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emmanuel macron

  • Les bons chemins

    Les bons chemins

     Le président de la République a prévu de s'adresser au pays, à l'issue des discussions parlementaires autour de la réforme des retraites. Ce n'est pas gagné pour lui quand on analyse la dernière livraison du baromètre Kantar !

    En un mois, la cote de confiance d'Emmanuel Macron perd 5 points. Mais c'est surtout le nombre des mécontents qui doit inquiéter le chef de l'État, nous rassurer et nous faire avancer : 64% des Français ne lui font pas confiance, le point le plus haut depuis sa réélection, dont 41% (+6) ne lui font pas du tout confiance.

    Il apparaît donc que pour NOUS une fenêtre s’ouvre et que la « Reconquista » peut enfin commencer.

    Pour cela il y a deux chemins qui soient empruntables si nous voulons accélérer le processus sans attendre la prochaine échéance ministérielle ; c'est à dire : faire « tomber » ce gouvernement, forcer le Président à choisir un premier ministre dans l’opposition, dissoudre l’assemblée etc.

    Le premier chemin c’est celui de l’idéologie, du SENS à donner à nos actes avec comme objectif de retrouver les valeurs fondamentales de NOTRE civilisation et en particulier les valeurs gréco-romaines, judéo-chrétiennes, associées à celles des lumières : la laïcité !

    Notre objectif devra consister à relier ces forces, les faire se reconnaître comme complémentaires de sorte qu’elles parviennent à agir ensemble et de concert avec une finalité et des objectifs communs. 

    Le second chemin c’est le rassemblement des « forces » de l’opposition, celles du peuple en accord avec les objectifs « idéologiques » cités ci-dessus et qui ne passent donc pas nécessairement par les partis, qu’ils soient de gauche, de droite, du centre, ou d’ailleurs. Ces dénominations n’ont plus de sens.

    Pour ma part, je partage le concept de « rassemblement républicain » de Jean Messiha élaboré au sein de l’institut Apollon :

    Il faut un rassemblement républicain pour la reconquête !

    https://www.youtube.com/watch?v=RLQcIwEyhH8

    C’est en reliant, en mettant en cohérence ces deux chemins que nous pourrons les transformer en une autoroute menant directement le peuple de France au pouvoir avec les représentants de SON choix.

    Ceux-ci étant munis d’une obligation de moyens ET de résultats dans l’application du « projet présidentiel » à mettre en œuvre.

    C’est, il me semble, notre dernière chance pour éviter l’effondrement définitif de notre pays voire de la civilisation en Europe. 

    09/03/23

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    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/



     

  • Campagne d’Emmanuel Macron 

    Blitzkrieg ou politique de la terre brûlée ?
    Selon son entourage, et d’après ses récentes déclarations au Parisien, le président de la République aurait « très envie de se représenter ». Cette déclaration laisse peu de suspense sur ses intentions, sur lesquelles on en apprend un peu plus.

    Selon France Info, un membre du bureau exécutif de LREM a indiqué que le candidat supposé donnerait à sa campagne la forme d’un « blitzkrieg », d’une « guerre éclair ». Blitzkrieg, le mot est lâché. Rappelons-en l’origine : pour les Allemands, la phase initiale du blitzkrieg est la coupure rapide du système défensif ennemi en un point précis, obtenue par la concentration des forces en un même lieu. C’est grâce à cette stratégie que l’Allemagne nazie prit rapidement le contrôle de presque toute l’Europe.

    En 2019, Nathalie Loiseau, tête de liste de LREM aux élections européennes, avait déjà évoqué cette expression pour relancer sa campagne. Elle avait même parlé de « blitzkrieg positif ». On avait vu le résultat…

    Pourtant, ce mot n’est pas finalement si éloigné de la réalité fantasmée d’Emmanuel Macron. Il s’est rêvé en chef de guerre. Depuis le début. Toute la panoplie a été déployée : le couvre-feu, l’état d’urgence, les Conseils de défense, les déclarations de guerre. Depuis le début de la pandémie, tout a été pensé en ces termes.

    Le chef de l’État a cru que la pandémie de Covid lui permettrait de revêtir l’armure du guerrier, prêt à fondre sur l’ennemi invisible pour le terrasser.

    Le terme « blitzkrieg » utilisé à propos de la future campagne s’inscrit dans la même logique. Il place le futur candidat Macron dans l’axe de sa politique vaccinale : divide et impera
    (« diviser pour mieux régner »).

    Car ne nous trompons pas sur l’ennemi. Ses récentes déclarations ont donné le ton. La campagne sera centrée sur la pandémie, certes, mais non pas pour s’enorgueillir de ses victoires (il n’y en a pas), plutôt pour en désigner les responsables : les citoyens récalcitrants. Tel sera l’axe annoncé du blitzkrieg : les non-vax. Ceux qu’il juge « irresponsables », qui à ses yeux ne sont plus dignes de la citoyenneté et qu’il n’hésite plus à jeter à la vindicte populaire.

    Passons la forme, les discours, les déclarations d’intention : que reste-t-il, concrètement ?

    Une population fracturée, des citoyens rejetés par tous moyens possibles hors de la sphère sociale, citoyens qui paient pourtant leurs impôts et cotisations sociales mais sont privés d’une partie de leurs droits fondamentaux et que l’on soigne parce qu’on le veut bien.

    Aujourd’hui, et malgré le fiasco de plus en plus évident d’une politique du tout vaccination, de la prise en otage des libertés individuelles, Emmanuel Macron continue sur sa logique jusqu’au-boutiste. Et cela ressemble à une stratégie de la terre brûlée.

    Sabine Faivre

    https://www.bvoltaire.fr/campagne-demmanuel-macron-blitzkrieg-ou-politique-de-la-terre-brulee/

     

  • Macron, les médias et le monde politique

    Le monde médiatique est le chien de garde du politiquement correct. Les gens du peuple relégués dans les banlieues par les « bobos » des centre villes, ne supportent plus à bon droit les privilèges que ce sont appropriés la classe politique et médiatique.
    La France appauvrie et éruptive ne choisira pas en mai 17 un individu comme Macron, manifestement adoubé, porté par l’establishment. Un individu soutenu par des grands patrons de presse, par les banques et un puissant réseau de fortunes. Le plan B de la droite et de l’oligarchie mondialiste c’est lui !
    Les citoyens attachés à la préservation de la nation ne se laisseront pas manipuler par un personnage qui a pour mission de faire éclater le pays sous le poids de l’immigration afin de satisfaire ses amis du CAC 40.
    Les Français devront abattre ce régime totalitaire et prédateur dont il est l'héritier et dont les pratiquants auront des comptes à rendre.
    Il n'y aura pas d'alternative "douce", pas de régulation, pas de contrôle, pas de remédiation possible pour un « système » laissé trop longtemps à lui même, il faut le reconstruire.
    Et dans cet objectif, le mieux pour la France c'est Marine le Pen ; et même dans ce cas de figure la démocratie restera un enjeu et la guerre civile qui vient mijote autant dans la perpétuation du régime totalitaire, népotique et dispendieux actuel que dans la lutte à mort qu’il faut engager contre lui.