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Crise systémique - Page 33

  • Islam

    « L’islam n’est pas une religion, c’est un système politico-religieux qui sanctifie la violence et la guerre pour glorifier Allah et son Envoyé 

     Parler d’assimilation à un musulman, c’est comme lui demander de devenir un apostat  (un   mourtad)L’apostasie est un crime impardonnable en islam ; elle est pire que la mécréance, alors ce n’est pas demain que l’assimilation à la française serait admise par les musulmans de France.

    L’islam est guerrier et conquérant, il le demeurera tant qu’une ferme résistance et un coup d’arrêt ne soit donné à son expansion.

    Il impose son idéologie lorsqu’il est minoritaire en jouant sur la victimisation, surtout en Europe où les sociétés d’accueil sont trop conciliantes à son égard, car elles veulent ignorer sa dangerosité ». 

    Il n’y a pas, il n’y aura jamais de conciliation ni de négociation possible avec l’Islam. Ce sera donc lui ou nous. 

    Mais l’occupation de nos territoires par l’Islam est une conséquence, celle de la collusion et de la collaboration de nos élites, et plus généralement de la gauche « tiers mondiste », avec cette nouvelle forme de Fascisme. 

    Il ne sert donc à rien de nous en prendre aux musulmans de base qui sont sur nos territoires ; ce serait contre productif. Par contre il ne faut pas montrer la moindre faiblesse envers leurs représentants, leurs institutions religieuses, leurs établissements cultuels ou culturels.

    Les islamistes veulent terroriser le peuple de France. Nous devons changer la donne. Nous avons  le devoir d’installer l’inquiétude dans leurs esprits et la panique dans ceux des collaborateurs de droite ou de gauche qui sont à l’origine du problème et dont il faut s’occuper en premier car : « On ne résout pas un problème avec les modes de pensées qui l’ont engendré ». Et ceux qui sont la cause du problème ne peuvent participer à sa solution » 

    Enfin, il serait suicidaire et sans efficacité réelle si nous ne prenions conscience que la complexité du monde  a envahi toute notre sphère du réel.  

    La chaine des causalités est sans indulgences. Elle n’attend pas et notre horizon s’obscurcit de jours en jours et de plus en plus vite.

    « En majorité les Français n'ont plus envie de défendre leur pays et encore moins ses traditions, ses valeurs et son histoire. La conscience de l'interconnexion des causes est très peu répandue. » Nous dit Charles DALGER . Qui rajoute pourtant : « Formons donc, ce camp des patriotes ! Défendons les valeurs que nous partageons. Ne laissons pas les collabos nous vendre aux nazislamistes. Unis nous vaincrons ! 

    Il a raison ! Peu d’entre nous savent « relier » mariage homo, islamisation, mondialisation, crise financière, sociale, économique, écologique etc… Et pris conscience qu’il fallait non seulement nous unir mais penser aussi à « réunir » les causes et les moyens d’action pour mieux agir.   

    Quel nouveau mode de gouvernance pour faire face à ces défis multiples et convergents ? 

    Penser le monde fini et répondre à des évènements  nouveaux avec des solutions dépassées est un constat d’échec que la complexité nie en proposant une autre alternative : la révolte de la pensée systémique. 

    Il nous faut bien constater que notre forme actuelle de « résistance » est dépassée, inefficace, ne sert à rien. Les blogs « résistants », les coups de force identitaires, les manifestations contre l’islamisation dela France, les conférences et les débats télévisés de nos intellectuels aussi bons soient t-ils… comme Eric Zemour. La voie électorale avec la désastreuse élection de François Hollande, les marches contre le mariage homo, le suicide emblématique de Dominique Venner etc.… Tout cela n’est pas d’une efficacité suffisante et nous conduit dans une impasse. Bref le printemps Français se fait attendre.

    Je suis certain que comme moi, vous avez fait ce constat d’impuissance… et pourtant. « Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer » 

    Et comme il faut bien commencer par quelque chose, eh bien je considère que nous avons deux axes à privilégier et à mener de concert :

    Nous débarrasser au plus vite de François Hollande et de ses affidés  si possible par la voix électorale…je dis bien si possible ! Sinon faisons confiance et aidons ceux de ces jeunes révolutionnaires que j’ai rencontré le 26 au soir à Paris après la manif contre le mariage homo. Ils m’ont gentiment « protégé » et « évacué » vers un coin tranquille lors de la charge des forces de l’ordre.

    Enfin pour ce qui concerne le « péril islamiste » notre « violence » doit s’exercer sans violence physique. Mais pour cela je fais confiance à l’imagination des Français, et les jeunes « Gaulois » auxquels je pense n’en manquent pas !   

    Ils m’ont parlé hier de Dominique Venner dont je rappelle ci dessous ce qui constitue, pour eux, l’essentiel du message : 

    « Les manifestants du 26 mai ne peuvent ignorer cette réalité. Leur combat ne peut se limiter au refus du mariage gay. Le « grand remplacement » de population dela Franceet de l'Europe, dénoncé par l'écrivain Renaud Camus, est un péril autrement catastrophique pour l'avenir.

    Il ne suffira pas d'organiser de gentilles manifestations de rue pour l'empêcher. C'est à une véritable « réforme intellectuelle et morale », comme disait Renan, qu'il faudrait d'abord procéder. Elle devrait permettre une reconquête de la mémoire identitaire française et européenne, dont le besoin n'est pas encore nettement perçu.

    Il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes ».

    Francis NERI

  • Affaire Paris Saint Germain (P .S .G.)

    Un nouveau fiasco systémique !

    Commençons par certaines des nombreuses réflexions et analyses en particulier suite à la note :

    Changement et systémique.

    Le système serait trop sclérosé pour changer nous dit-on. Mais est ce lui qui est grippé ou ceux qui l’ont fabriqué mais ne le maîtrisent plus car ils en ont perdu le contrôle faute de n’avoir pu ou voulu le « réguler » ? 

    Absence de régulation et de contrôle, c’est le constat fait depuis au moins les années soixante par des systémiciens éclairés comme ceux du « Club de Rome » ou des...

    §

    Ensuite, je  prendrai deux exemples pour illustrer en quoi l’approche systémique peut résoudre les problèmes complexes auxquels nous avons à faire face tous les jours. Une approche qui peine à transformer nos conditionnements culturels car elle est loin d’être partagée par ceux qui y détectent un danger pour leur position sociale ou leurs intérêts privés.

    §

    Big Data [1]

    C’est bien plus grave et profond !!! Me dit Gilles à qui je rappellerai que le mot N’EST PAS la chose qu’il désigne et que la chaine des causalités ne s’estime pas seulement à postériori ! Bref que nous sommes des animaux prévisibles et que par conséquence nos actes le sont également. A partir de ce constat, nous pouvons construire une approche systémique de la réponse qui englobe l’économie ; qui n’est pour un systémicien qu’une « entrée » comme une autre.

    http://gillesbonafi.blogspot.fr/2013/01/fin-de-leconomie-repenser-la-monnaie.html

    Et je vais faire plaisir à JPH en relevant un non-axiome dans le texte de Gilles :

    « Nous avons comme d'habitude une véritable inversion des valeurs, car, au lieu de limiter les quantités de marchandises (l'entropie du système) par un contrôle de la masse monétaire, nous laissons croître de façon exponentielle la quantité de marchandises ce qui, in fine, conduira l'humanité à la catastrophe. »

    Sa conférence :

    « Chers camarades, de votre serviteur, la conférence sur l'inversion des valeurs en 4 parties dans l'ordre«  

    https://www.youtube.com/watch?v=9BGzNsWRo2M

    https://www.youtube.com/watch?v=u5RmDeQV2Ok

    https://www.youtube.com/watch?v=1piWPaGtDf4

    https://www.youtube.com/watch?v=UY8FY1kyfKQ
    @mitiés

    Jacques

    Et enfin vous conseiller la lecture du livre proposé par Jacques  (un autre) qui soulève à juste titre ce qu’il y a de pathologique dans le comportement de nos élites.

    Il rappelle ainsi que l’analyse systémique comporte trois aspects principaux : managérial, pédagogique, thérapeutique et que les trois ne sont pas « séparables ».  

    « Cher Francis NERI

    Vous avez raison mais je crains que nous ne soyons démunis, face à la Perversion et à la psychose, (sociétale) (lire Personnalité Normale et Pathologique de Jean Bergeret - Dunod éd. Lyon) »

    §

    Vos réponses me confirment que nous tournons autour  de la seule « réponse » possible : organisation, régulation, contrôle et je ne crois pas à la catastrophe.

    Je pense avec une ferme conviction que l’avenir n’est contenu ni dans le présent ni dans le passé et que je peux donc le penser.

    A partir de cette prise de conscience nous pouvons dire qu’en nous y mettant à plusieurs, nous sommes capables d’inventer demain en toute liberté. Et je suis persuadé qu’aucun de nous ne désire un « demain » catastrophique.

    Inventons notre avenir. Croyez moi cette idée est révolutionnaire et en plus contagieuse. Elle se transmet de génération en génération. Il ne faut pas rompre la chaine, la transmettre à nos enfants qui intégreront l’essentiel de ce que leurs ainés qui les ont précédé ont inventé.     

    Mon premier exemple :

    Sur la passerelle Myriam, symbole Alsacien de l’amitié Franco allemande, se déroulait cette semaine une rencontre  de scolaires des deux pays pour l’unité éducative.

    Des jeux, et une « animation » exclusivement faite par un orchestre Africain proposant exclusivement de la musique africaine et des chants en « langue » africaine.

    J’ai rencontré l’organisateur du rassemblement qui se déroulait sur notre territoire. Un Français arrogant et un peu méprisant. Il trouvait que l’idée d’un orchestre « Rhénan » et de la musique, des chants Français et Allemands, se « défendaient » mais qu’un orchestre Africain était plus représentatif de la culture Européenne en devenir !

    Vous pouvez imaginez l’étonnement des riverains, en particulier Allemands, dont les habitations longent le Rhin, alors que coté Français c’est encore une zone en « travaux » occupé par des Roms.

    L’organisateur de cette « manifestation », une « élite » de l’administration scolaire, a-t-il une seule seconde analysé ce que sa décision pouvait provoquer dans un climat plutôt tendu actuellement entre Français et Allemands ?

    Ce fut catastrophique ! En terme de causalité non seulement « linéaire » mais en rétroaction envers ce que nombre de riverains auprès de qui je me suis entretenu considéraient comme une provocation.

    Il faut s’attendre à des retombées qui vont alimenter la « boucle de rétroaction ».

    L’amitié Franco-allemande en a-t-elle tirée bénéfice ?

    Cet homme devrait lui bénéficier d’un recyclage, une année ou deux dans un ex goulag de Sibérie. Peut être apprendrait-il que l’ « idéologie » égalitariste qu’il veut imposer à ceux qui n’en veulent pas est celle de l’ère stalinienne, celle qui disait que demain existait et que c’était le leur, le seul possible.

    Cet homme n’est pas libre, il n’appartient pas à l’humanité. Il subit un conditionnement qu’il transmet, et c’est cela le drame, à nos enfants.

    La liberté du systémicien n’est pas celle du « n’importe quoi » idéologique. Elle consiste au contraire à se mettre d’accord avec ses semblables pour décider ensemble ce que l’on va faire pour construire notre  avenir et des contraintes que nous devrons nous imposer.            

    Je considère que la majeure partie de nos actes étaient hier  encore indéterminables, car les séries causales impliquées sont très nombreuses, et qu’individuellement nous ne possédions pas la logistique, les moyens informatiques pour traiter la masse des probabilités à distinguer pour établir une prospective fiable que nous puissions orienter.  

    La difficulté résidait uniquement dans la collecte et la nature des données à distinguer. Les moyens informatiques actuels nous le permettent.

    En cela réside un changement capital qu’il nous faut intégrer et très vite dans nos « algorithmes ».

    Mon second exemple :

    Dans l’affaire du Paris Saint Germain l’évènement était parfaitement prévisible il suffisait de lire les échanges sur Twister entre les jeunes des cités pour savoir exactement ce qui allait se passer.

    L’effet (boomerang) parfaitement prévisible a rétroagit sur les causes qu’il était faciles de distinguer.

    Encore une fois ces causes sont multiples  et se sont en quelque sorte « catalysées ». Ses éléments organisés grâce à internet, l’expérience du passé utilisée.

    La responsabilité des politiques, du préfet, des dirigeants du club est donc, pour un systémicien, clairement engagée.

    Ce qui est plus grave c’est que nos dirigeants sont et seront incapables de tirer le moindre enseignement de ce nouveau fiasco. Leur seule réponse sera de « faire semblant de faire …un peu plus de la même chose ».

    Dans les deux cas, il est flagrant que ceux qui sont au pouvoir au niveau de l’Etat  et des régions, dans l’administration également, doivent rapidement être remplacés, car étant responsables du problème ils ne peuvent manifestement pas faire partie de la solution.

    Formons ensuite nos dirigeants, politiciens, entrepreneurs, administratifs, enseignants etc. à l’approche et l’analyse systémique et nous nous porterons individuellement mieux ainsi que la France, l’Europe, le monde et probablement l’univers connu.

    Francis NERI



    [1]Big data, littéralement les Grosses données, est une expression anglophone utilisée pour désigner des ensembles de données qui deviennent tellement volumineux qu'ils en deviennent difficiles à travailler avec des outils classiques de gestion de base de données

  • Changement et systémique.

    Le système serait trop sclérosé pour changer nous dit-on. Mais est ce lui qui est grippé ou ceux qui l’ont fabriqué mais ne le maîtrisent plus car ils en ont perdu le contrôle faute de n’avoir pu ou voulu le « réguler » ?

    Absence de régulation et de contrôle, c’est le constat fait depuis au moins les années soixante par des systémiciens éclairés comme ceux du « Club de Rome » ou des chercheurs en science économique et sociales comme Jacques Lesourne (les systèmes du destin) ou encore des scientifiques comme Henri Laborit (la nouvelle grille) et Joël De Rosnay (le macroscope).

    Il est évident que personne n’avait envie de les entendre et singulièrement nos élites mondialisées incapables de contrôler et de réguler par le consensus le système mondial qu’ils ont érigés. La consommation par la dette satisfaisant tout le monde le « peuple » s’est accommodé « d’un peu de  pain et de beaucoup de jeux …télévisés entre autres ».

    Mais la réalité nous a rattrapé et ce qu’ils n’ont pas su ou pas voulu faire en une cinquantaine d’années, alors qu’ils en avaient la possibilité et les moyens, ce n’est pas à présent qu’ils vont y parvenir, si tenté qu’ils en éprouvent l’envie. Car finalement ils se contenteraient bien de faire comme si de rien n’était, et de poursuivre en faisant tout simplement la même chose en plus compliqué et c’est nous qui comme d’habitude paieront la casse.

    Car nous allons payer, et cher, notre insouciance et le fait d’avoir remis aveuglement notre sort entre les mains de dirigeants qui, de droite comme de gauche, nous ont trompés depuis si longtemps.

    Il nous faut en changer pour des « leaders » capables d’imposer au monde les réformes de structures, les régulations et les contrôles que les peuples accepteront dans la mesure où les efforts seront équitablement partagés.

    Des  leaders formés à l’approche systémique. Possédant un excellent niveau d’éthique de responsabilité et une bonne dose d’altruisme.

    L’enjeu du XXIe siècle ne consiste pas à produire et consommer sans limites, c’est entendu …semble t’il.

    Il y a des limites à l’expansion démographique et à l’exigence « d’égalité ». Et cela est loin d’être accepté.

    Mais ce n’est pas la production de richesses, qu’elles soient qualitatives ou quantitatives, qui pose problème, c’est la répartition et l’usage. Ceux qui nous dirigent n’en veulent rien entendre.

    Comment dans ces conditions envisager un avenir partagé possible pour nous en nos enfants ?

    L’avenir n’est écrit nulle part, mais les « éléments matériels » et humains de son apparition préexistent. Il nous appartient de les identifier, de les sélectionner, de les faire s’informer, interagir et de les organiser.

    C’est ainsi que nous pourrons marquer le début du changement et parvenir à un nouveau « niveau d’organisation sociale ».

    Il n’y a semble t’il pas d’autre chemin que celui de la complexité dont il faut explorer le maximum d’éléments caractéristiques :

    « La mise ne œuvre d’une décision fondée sur une approche systémique suppose donc que l’on délimite d’une manière rigoureuse, mais en même temps toujours arbitraire, quels sont les éléments de la situation que l’on prendra ou non en considération ; en d’autres termes, elle suppose que l’on délimite de manière appropriée « le système ». Mais avec la conscience d’abstraire les « items » qui nous paraissent les plus « signifiants ».

    Ce sont quelques uns des  processus qui conditionnent l’utilisation de l’approche systémique. 

    Il n’y a pas de système clos et autonome, mais toute situation (pédagogique, managériale, thérapeutique) doit être considérée comme un sous système d’un système plus vaste, ou comme un niveau d’analyse déterminé par l’approche adoptée.

    Il n’y avait donc pas de réponse possible à une crise du « système » financier sans qu’il ne soit tenu compte et mis en relation avec, et la liste n’est pas exhaustive,  le système « économie », celui des « matières premières », la «démographie»,     «l’écologie », « les contextes », les « bulles temporelles » ; les « cultures ».

    Notre acte premier est de nous rassembler et de prendre conscience de cette nécessité de faire ce saut qualitatif. Non pas au sein d’un parti, ce serait inutile, et aucun n’a la réponse.       

    Cette existence de collectivité créatrice d’une nouvelle approche peut seule faire de chacun de nous un être conscient et libre. Un être  relationnel, manœuvrant et efficace.

    C’est la clé d’une nouvelle vie en commun et une réponse à la fois individuelle et collective aux « crises » qui nous secouent et secouent le monde par la même occasion.

    Franchissons le pas ! Rejoignons l’IESE !              

    Francis NERI

    Institut Européen de Systémique Expérimentale