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Crise systémique - Page 27

  • Démographie

    Le problème, le VRAI problème c'est que quand les "blancs", de culture et de religion Occidentale, font un enfant, les noirs et les ararabomusulmans (qu'ils soient noirs, jaunes ou blancs d'ailleurs) en font au minimum 4...ce n'est donc PAS un problème de couleur, voire de race, mais bien un problème à la fois culturel, cultuel, et enfin économico-financier.

    Car il faut bien le dire, ce sont avant tout les grands groupes économico-financiers qui veulent que nous fabriquions toujours plus d'enfants pour pouvoir fabriquer et consommer toujours plus de produits de moins en moins bons ...

    Nous ne sommes pas sorti de l'auberge car pour résoudre ce problème "global" il va falloir changer de monde ou éliminer environ 50 % de la population mondiale pour enfin "vivre mieux".
    Et "nous" Occidentaux avons intérêt à faire en sorte que ce soient chez eux, du coté de l'Afrique de l'Ouest et dans les pays musulmans que la réduction de population s'effectue au plus vite avant que le grand remplacement ait définitivement gagné la partie.


    Francis NERI

    11 05 16

  • Waterloo

    Que peut on faire à Waterloo sinon regarder le spectacle des armées qui s’affrontent ...c'est beau !
    La réponse ici et maintenant se trouve dans les besoins sans cesse croissant de l’espèce humaine se heurtant aux limites des ressources de la planète, phénomène sans exemple dans le cours de l'évolution naturelle depuis les origines.
    Nous en sommes à la rupture inévitable et la réponse c'est une profonde transformation des conduites et des pratiques collectives …changer de système est un non sens total.
    Même Zemmour nous dit que nous sommes victimes de nos trois insuffisances de régulation et de contrôle : au niveau individuel, au niveau des groupes sociaux au niveau de l'espèce.
    C'est la dessus qu'il nous faut travailler.
    La crise des subprimes en est un exemple éclatant démontrant à l'évidence que l'auto contrôle çà ne marche pas...alors pour quelles raisons insister ?

    Francis NERI
    29 03 16

  • Vision II

    Bien sur Olivier …le monde va mal, mais nous n’y pouvons rien ! Je pense qu’il faut bien considérer où se trouve le global et le particulier, le simple et le complexe, relier tout çà par un câble et faire l’aller retour en permanence.
    Nous n’avons pas d’autres possibilités.
    Du Bataclan à Cologne, de la mer Égée à la Scandinavie : chacun le voit, l’immigration est une catastrophe pour la France et l’Europe. L’invasion les menace d’anéantissement.
    Ses causes ? L’explosion démographique du Sud, les guerres, mais pas seulement, l’écologie, l’utilisation effrénée des richesses etc. Vous en parlez fort bien.

    Mais il faut bien commencer par un bout !
    « Après quarante ans de déni organisé, la réalité s’impose. Même Hollande et Merkel semblent commencer à prendre conscience des difficultés. L’Europe est en train de mourir d’un projet idéologique : le mondialisme immigrationniste marchand, le « MIM », facilité par la trahison de ses élites politiques, économiques, judiciaires, médiatiques. Cette trahison explique quarante ans de mensonges, d’omerta, d’impuissance à traiter le problème malgré les promesses ».
    C’est ce que dit par exemple Yves le Gallou et il termine par : Comment arrêter la catastrophe ?

    Je répèterai donc que pour ce qui concerne la France, ce n’est vraiment pas bien compliqué comme stratégie à appliquer.

    • Nous débarrasser au plus vite de la gauche au pouvoir et empêcher la fausse droite d’y revenir car elle est en phase avec les néo-mondialistes
    • Reprendre notre totale liberté d’action, notre souveraineté en sortant de l’UE et de l’Euro …Rompre notre dépendance avec la sphère US …quoique cela puisse nous en coûter dans un premier temps. Si nous laissons entrer le TAFTA en France, nous sommes morts !
    • Nous pourrons alors nous occuper sérieusement du troisième : l’islamisme. Et ce ne sera pas une mince affaire Il faudra s’en donner les moyens, quitte à ce que provisoirement nous mettions en attente nos désirs de libertés individuelles.
    Faisons au moins cela, nous ne perdrons pas notre temps !

    A partir de nos réseaux sociaux nous pouvons déjà identifier des amis qui pensent comme nous. Nous fédérer et pour cela nous rencontrer.
    Que chacun ensuite dans sa « zone » d’influence fédère à son tour. Nous pouvons ainsi créer une organisation « fractale » forte et influente (un réseau) avec des « points d’ancrage » et une structure de référence idéologique, définissant au minima les objectifs, les fins, les moyens avec comme finalité première le « pouvoir en 17 » et ce en oubliant le carcan des partis et en s’intéressant aux hommes et aux femmes capables de remplir NOS objectifs.
    Oublions alors le centralisme Jacobin et pensons aux avantages de la subsidiarité. Chaque « point d’ancrage » serait dans cette organisation le plus apte possible à résoudre ensemble leurs difficultés locales et régionales. Avec comme impératif d’imposer régulation et contrôle des institutions, provoquer des attitudes et des comportements conformes à nos attentes.
    Nous pouvons ensemble nous interroger sur l’origine et la cause de nos fractures sociales au lieu d’éternellement n’en constater que les effets.
    Nous pouvons prendre ensemble conscience de la complexité des défis qui nous sont adressés et proposer des solutions que nous soutiendrons et imposerons également ensemble.
    Nous pouvons ensemble élaborer les outils et les moyens adaptés à nos attentes, nos besoins, et exiger qu’ils en soient fait une bonne utilisation.
    Nous pouvons ensemble, à partir de nos pages, nos groupes, nos blogs mis en cohérence, amplifier ou désamorcer des « effets » négatifs ou positifs. Soutenir telle action et décrier telle autre.
    Nous pouvons dire comment, ensemble, nous entendons réguler, contrôler les pratiques économiques, financières, écologiques, éducatives etc. et remédier aux malversations.
    Nous pouvons ensemble identifier les personnes faisant preuve d’énergie, de compétence et possédant un degré suffisant d’altruisme pour nous représenter politiquement et qui appliqueront le projet que nous leur avons demandé d’appliquer.

    N’attendons pas, commençons, maintenant ! Et ...parlons en entre amis !

    Francis NERI
    29 02 16