Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Crise systémique - Page 31

  • Pragmatisme et immigration

    Soyons pragmatique et ignorons un instant le côté humain :

    Une population humaine ou animale se développe tant qu'elle à manger.

    Les chasseurs vous expliquent cela dans le cas des sangliers par exemple. Ce qui fait l'envahissement incontrôlé c’est l'appel de la nourriture, l’absence de prédateurs et les avantages trouvés, c’est naturel.

    Supprimons cela, le flot s'arrête de lui-même et le grand remplacement aussi . Il n’y aucune autre solution.

    Mais supprimer les conditions d’accueil ne me semble pas assez efficace.  De toute façon elles seront très vite insuffisantes et « ils » ne s’arrêteront, comme les sauterelles en Afrique, qu’après avoir TOUT dévoré.
    La seule solution, outre le blocage hermétique des frontières, pour commencer, sera d’intervenir sur leur propre sol. De les nourrir oui, mais de mettre en place un contrôle strict des naissances et se substituer à eux pour leur gouvernance.

    Bref d’introduire une autorité supérieure aux nations capable d’instaurer de la régulation, du contrôle et de la sanction sur : l’économie et la finance mondiale, la démographie, sur la production et l’affectation des richesses, y compris les matières premières
    Tout le reste ne sera que des hypothèses fumeuses et mortelles pour le monde entier.

    Francis NERI

    09 02 14

     

    RI

    09 02 14

     

  • Surpopulation

    Moi je suis pour l’arrêt du surpeuplement. Stop à la croissance démographique !

    L'écologie consiste à retrouver des équilibres : entre les espèces d'abord, mais aussi entre les générations d'une même espèce. 

    L'enfer ce serait celui d’un jeune (rescapé d'un idéal de dénatalité) entouré de 10 vieux moribonds. Disent les natalistes !
    Bon si  je comprends bien ce qui est développé c’est d’accélérer la natalité, la situation idéale pour développer la croissance, pour financer notre système de retraite par répartition, est de faire plein d'enfants en nombre très important qui pourront payer pour les retraités et acheter pour se monter en ménage par la même occasion.

    Et demain, ces nombreux enfants devront en faire à leur tour encore beaucoup plus pour financer leurs retraites en même temps que leurs achats propres.
     
    Cela s'appelle une croissance infinie, et c'est impossible dans un monde fini.
     
    C'est ce genre d'argument qui nous est rabattu à chaque moment par tous les médias et autres économistes ... et je reste poli.
      
    Et ils en rajoutent !
    "Sommes-nous conscients que si nous arrivons à l'âge de 80 ans c'est grâce à une symbiose entre les générations et que le mécanisme des caisses de retraites n'est possible que s'il y a des jeunes qui travaillent plus que pour eux-mêmes !"

    Moi je me dis :

    Faisons en sorte que des machines travaillent de plus en plus pour tout le monde. La réponse peut être : moins de monde sur la planète et modification de l’assiette des cotisations vieillesse. Moins les indexer sur les salaires par exemple, ce serait un bon début. Faire un peu plus casquer les financiers qui eux ne produisent aucune valeur ajoutée. Il est vrai que çà réduirait les dividendes à verser aux actionnaires et c’est peut être çà le vrai problème. 

    Et puis moins de naissances c’est moins de morts de faim, moins de pillage de la nature, moins de produits inutiles.

    Bien évidemment que la pire des pollutions c'est la démographie ... Il faut avoir le courage de le dire haut et fort. La démographie est l’élément premier de la crise écologique.
    Il faut remettre au gout du jour Malthus et le contrôle des naissances, sinon ce seront les guerres et les épidémies qui feront brutalement les ajustements nécessaires.

    Est ce donc si difficile à comprendre ? Non certainement pas ! Alors cherchez à qui profite le crime ?  

    Francis NERI

    20 01 14

  • Loi du 3 janvier 1973

    Nous avons tous en mémoire les méfaits de la loi du 3 janvier 1973 d’aucuns semblent vouloir en atténuer la portée et en dédouaner certains.

    Finalement c’est peut être la faute à pas de chance et les vrais responsables ne sont pas nos gouvernements respectifs c’est NOUS ! Ben voyons !

    Christophe Servan

    Dette : Pompidou n’y est pour rien !

    Je voudrais réagir à l’article de Nicolas Gauthier sur la loi du 3 janvier 1973, dite loi Pompidou-Giscard.

     

    Lire sur Boulevard Voltaire

    Gilles Borg ·  Meilleur commentateur

    Merci pour cet essai d’explication M. Servan, mais tout ça n’éclaire pas vraiment le fond du problème. - Tout d’abord même si cette loi n’a pas eu tout le poids néfaste qui lui a été prêtée peut-être un peu vite, elle n’en reste pas moins inscrite dans une mouvance libérale, qui a peu à peu 

    « pavé la voie » pour la généralisation de l’emprunt auprès d’investisseurs institutionnels : vous l’avez dit vous-même, le recours aux ménages était une voie possible, qui a été, me semble-t-il, abandonnée depuis longtemps. Or on ne peut passer sous silence le fait que ce que la loi de 73 a commencé à installer dans les mœurs financières a été ensuite complété de façon massive et irréversible par le traité de Maastricht. La politique des petits pas….

    - Comme un autre participant l’a souligné, la France a sans doute souffert de maints gouvernements lâches et inconséquents, mais la dette est un phénomène quasi général : presque tous les états du monde, qui n’ont pas tous eu la gôôche aux commandes se sont endettés auprès d’investisseurs répartis dans le monde entier…. À tel point qu’on pourrait se demander (avec un soupçon d’ironie) s’il n’y aurait pas moyen d’annuler ces montagnes de dettes réciproques proprement et sans trop de casse, si bien sûr : • il était possible dans ce gâchis spéculatif de démêler les fils et de savoir quoi appartient à qui…. • les profiteurs du système financier acceptaient de voir leur magot illégitime fondre soudainement…. J’en doute puisque le glass steagel act est rejeté unanimement par tout ce joli monde…. - De plus, la dette a explosé de façon exponentielle, sans que l’on puisse constater chaque année des chocs pétroliers pouvant justifier ces besoins incessants de recours au crédit. En revanche, quel hasard, le tarissement des ressources nationales va de pair avec la montée de la dérégulation, de la mondialisation, de la désindustrialisation, tous ces phénomènes résultant de l’action malsaine de ceux-là mêmes qui aiment bien investir dans la dette et ont amené le législateur à mettre en place un système taillé sur mesure (libre circulation des capitaux, délocalisations, exonérations fiscales diverses, paradis fiscaux et off-shore dont maintenant tout le monde politique feint de s’étonner…. Et, arrêtez-moi si je me trompe, l’augmentation de cette dette a atteint des hauteurs stratosphériques, gonflant plus sur les 5 dernières années qu’elle ne l’a fait en tout depuis 40 ans, aussi bien aux USA qu’en Europe, depuis la crise des subprimes et le renflouement des banques…. La seule responsabilité des gouvernements en l’occurrence serait de ne pas avoir osé mettre les banques devant leurs responsabilités. - Pour l'anecdote, il y a enfin, à mon humble avis, une petite faille dans votre raisonnement visant à réfuter un quelconque complot (sur lequel je ne souhaite pas polémiquer) : le fait que le texte n'ait pas initialement contenu la disposition visée, et ait donc dû être amendé, ne peut à lui seul « détruire complètement » quoi que ce soit : à supposer des gens malins qui voudraient atteindre un but de façon indirecte et pas trop voyante, c’est précisément comme cela qu’il faut s’y prendre… Il suffit de trouver au bon moment un idiot utile à qui l’on insuffle le sentiment d’apporter lui-même sa pierre à l’édifice, et qui fait le travail pour vous sans même réaliser qu’on l’a manœuvré.…. Je n'en tire aucune conclusion définitive, mais... Bref, remettre les pendules à l’heure concernant la loi de 73, et relever les erreurs la concernant c’est bien, mais verser dans l’excès inverse en voulant la dédouaner totalement cela l’est moins : elle reste un signe des temps et s’inscrit à mon avis dans un processus réfléchi, de longue haleine, de cassage des Etats et de régression sociale par l'appauvrissement, dont elle ne peut s’exclure.

     

    §

     

    Rien à ajouter sinon appuyer ce qu'écrit Gilles BORG en insistant sur l’idée que le "complot" n'existe probablement pas.  Une collusion d’intérêts et un manque de régulation et de contrôle voilà, pour moi, la « cause des causes ».

    Bref la "crise" est bien systémique au sens qu'elle est effectivement hors régulation et hors contrôle, que l'on sait COMMENT résoudre les problèmes, mais que certains ne veulent pas et que d'autres ne peuvent pas.

    Les deux ayant fait partie du problème ne veulent faire partie de la solution, c'est contre leurs intérêts.

    Le notre consisterait à se débarrasser d’eux  pour commencer et le plus vite possible pour, enfin, s’en prendre aux deux autres problèmes avec lesquels ce libéralisme prédateur entre en conjonctions d’intérêts : la gauche et l’islam, deux idiots utiles en fait !

    01 07 13

    Francis NERI