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Le systémicien - Page 18

  • Europe effondrement

    "Le plus probable est que d’ici 2030, l’Europe atteindra un niveau de dégradation tel que les partis politiques d’extrême droite/conservateurs/traditionalistes prendront le contrôle de la plupart des pays clés et limiteront considérablement l’ingérence des États-Unis.

    L’UE pourrait alors trépasser et ces pays pourraient lentement rétablir un semblant de souveraineté, en reprenant des relations et des échanges normaux avec la Russie, la Chine, etc.

    A ce moment-là, ils seront considérablement affaiblis et redeviendront dépendants de la Russie et de la Chine sur le plan énergétique et économique.

    La Russie et la Chine sont très indulgentes et accueilleront donc tous les pays dans leur giron, ainsi que la République indépendante du Texas, la Floride et quelques autres nouvelles nations indépendantes qui s’engageront probablement dans leurs propres échanges et relations avec la Russie et la Chine, malgré les cris d’orfraie de Nancy Pelosi, qui aura alors 117 ans, et d’un membre quelconque de la dynastie Bush ou Clinton qui dirigera encore la coquille vide des États-Unis moribonds."

  • La symphonie provencale

    Pagnol « est le marqueur d’une identité, d’une intimité, ». Apprécions dans cette œuvre « les valeurs familiales et de respect qu’elle véhicule ». Mémoire, identité, valeurs c'est un peu la même chose. Tachons alors de les faire connecter et interagir ensemble de manière systémique car TOUT est relié !

    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/culture/pagnol-la-symphonie-provencale?  

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  • Mémoire et identité

    Une identité nationale honorable se choisit ! On ne la reçoit pas passivement comme une onction divine. Choisir son identité nationale, c’est être capable de faire l’effort de comprendre le sens historique et culturel qui la fonde ; c’est pénétrer dans une immense bibliothèque qui conserve la trace de ce que, de génération en génération, des hommes ont dit et écrit, non pas pour s’enfermer à l’intérieur de frontières hermétiques mais pour offrir leur tribut singulier aux valeurs universelles. On n’y entre pas les yeux bandés ; ces traces ne sont pas conservées pour que l’on y mette servilement nos pas ; elles sont soumises à notre réflexion, offertes à la discussion collective. Une identité nationale se mérite donc par l’effort intellectuel et linguistique qu’on lui consent.

    ​Je veux ici dénoncer le renoncement d’un État qui n’a pas su remplir son devoir - minimum- d’intégration linguistique envers les nouveaux arrivants alors que la plus sûre promesse d’une intégration dignement construite, c’est qu’ils parviennent à maîtriser la langue française.
    Je dis bien “maîtriser” la langue française, et non la “baragouiner”. Nous avons en effet, depuis trop longtemps, accepté avec une complaisance coupable que le problème d’insécurité linguistique dont souffrent certains citoyens soit dissimulé sous le concept dangereux de “diversité linguistique”. Chacun pouvant ainsi parler comme il l’entend, chacun pouvant écrire comme cela lui chante, peu importe la justesse et l’efficacité de son langage.
    Nous devons, au contraire, à tous ceux que l’on accueille, d’où qu’ils viennent, le meilleur de notre langue.
    ​Ce n’est donc pas dans le foisonnement de particularismes langagiers, qui stigmatisent plus qu’ils ne distinguent, que réside la promesse d’une identité nationale honorable et désirée. Tous les citoyens dans ce pays ont droit à une langue commune juste, précise et… créative ; il est de notre devoir de la leur offrir, il est de leur devoir de la chérir.
    Par Alain Bentolila

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