siens, je découvre le reflet de nous même et du monde dans un miroir et franchement çà me fait peur.

    Notre participation chaotique au mouvement devrait consister à modifier cette "réalité".

    Bien à toi

    Daniel Schall Buvons un coup, buvons en deux ; à la santé du roi de France ... et merde au roi d'Angleterre qui nous a déclaré la guerre ...!!

    Dans l’intérêt de la raison …datez !

    04 01 19

     

  • La réalité

    Comment passer de la dure réalité perçue par la raison dans le monde dit matériel à la douce réalité dans laquelle l'amour nous invite à baigner?
    Je suppose que la réponse est déjà dans la question...

    Je ne sais pas si comme moi vous avez quelques fois eu le sentiment de boucler une boucle, d'arriver à sinon résoudre du moins vous êtes parvenus au stade où on commence à avoir l'impression de conclure une dichotomie, en tout cas au niveau de sentir que vous vous approchez d'une conclusion satisfaisante, c'est à dire d'un modus vivendi avec vous-même asez agréable, relativement plaisant, presque apaisant, à toucher du doigt l'harmonie et la plénitude, fût-ce de manière fugace, assez souvent pour être satisfait, infiniment heureux de vivre, conscient d'exister !
    Personnellement cette dichotomie essentielle et permanente chez moi, mon champ de bataille interne, c'est banalement celle universelle, celle j'imagine de tout un chacun, entre la partie de soi-même qui prétend se soumettre à la raison, à un âge dit de raison (pour moi au plus tard vers sept ans), c'est-à-dire cette partie de soi appelée l'Égo, qui en réalité veut surtout soumettre le monde à sa propre raison et la partie de soi-même, qu'on appelle aussi la conscience, qui considère quelques fois être le vrai sujet, voire le vrai moi, celle qui se présente sous couvert de l'intuition et du "... plus fort que soi...", comme en amour (et au poker, au billard, au tennis, sur un coup-franc au football, au tir à l'arc, etc.) , précisément cette partie là de soi-même qui défie la raison, comme s'il s'agissait de sa raison d'être et l'entendement comme si les lois du monde étaient son défi, cette partie rebelle à laquelle il arrive dans certaines circonstances particulières, comme dans un rêve, comme sur un pont entre ce réel et une autre de ses dimensions, de percevoir le temps et l'espace ainsi que soi-même, les limites de son corps et de son esprit d'une manière tout à fait incompatible avec la raison, la science, le bon sens et tout ce que le matérialisme, rationalisme, le domaine des contraintes et la dure réalité du monde, nous imposent.

    François Amsallem
    14 05 23

     

     
  • Bref rappel !

    1) Glissade vers l’entropie

     « La réalité n’est qu’une illusion, figée par une perception humaine imparfaite. Une des grandes manifestations de la miséricorde divine consiste à nous tenir perpétuellement dans le brouillard »

    Philip K. DICK

    Un systémicien affirme n’être qu’un « messager » qui fait des prédictions auto réalisatrices.

    Pourtant, il intervient dans les lois de causalité qui affectent l’avenir. Ainsi il le détermine.

    Ces lois transmettent des informations détaillées, à identifier et distinguer, en provenance de sources diverses.

    Il y a maintes potentialisés qui n’accèdent pas à la réalité. Le systémicien sélectionne parmi les potentialités celles qui lui paraissent les plus profitables à l’homme et fait en sorte qu’elles deviennent la réalité.
    Mais ce n’est pas tout, ses prédictions structurent, mettent en forme, une personnalité. Elles communiquent une information de trois ordres : organisationnelle, pédagogique, thérapeutique.

    Un systémicien est un individu prudent. Il sait que la plupart du temps, mieux vaut ne pas afficher un quelconque « pouvoir » même si celui-ci n’est que la manifestation d’un système intelligent, vivant et agissant.

    Bien sur, il n’est pas indifférent à la descente longue et sinueuse de l’espèce humaine vers le genre de chaos qui, selon les astrophysiciens, est le sort promis à l’ensemble de l’univers.

    Il se souci donc du respect d’un cahier des charges, encore largement inconnu, sur lequel il sait n’avoir apparemment aucun pouvoir, et ne se préoccupe que de faire en sorte que ses congénères n’en accélèrent pas le cours. Il espère avoir encore quelque millions d’années devant lui pour apprendre à réguler et contrôler l’entropie.

    Bref il fait souvent semblant de faire ce que les autres veulent qu’il fassent…tout en faisant autre chose, ce qui est le plus souvent un moyen de continuer à vivre.
    Il pense que les solutions de continuité qu’il apporte est un service rendu aux autres…enfin à certains autres… par exemple ceux qui lui semblent privé de l’affect (QE) et que l’on prend généralement pour des schizoïdes, alors qu’ils savent simplement mieux dominer leurs émotions ou plus exactement les tenir à distances et les utiliser afin accroître leur efficacité personnelle.

    Efficacité qui, comme chacun le sait, ne réside pas dans un savoir, mais dans des attitudes et des comportements maîtrisés, régulés, contrôlés, orientés vers un but.  

    Un systémicien traite l’information à sa manière et lui donne corps. Il « voit » comment les objets sont liés les uns aux autres et comment leurs relations évoluent. Il ne s’intéresse généralement pas au « pourquoi », mais au mouvement des objets, à leur placement. 

    La liaison et la relation des objets entre eux et un véritable langage qui s’adresse au « système » lui-même et non à un être ou une chose situé en dehors de lui.
    Appréhender ce langage permet d’appréhender une partie de la réalité, une partie du tout.

    Nous pouvons alors ordonner le désordre en un tout cohérent et lui donner le sens que nous voulons, recréer des formes et des processus que nous pouvons identifier.

    2) La nature de la réalité

    La prison de fer de l’Empire « qui n’a jamais pris fin », de la  Triple alliance actuelle « libérale », « islamique », « gauchiste » la « Triplice » comme la dénomme Jacques Philarchein, qui est sans cesse renouvelée, est de tous les temps.

    « JE » considère que c’est UNE REALITE !

    Aujourd’hui elle occupe pratiquement tous les espaces.

    Inutile donc de rechercher l’épicentre d’un « complot ». Pour un systémicien, il ne suffit pas de constater que la Franc maçonnerie ou le Cercle existent pour prouver que la théorie du complot mondial est une réalité. Les Francs maçons, les personnalités du Cercle, les multinationales mondialisées, les hautes sphères financières, le système militaro industriel américain, sont tout au  plus les agents de l’Empire sans cesse abattu et sans cesse recommencé.
    Son existence en dernier ressort dépend de ce que nous avons envie de voir et de croire, et tant qu’il nous offre suffisamment de « pain et de jeu », nous nous y soumettons.

    Dans l’histoire connue, nous pouvons discerner la fausseté fondamentale du raisonnement concluant au complot, à la manipulation de quelques uns. L’Empire se renouvelle, sous nos yeux, depuis la naissance de toute société tant soit peu organisée.

    C’est ainsi que la volonté de croire triomphe de l’esprit rationnel, chaque fois que l’un et l’autre entrent en conflit.

    Comme dirait peut être le sage, et pour le parodier, on nous montre le doigt et nous croyons voir la lune. Nous confondons les causes et les effets, nous croyons cerner les causes de nos difficultés alors que nous n’en subissons que les conséquences.

    Francis NERI

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