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communication - Page 12

  • La bataille des idées

    Alors qu’approche le moment ou se profile une élection présidentielle et législative décisives pour l’avenir de la France et des Français, il faut se poser la question première : qui va gagner la bataille des idées ?

    -Une droite ayant renouvelé avec ses valeurs ?
    -La gauche ne sachant plus quelles sont les siennes ?
    -L’atlantisme et le libéralisme mondialiste ?

    -L’islamisme de la Oumma qui gagne chaque jour des « parts de ce marché »
    -Une société civile culpabilisé qui ne sait ni les mettre en forme ni les exprimer ?  

    Jusqu’ici la droite empruntait ses valeurs à la gauche - ce fut le cas de Chirac- au grand dam des « vrais » gaullistes, comme Pasqua, qui criaient au scandale mais sans succès.
    La gauche elle, empruntait ses méthodes à la droite, comme Delors.

    Un de ces groupes peut il nous dire comment fermer la parenthèse de mai 68 ?  Au retour du principe de réalité qui conduit à dire aux Français que ce sera dur, que c’est le crépuscule d’une génération, celle des baby-boomers. Une génération qui a profité de la prospérité des Trente glorieuses pour son plaisir à elle.
    Le parfait exemple en étant Cohn Bendit, DSK etc. voulant « vivre sans entraves », nous faisant oublier que la vieille garde avait ses mérites !

    Moi je parie sur la « société civile «  car que faire de cette droite et de cette gauche des partis qui depuis 1969 se passent le relais pour nous écraser et nous livrer pieds et poings liées au « mondialistes » et aux « islamistes ».

    Alors quoi, la Révolution ? Il ne faut pas rêver ! Je fais mienne l’analyse de Gramsci (théoricien marxiste italien) Le pouvoir se gagne par les idées et le peuple de France doit en avoir s’il veut survivre. 

    « Comme si la "misère" débouchait sur la révolution. Mais la misère, même la faim, ça peut provoquer des soubresauts, sûrement pas détruire le système capitaliste. Car l'adversaire est de taille. Il a une longue expérience du pouvoir, il s'appuie sur une bureaucratie spécialisée, sur de puissants canaux de propagande, sur des appareils militaires, policiers, judiciaires très bien rôdés, bref, il détient quasiment tous les "bastions".
    Croire qu'une secousse suffira à vaincre pareil ennemi, je vais vous dire : ce n'est pas seulement du délire, c'est une manifestation d'impuissance, c'est l'espoir placé en un deus ex machina qui tomberait du ciel. »

    Antonio Gramsci

    C’est en grande partie dans les textes de Jean François Revel que nous pouvons trouver les idées, le processus et mobiliser l’énergie pour nous hisser hors du trou noir dans lequel « ils » nous poussent inexorablement.
    Et, comme les amateurs de Science Fiction le savent bien, dans un trou noir il n’est possible d’en sortir que si l’on se trouve à la marge. Au delà d’une certaine limite, l’attraction est si forte que cela devient impossible et le vaisseau spatial France s’y engloutirait définitivement.

    2022 est NOTRE dernier espoir.

    A partir de nos 7 problématique, les soldats du Cygne Noir peuvent s’en inspirer :

    - la solidarité intergénérationnelle
    - la réhabilitation du travail contre "travailler moins"

    - la faillite du système éducatif
    - l’angélisme du pouvoir sur la question "sécuritaire"
    - le relativisme moral et la repentance
    - l’identité nationale
    - le politiquement correct
    - La relation islamisation-immigration


    Ce qui vient de se passer aux derniers Césars devrait nous alerter et nous DEVONS nous dire que nous avons le dos au mur !
    Le temps de la RUPTURE est venu ainsi que la fin de la « pensée unique ».
    Le scandale doit arriver, celui de la revanche de "l’Homme sans qualité" et la fin de la "Connaissance inutile" .

    Francis-claude Neri

    Cygne Noir

    http://semanticien.blogspirit.com/
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  • Question de stratégie !

    Politique et stratégie sont inséparables. ET la lutte pour la liberté de parole et d'action est l'essence de la stratégie de Cygne Noir.

    Les quatre coordonnées des rouages du raisonnement stratégique :

    - Les forces matérielles
    - les forces morales
    - le moment
    - le lieu

    Nous avons les moyens de parler. Nous devons développer NOS forces « morales», choisir NOTRE moment : les élections de 2022.

    Pour le lieu, nous avons intérêt à choisir le "local" (l'action de proximité). Les mondialistes ne peuvent nous y atteindre et ils sont loin de nous avoir identifiés comme adversaire crédible.

    Pour ce qui concerne les forces matérielles la dissuasion suffira. Il suffit de pouvoir mobiliser une fois ou deux SUR le terrain, à l'exemple des gilets jaunes et de bloquer le système … puis il y a la désobéissance civile et civique.

    La stratégie de Cygne Noir ne se joue pas avec des pions, comme aux échecs, des pions qui seraient de valeur constante et définie.

    Les éléments humains dépendent des forces « morales » éthiques etc. et, c’est dans le moment de l’action que se paient les erreurs d’appréciation sur l’état de ces forces, surtout dans un contexte  d’évolution rapide comme c’est le cas actuellement.

    Nous avons à faire face à une succession de situations sur lesquelles nous n’avons, pour le moment, aucun moyen d’action de terrain qui soit mobilisable sinon les forces morales, éthiques, de conviction et, des idées dominantes du moment que nous devons exploiter.

    Dans ces séances d’escrime qui nous attendent, le but n’est pas de parer les coups de l’adversaire, mais d’empêcher l’adversaire de garder l’initiative, de prendre nous mêmes l’initiative et de la maintenir jusqu’au moment d’un basculement de certaines forces « matérielles «  en notre faveur.

    La « masse » en mouvement est une force matérielle considérable par exemple.

    Le mondialisme, le gauchisme, l’islamisme, bref la « Triplice », une force qui agit en cohérence contre nous, est une  infection bien plus meurtrière que le Covid 19.
    Et contre cette infection, la guerre « chaude » n’est pas efficace. Par exemple, le virus de la Triplice à envahi l’Union Européenne au point qu’elle n’est plus « guérissable » et encore moins « opérable » il faut donc en sortir et au plus vite.

    L’avantage que nous avons sur eux c’est qu’ils sont incapables d’agir sur le « local ». C’est donc par lui qu’il faut commencer, puis passer au régional et au national ensuite.

    Et ce n’est qu’à ce moment que nous pourrions nous confronter à un ensemble plus vaste, l’Union Européenne par exemple.

    Le « virus » de la Triplice aurait du être traité dés son appariation et au plus tard dés la fin de la guerre d’Algérie qui a démontré notre impuissance à le réduire par la guerre totale.
    Nous n’avons tiré aucune leçon de cet échec, comme de ceux qui ont suivi.

    Aujourd’hui, répondre aux attaques de la Triplice par une défense et des attaques directes serait une solution aussi mauvaise que celle du taureau fonçant sur la muleta rouge. C’est sur le toréador ou plutôt les toréadors qu’il faut foncer.

    Et le toréador Macron est de ceux là.

    La clé est dans la liberté d’action et, comme le dit très bien notre amie Elisabeth Dazy, La différence se trouve entre « Les moyens de parler Et Les moyens d’agir ».
    Et c’est ce que Cygne Noir nous permet d’acquérir. Bien entendu, nous avons à mettre en sécurité ce moyen de parler et de nous doter des moyens d’agir.

    Toute vulnérabilité de notre part offre, une prise à l’ennemi, mais toute vulnérabilité identifiée de l’ennemi nous donne l’occasion de prendre l’avantage. 
    Les vulnérabilités de la Triplice nous savons où elles se situent…et en particulier dans l’énormité du système global et général quelles ont l’ambition de contrôler et de gérer.
    Agir local sans négliger de penser global doit être NOTRE devise !

    En matière de stratégie directe ou indirecte, l’élément psychologique joue un rôle déterminant.
    Pour ce qui nous concerne, il s’agit de remplacer la force naturelle qui nous manque par la force d’une idéologie bien construite et, par la puissance de combinaisons résultant d’un « projet » calculé, raisonné et précis.
    La matière grise doit remplacer la force que nous n’avons pas mais que nous pourrions mobiliser, à l’exemple de ce qui fut fait en 1968 ou plus récemment par les « Gilets Jaunes » Sans nous en faire déposséder et récupérer, comme ce fut le cas dans ces deux situations par les « gauchistes » à l’affut !
    Et ceci seule notre force de conviction peut le faire !

    Sur le plan psychologique, l’élément essentiel d’une dissuasion véritable est de rétablir le prestige de la France en tant que porteuse de la civilisation occidentale.
    La décadence de l’Occident née de ses divisions aveugles est confirmée par l’inaptitude de l’Europe (rien à voir avec l’UE) à présenter un front uni.

    Une fois la sortie de l’UE acquise - et pour cela le « processus »  Anglais n’est pas de mise - le premier élément du prestige à reconquérir est de savoir faire admettre (à l’exemple de De Gaulle et Adenauer) la nécessité d’une manœuvre globale de NATIONS étroitement coordonnées, donc d’une politique commune et d’une stratégie globale sur certaines problématique communes. Par exemple : l’immigration, l’islamisation, la démographie, le changement climatique etc.
    Dans le cas contraire, nous pouvons être assurés que si l’on ne parvient pas à dominer, à court terme, les difficultés très réelles qui existent dans ces domaines, nous serons incapables de regagner notre liberté d’action, de préserver nos valeurs, notre identité et d’assurer l’avenir économique, social, industriel etc. de la nation France.
    Ce serait l’effondrement assuré et…c’est bien ce  que VEULENT nos adversaires !

    Enfin, le prestige résulte également de la crainte que l’on inspire, surtout vis à vis de peuples « jeunes » ou renouvelés.
    Nous avons suffisamment perdu la face dans des aventures comme l’Indochine, l’Algérie, la Lybie et maintenant le Mali.

    Il faut éviter de la perdre davantage et mettre rapidement au pas ceux qui à l’intérieur même du pays nous ont déclaré la guerre.

    Nous devrons impérativement cesser de nous engager dans des régions et des opérations où l’adversaire peut développer son effort au moindre prix en nous obligeant à y dépenser des moyens considérables.

    Sur le plan de la géopolitique, abandonner le Mali à son propre sort est un impératif.

    Nos soldats auront suffisamment à faire sur NOTRE territoire et leur expérience de terrain, comme celle des Israéliens nous sera fort utile.

    Un dernier mot pour nous rendre attentif aux Trolls de l’ennemi. Consciemment ou non il s’agit pour eux d’atteindre le point décisif en créant et exploitant une situation entrainant notre désintégration morale, notre combativité et, nous faire renoncer au combat car il serait perdu d’avance.
    Ils foisonnent en ce moment ces « pessimistes », se disant réalistes, qui essaient de nous faire reconnaitre que les jeux sont faits, qu’il vaut mieux cultiver tranquillement son jardin que d’espérer pouvoir lutter contre un ennemi trop puissant et insaisissable.

    Éliminons-les de nos pages et de nos groupes, quelles que soient leurs intentions, elles sont nocives.
    Notre premier objectif est la préservation de nos liens sociaux, nos identités, nationales ET régionales, nos mémoires, nos valeurs et au contraire rechercher la dissolution du lien MORAL et ou, idéologique de l’ennemi.

    Combattre la Oumma cet égrégore puissant des salafistes est par exemple un DEVOIR impératif pour les combattants du Cygne Noir.

    Il n’y a pas « d’accommodement raisonnable » entre elle et nous !            

    Francis-claude Neri

    Cygne Noir

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    08 03 21

     

  • Le choc des civilisations est un combat identitaire.

    Si nous ne défendons pas notre identité nous serons submergés par une civilisation étrangère qui va purement et simplement remplacer la nôtre. Tout ce qui peut favoriser une identité étrangère sur notre sol est dangereux et il faut à tout prix l’empêcher. 

    Autrefois le monde était structuré par deux antagonismes, deux entités antagonistes : le monde dit « libre » comme on l’appelait, c’est-à-dire l’Occident en gros, et puis le monde communiste, d’ailleurs les deux étant structurés par des Européens et présents en Europe. Mais le fond culturel était le même. Il y avait un antagonisme idéologique, le monde était structuré par le conflit entre le communisme et le libéralisme. Cela, c’est terminé.

    Aujourd’hui la Chine est devenue la première puissance mondiale d’ores et déjà ; l’émergence de l’Inde ; et l’émergence de la composante islamique. L’Europe n’est plus dominante, l’Europe est sur la défensive et l’Europe subit un choc des civilisations qui se traduit par une guerre commerciale, une guerre économique vis-à-vis de la Chine ; une guerre culturelle vis-à-vis de l’islam.
    Mais aussi une guerre avec le terrorisme islamique.
    Ainsi qu’une invasion migratoire qui ne pose pas seulement un problème par rapport à l’islam mais pose aussi un problème ethnique par rapport aux populations provenant de pays africains et de pays hors de l’Europe et qui mettent en cause notre identité non seulement sur le plan culturel, mais aussi sur le plan religieux et ethnique.

    On est passé d’un système représentatif, électoral, démocratique, à un gouvernement des juges.
    Il ne s’agit plus que le droit soit un cadre défini par le peuple et voté par les élus, notamment par les députés et les sénateurs. L’Etat de droit est un corpus idéologique qui s’impose au peuple, qui s’impose à ses représentants, et qui est gardé par les structures judiciaires et tout particulièrement par le Conseil constitutionnel. C’est très concret.

    Le problème est que la Ve république a été sapée dans ses fondements mêmes par la montée en puissance du Conseil constitutionnel.

    Le Conseil constitutionnel avait pour seul but de vérifier que les articles de la constitution étaient respectés.

    Puis il y a eu une espèce de coup d’Etat institutionnel orchestré directement par les membres du Conseil constitutionnel, qui ont commencé à juger, non plus seulement en fonction des articles de la constitution, mais aussi en fonction du Préambule et même de l’interprétation qu’ils faisaient du Préambule. Or le Préambule a été enrichi au fil des années de textes innombrables qui donnent finalement au Conseil constitutionnel la possibilité de juger de tout par référence à cette espèce de catéchisme politiquement correct.

    On voit bien ce qui se passe. Plus on enrichit ce Préambule de textes politiquement orientés, plus vous donnez de pouvoir au Conseil constitutionnel, plus vous augmentez les possibilités de saisine du Conseil constitutionnel, en annonçant aux Français que ce sera une façon de garantir leurs droits, et plus en réalité vous les diminuez puisque, plus le Conseil constitutionnel a des possibilités de saisine, plus il va étendre son pouvoir et avoir ainsi la possibilité de censurer comme c’est le cas maintenant.

    Le véritable patron français ce n’est pas le président de la république, c’est monsieur Fabius, président du Conseil constitutionnel.
     Je pense qu’on peut dire cela. Je fais référence à un propos tenu par monsieur Debré qui était l’ancien président du Conseil constitutionnel, quand on lui parlait du danger que représentait éventuellement l’arrivée au pouvoir du Front National, répondait :
    « Ne nous inquiétez pas, on tient tout ».

    Je voudrais ajouter qu’il y a le Conseil constitutionnel, mais derrière, il y a tout le système judiciaire parce que toutes les juridictions ont maintenant cette démarche de s’ériger en pouvoirs de contrôle et finalement en pouvoirs politiques suprêmes. Par exemple lorsque François Hollande était président, il avait été décidé de démanteler un camp de réfugiés à Calais. Une procédure a été engagée pour annuler la décision gouvernementale de ce démantèlement (qui au demeurant ne servait à rien) et l’on a vu une petite juge du tribunal administratif venir sur place pour voir ce qu’il y avait lieu de faire et pour décider si, oui ou non, le gouvernement pouvait procéder au démantèlement. On sait aussi que les juges empêchent systématiquement l’expulsion des clandestins.

    C’est tout le système judiciaire qu’il faut remettre au pas et rétablir l’équilibre des pouvoirs entre le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire, sans oublier le pouvoir médiatique.

     

    Faut-il le Frexit pour y parvenir ?

    La question EST posée !

    Bruno Megret !