Un an pour gagner !
par Francis-Claude Neri
7 mai 2021
Eric Zemmour Jean Messiha, Philippe De Villiers, Robert Menard, Marion Maréchal, Michel Onfray, le Général Antoine Martinez…
Dans un contexte de dépolitisation voulu à la fois par la droite et par la gauche, les appareils partisans déconsidérés tentent une nouvelle fois de simplifier l’enjeu dans un combat « gauche » contre « droite » clivé d’un coté par l’extrême gauche et de l’autre par l’extrême droite.
Ils ne veulent surtout pas voir que leur stratégie est contestée par l’ensemble des électeurs qui veut le rassemblement en dehors du « clivage « droite -gauche » sur la seule base des intérêts et des valeurs de la France.
La question n° 1 est : quels sont ces intérêts et qu’elles sont ces valeurs ?
A Cygne Noir, nous avons résumé notre approche à partir de quelques impératifs :
–La sortie de l’UE et……le Brexit à court ou moyen terme !
– L’arrêt de l’immigration arabo-musulmane et d’Afrique Noire ;
– La lutte contre l’islamisation de la France ;
– La remise en question de certains accords de libre échange avec les USA, le Canada ;
– De nouveaux accords de partenariats avec la Russie et Israël.
Ce n'est tout de même pas trop demander que je sache !
Avec 37 % de satisfaits E. Macron termine son quinquennat avec un des plus faible taux de popularité des présidents sortants.
Nicolas Sarkozy 36 % et 17 % pour François Hollande. Avant eux, Charles de Gaulle obtenait en novembre 1965 54% de taux de satisfaction, Valérie Giscard d’Estaing 40% en avril 1981, François Mitterrand 54% en avril 1988 et Jacques Chirac 47% en avril 2002.
Donc un sortant des plus mal aimé. Et à 40%, Giscard d'Estaing n'avait pas été réélu. Alors à 37%, c'est mission impossible.
Il faut dire qu’E. Macron connait un total de mécontent record : 60% ….sauf événement ou circonstance imprévus il a perdu, la question numéro 2 c’est : sera t’il au second tour et contre QUI ?
Aujourd’hui, le plan médiatique est dominant. Compte tenu du contexte Covid et des circonstances économiques, sociales, culturelles, de l’immigration et de l’islamisation de la France Eric Zemmour, Jean Messiha, Philippe De Villeurs sont des « candidats naturels », du nouveau système médiatique polariseur: le tout-info et les réseaux sociaux.
Si Eric Zemmour souhaite être candidat à la présidentielle 2022 il doit déclarer sa candidature sans plus tarder car il a un programme à exposer, une équipe à réunir, prête à gouverner.
Le dit "progressisme social-libéral" de Mr Macron est de moins en moins social, de moins en moins libéral, et de moins en moins progressiste, puisqu'il tend à être débordé par des idéologies de gauche radicales, intolérantes, violentes et même racistes !
Présidentielle 2022 une recomposition majeure autour du clivage entre libertaires et conservateurs.
Marine Le Pen pâtit d'un fardeau qui n'est plus idéologique, mais relatif à sa capacité à gouverner comme elle souffre d'un préjudice patronymique. Il aurait fallu à Le Pen l'astucieux courage de ne pas se rendre au débat d'entre deux tours en 2017, dont les images diffusées en boucle pourraient parasiter sa campagne de second tour. On sait qu'en 1988, Charles Pasqua exhorta Jacques Chirac à ne pas débattre avec François Mitterrand. Le candidat Chirac suivit les conseils inverses d'Édouard Balladur, et le résultat ne se fit pas attendre.
A Cygne Noir, nous souhaitons que les recommandations formulées et réunies sur le site fassent l'objet d'un débat dont l'issue n'est pas déterminée à l'avance et dont le champ d'application n'est pas limité à des domaines d'action prédéfinis (les 7 problématiques).
Francis-claude Neri
Cygne Noir
https://cygnenoir.vienouvelle.fr/wp
06 05 21