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communication - Page 4

  • Approche systémique

    L’approche systémique est une méthode de gestion qui permet de prendre en compte l’ensemble des éléments qui composent une organisation en tant que système.
    Un système étant un ensemble d’éléments en interactions dynamiques orienté vers un but.

    Elle permet de comprendre les interactions entre les différents éléments et de les intégrer dans une vision globale.

    Cette approche est utile pour la gestion de l’organisation car elle permet de mieux comprendre les enjeux et les défis auxquels elle est confrontée.
    Elle permet également de mieux anticiper les risques et les opportunités et de prendre des décisions plus éclairées.

    Enfin, elle permet d’améliorer la communication et la collaboration entre les différents départements et acteurs de l’organisation et bien entendu au-delà !

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

  • La réalité

    Comment passer de la dure réalité perçue par la raison dans le monde dit matériel à la douce réalité dans laquelle l'amour nous invite à baigner?
    Je suppose que la réponse est déjà dans la question...

    Je ne sais pas si comme moi vous avez quelques fois eu le sentiment de boucler une boucle, d'arriver à sinon résoudre du moins vous êtes parvenus au stade où on commence à avoir l'impression de conclure une dichotomie, en tout cas au niveau de sentir que vous vous approchez d'une conclusion satisfaisante, c'est à dire d'un modus vivendi avec vous-même asez agréable, relativement plaisant, presque apaisant, à toucher du doigt l'harmonie et la plénitude, fût-ce de manière fugace, assez souvent pour être satisfait, infiniment heureux de vivre, conscient d'exister !
    Personnellement cette dichotomie essentielle et permanente chez moi, mon champ de bataille interne, c'est banalement celle universelle, celle j'imagine de tout un chacun, entre la partie de soi-même qui prétend se soumettre à la raison, à un âge dit de raison (pour moi au plus tard vers sept ans), c'est-à-dire cette partie de soi appelée l'Égo, qui en réalité veut surtout soumettre le monde à sa propre raison et la partie de soi-même, qu'on appelle aussi la conscience, qui considère quelques fois être le vrai sujet, voire le vrai moi, celle qui se présente sous couvert de l'intuition et du "... plus fort que soi...", comme en amour (et au poker, au billard, au tennis, sur un coup-franc au football, au tir à l'arc, etc.) , précisément cette partie là de soi-même qui défie la raison, comme s'il s'agissait de sa raison d'être et l'entendement comme si les lois du monde étaient son défi, cette partie rebelle à laquelle il arrive dans certaines circonstances particulières, comme dans un rêve, comme sur un pont entre ce réel et une autre de ses dimensions, de percevoir le temps et l'espace ainsi que soi-même, les limites de son corps et de son esprit d'une manière tout à fait incompatible avec la raison, la science, le bon sens et tout ce que le matérialisme, rationalisme, le domaine des contraintes et la dure réalité du monde, nous imposent.

    François Amsallem
    14 05 23

     

     
  • Le souverainisme est un humanisme

    Comme le montra magistralement Claude Levi-Strauss, une confusion existe depuis des siècles entre confrontation des civilisations entre elles et appartenance ethnique. Les souverainistes sont les seuls à être parfaitement clairs quant à cet amalgame : il faut affirmer fortement les leçons de l’histoire quant aux conflits de civilisation et rejeter tout aussi implacablement leurs explications ethniques.
    C’est en cela que le Souverainisme est un humanisme : l’universalité de l’homme n’est pas contredite par l’attachement à la nation. La nation est la réalisation concrète de valeurs universelles, leur inscription dans l’histoire réelle selon le génie et l’épopée particulière d’un peuple, d’une lignée à laquelle on sait appartenir. Elle renvoie ainsi dos-à-dos les universalistes abstraits comme les communautaristes tribaux.
    Rien de tout cela n’affleure dans l’idéologie Woke. Ses tenants se considèrent comme d’implacables justiciers investis d’une mission, sans l’ombre d’une remise en question personnelle.
    Un universalisme abstrait n’est pas la bonne réponse à leur apporter et ceux qui l’emploient – parfois de bonne volonté – sont leurs meilleurs idiots utiles.

    Marc Rameaux
    29 04 23
    Cygne Noir