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communication - Page 52

  • Intégration, Désintégration !

    Lorsque les Français votaient en 2012 pour la gauche, la plupart le faisaient contre Nicolas Sarkozy mais non pour une adhésion aux idées de la gauche ou tout au moins une grande partie d'électeurs déçus par ces 5 années de promesses pas toujours tenues, point s'en faut et de descente aux enfers.

    Excepté une petite frange de la population réellement de gauche, on voyait se rejoindre pèle mêle dans cet électorat des gens se situant plutôt à droite ou au centre, mais aussi une foule de gens inquiets pour leur avenir, inquiets du rôle des institutions européennes et pensant qu'une nouvelle politique de fermeté face à l'E.U serait enfin mise à l'œuvre.

    Ce qui fit la différence pour l'emporter fut l'apport massif des nouveaux Français, d'origine émigrée associé à des hommes politiques tels que Bayrou qui appelèrent à voter pour Hollande et il serait faux d'attribuer la victoire d'hollande pour 1,56% de différence à l'apport massif d'électeurs du Front comme on l'entend sans cesse dans l'UMP. Ajoutons à cela qu'à cette époque dans le camp de droite certains ont fait preuve de mollesse pour soutenir leur candidat, des critiques transparaissaient montrant une certaine passivité. Si l'on prend le premier tour et le second, c'est bien dans le camp du FN qu'est venu l'apport qui a réduit le score d'Hollande. Ceci est un fait et non une supposition mais dans l'un ou dans l'autre camp, bon nombre d'électeurs n'ont pas voté pour mais contre l'adversaire, ce qui montre bien un désaveu pour l'un et un refus pour l'autre.

    Sans doute et c'est ce qui est important, cette frange de 1,56% a été déterminante et suffisante pour ouvrir la boite de pandore et ceux qui votaient pour une nouvelle politique de relance économique et une remise au pas de l'Europe devaient vite déchanter et s'apercevoir qu'en fait la priorité c'était de mettre en place tout ce qui était véhiculé par la frange dela Franc Maçonneriedésireuse d'anéantir enfin notre pays.La Loisur le mariage pour tous devenue une priorité nationale allait déboucher sur toutes une série de mesures allant dans ce sens jusqu'au fameux rapport sur l'intégration qui fait scandale mais est logique quand on sait ce qui anime la pensée réelle des dirigeants de gauche sous contrôle de la maçonnerie.

    Nombre de maçons eux-mêmes ne pensaient pas qu'on puisse aller si loin dans l'autodestruction comme nombre d'électeurs également du candidat Hollande. Le rejet global actuel s'explique par tout cela : l'enfoncement dans la crise, le chômage, la dette, l'E.U et sa dictature et une politique dictée par la finance internationale; par le Nouvel Ordre Mondial qui entend imposer petit à petit une remise au pas des pays occidentaux et un remplacement voulu des populations jusqu'à une révolte qui tournera à la guerre civile devenue cette fois inéluctable.

    Ce qui permet la rapide déliquescence de notre société décidée par le N.O.M c'est le manque de culture politique et historique de la plupart, la passivité du plus grand nombre et le refus de voir la réalité telle qu'elle est.

    Si l'on veut un exemple tout à fait récent de ce refus et du déni de réalisme c'est l'incroyable participation aux louanges d'un Mandela dont on a oublié qu'il fut l'instigateur du massacre de fermiers blancs en Afrique du Sud mais aussi dans les pays voisins dont le Zimbabwe ou Mugabe l'ami de Mandela, aidé par lui, a chassé la plupart des colons blancs qui n'avaient pas été exterminés, faisant d'un pays riche : un pays pauvre sous assistance économique.

    Beaucoup de ceux qui ici se plaignent de subir la gauche sont tombés dans le piège des tenants de l'Ordre Mondial en encensant un homme qui a certes beaucoup dit de belles paroles cachant une politique marxisante et finalement meurtrière pour quantité de blancs qui ont été massacrés bien avant que le donneur d'ordres ne disparaisse. N'oublions pas que le même Mugabe a été acclamé à Soweto lors de l'enterrement de Mandela.

    Tout en fait est étrangement lié, d'un côté on fait un héros, voire une idole d'un combat contre le blanc, de l'autre on introduit la théorie du genre et les dérives d'un rapport sur l'intégration qui n'est rien d'autre qu'une immense trahison et de la volonté d'en finir avec notre pays et sa population d'origine. Si ce rapport a été divulgué c'est bien pour voir les réactions de la population française, voir jusqu'où on pouvait aller sans craindre une révolution et il faut reconnaître que la passivité du plus grand nombre montre que ce rapport va être suivi d'effets. Certes on le fera par petits bouts pour ne rien risquer, mais d'ici 2017, si rien ne bouge, nous aurons de vrais textes de lois et cette fois tout sera bouclé légalement par le fait de détenir un pouvoir que certains ne veulent pas remettre en cause par souci de légitimité, comme je l'ai vu sur certains commentaires irresponsables.

    Lorsque les choses vont aussi loin, le devoir de tous s'impose : renverser un régime de forfaiture. Pour ne pas craindre de censure, je n'irai pas plus loin, mais je crois que tous comprendront ce que je veux dire.

    Si les peuples qui ont sombré dans la dictature s'étaient révoltés à temps, avaient simplement cessé de payer leurs impôts, leurs contributions, bon nombre de ces régimes auraient été asphyxiés. Nous n'aurions pas connu les dérives totalitaires qui ont suivies. La révolte n'est pas nécessairement due aux armes ou à l'affrontement. Des milliers de gens couchés par terre sont plus difficiles à déloger que des manifestants au contact avec les forces de sécurité. Des groupes mobiles peuvent fixer ces forces par de rapides actions à l'arrière.

    Des milliers de demandes d'étalement des impôts et des charges peuvent paralyser les services. Des retraits massifs d'argent peuvent gripper le système bancaire.
    Je ne voudrais pas énumérer toutes les formes d'actions, d'autres le font mieux que moi mais au final, je pense que si nous n'arrivons pas à provoquer un changement par les urnes, l'horizon 2017 risque d'être aléatoire car en 3 ans (plus l'année 2014) tout peut aller très vite jusqu'à devenir irréversible. Je crois que beaucoup partagent cette analyse

    Il faudra réunir les conditions qui permettraient d'arriver à faire bouger les choses : d'abord écraser la gauche aux municipales, montrer qu'on ne veut pas de candidats prêts à se rallier au bouleversements voulus par la gauche, ensuite il faudra un raz de marée en faveur du FN aux Européennes en écartant tous les candidats issus de ceux qui souhaitent un maintien dans l'U.E ou même plus d'Europe. Bref nous devrons laminer tous ces politicards allant de la gauche à la droite favorables à l'Europe. C'est un vrai réveil patriotique d'une patrie désormais en danger de mort qui sera nécessaire.

    Nous pouvons gagner si nous sommes tous dans ce même camp, il n'y en a pas d'autre, chacun doit le comprendre ou se résigner.

    NOUS, ne nous résignerons pas !

    Ivan Smolensky

  • La tyrannie médiatique

    J'ai assisté à Strasbourg à une conférence de Jean Yves le Gallou. Ne la manquez pas si vous en avez l'occasion et achetez son ouvrage. Vous ne verrez plus jamais les "médias" sous le même angle !

    Ne confondons pas toutefois information et communication, car pour qu'il y ait communication il faut du "fead back" c'est à dire une information en retour, appelée aussi rétroaction et bien souvent la communication est souvent perçue (par les médias) comme une information qui va dans un seul sens, linéaire en quelque sorte !

    D'où l'importance des réseaux sociaux et d'internet pour échapper à cet enfermement médiatique.

    Francis NERI

    « Jean-Yves Le Gallou, écrivain, journaliste et énarque, probablement l’un des meilleurs connaisseurs de la désinformation et du monopole du « politiquement correct » résume dans un ouvrage remarquable : « La tyrannie médiatique », les douze thèses sur la désinformation médiatique, dénonçant en cela les techniques multiples de désinformation telles que : Occultation de certains faits, répétitions à l’infini d’autres faits, déformation, angélisation des « bons », diabolisation des « méchants », novlangue (nouvelle langue épurée et politiquement correcte qui est imposée) et, bien sûr, le bel et bon bobard.

    « Il est de notoriété publique que les principaux médias colportent des nouvelles délibérément mensongères et sans fondement (la plupart du temps à la « une ») avant de se rétracter discrètement (quand ils le font !) en toute dernière page (beaucoup plus tard) s'ils sont contredits. Dans ce cas, le principe est de mettre le mensonge sur les rails de la conscience collective. Ainsi quand le mensonge est découvert, il est déjà trop tard et une large partie de la population ne s'en apercevra pas ou ne prêtera pas attention à la vérité rapportée. La méthode porte un nom : « Mentir bruyamment, se rétracter discrètement ». Pas très honnête mais terriblement efficace !

    La presse française est tellement aveuglée par un prisme idéologique qui conditionne toute sa perception de la réalité et de la vérité, qu’elle est désormais devenue une caste, une corporation qui vit repliée sur elle-même, coupée de ses lecteurs dont elle n’a plus vraiment besoin tant les subventions pleuvent avec quelque quatre milliards d’euros… En outre –selon Jean-Yves Le Gallou- les grands médias sont la propriété des banques et des multinationales : Rothschild à Libération, Lazard au Monde, le Crédit Mutuel et le Crédit agricole pour une partie de la presse quotidienne régionale. Pinault aux Echos, Dassault au Figaro, Bouygues à TF1, Tapie à La Provence et le Qatar pour Lagardère Active (Paris-Match, Télé 7 jours, Elle, Europe 1, etc…). Les intérêts des médias sont étroitement liés à ceux de la finance et de la mondialisation. Les médias sont un relais de puissance de la superclasse mondiale.

    Dès lors, les intérêts financiers et politiques primant, l’objectivité demeure un rêve inaccessible… La manipulation des nouvelles et opinions devient, quotidiennement, le reflet pervers d’une vision tronquée et manichéenne de l’information. Le regretté Serge de Beketch, journaliste de son état, vitupérait de la sorte : « Le journalisme ne permet pas de gagner sa vie. Ce qui permet de gagner sa vie c’est la prostitution journalistique.

    Mais c’est un autre métier. »

    José CASTANO