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Effondrement - Page 8

  • Prospective

    On ne peut entrevoir notre futur si on ne connaît pas notre histoire : même le président Erdoğan l'a compris...
    Et Éric Zemmour aussi !
    Nos enfants connaissent mal notre histoire de France et nos petits-enfants n'en connaissent pas grand-chose : l'Education nationale est à refondre complètement.
    Les citoyens ne croient plus en rien et ne font plus confiance ni aux politiciens, ni aux religieux : la corruption, la pédocriminalité et les trafics de drogue sont les trois cancers à éradiquer de toute urgence.
    Si nous observons les pays du monde entier, nous retrouvons les mêmes maux !
    Les pays musulmans insistent auprès des jeunes générations sur le passé historique de leur pays (ex. la Turquie).
    A l'inverse, les occidentaux ne connaissent plus leur histoire : en France, elle est plutôt remplacée par une éducation sexuelle dès le plus jeune âge. Notre Chef de l'église est pro-migrants et ferme les yeux sur les dérives de ses responsables religieux. Les églises sont transformées en restaurants ou salles pour de l'événementiel et pendant ce temps, la construction de nouvelles mosquées se développe et les imams font du prosélytisme.
    Les dirigeants corrompus se servent de la corruption pour manipuler leur peuple et certains, de la religion pour attiser leur ferveur.
    Le "grand remplacement" poursuit son ras de marée mais le plus urgent me semble-t-il serait de changer de gouvernement afin de changer nos méthodes d'enseignement(s) et redonner de l'espoir à un peuple désespéré.
    Ce désespoir se traduit par la formation de groupes terroristes qui s'élèvent contre toutes ces dérives qui favorisent une idéologie "anti-blancs"...
    Que se passe-t-il au juste ?
    La guerre civile gronde dans chaque pays en raison de la corruption des dirigeants qui vivent comme des nababs et contre leur peuple étouffé par des impôts et taxes démentiels.
    En France, nous n'avons pas de véritable opposition. Celle qui manifeste, qu'elles que soient ses opinions, n'a plus qu'un objectif : destituer E. Macron. Utilisons cette "majorité" pour agir et se débarrasser de ce personnage maléfique qui ne cesse de nous trahir et déshonore la France... pendant que nous nous "occupons" de l'islam.
    Commençons par soigner les causes !

    Nicole Held
    08 05 23

  • Les incohérences immigrationnistes à Mayotte

    Mayotte est enfin dans tous les esprits. La situation est dramatique depuis des années, la violence terrorise une population appauvrie par une situation économique désastreuse doublée d’une submersion migratoire venue des Comores voisines. Mais il a fallu l’opération Wuambushu lancée par le ministre de l’Intérieur pour que les caméras envahissent l’île et rapportent le témoignage de mahorais désespérés par un quotidien particulièrement préoccupant.
    Les Mahorais ont choisi Marine le Pen à 59% au second tour des élections présidentielles, leurs deux députés soutiennent cette opération de démantèlement des bidonvilles et d’expulsions massives de clandestins dans les îles voisines. Mais rien n’y fait, des associations dénoncent une atteinte aux « droits humains » - comme si la vie paisible des Mahorais n’en était pas un -, des avocats déposent des référés pour empêcher – avec succès – la poursuite de l’opération et des magistrats appellent à contrer la décision du gouvernement. Les rapports de force sont les mêmes partout en France : les Français, qu’ils soient de Mayotte ou d’ailleurs, plébiscitent la fermeté en matière migratoire. Les représentants – parfois subventionnés ou payés par leurs impôts – organisent l’inverse.
    Mais la situation de Mayotte brouille les pistes : comment dégainer les accusations fallacieuses de racisme, de xénophobie ou de haine pour contredire des Mahorais « racisés », majoritairement musulmans et victimes incontestées d’une violence désormais endémique ? C’est difficile, alors personne ne le fait.
    Et pourtant, les immigrationnistes ne baissent pas les armes. Ils se saisissent de lois toujours promptes à protéger les droits individuels contre la préservation du Bien commun évidemment, mais ils adaptent aussi leurs discours dans des proportions qui dépassent l’entendement. Ainsi Edwy Plenel, qui tweetait ces jours-ci son admiration d’une ethnologue interrogée dans le journal Le Monde au sujet de la situation mahoraise. Que disait cette femme ? « S’agissant des Comoriens à Mayotte, il est difficile pour moi de parler de migrants étrangers. Ces populations partagent la même langue, pratiquent la même religion, ont la même conception de la parenté, se sont souvent mariées et continuent de se marier entre elles. Rien ne les distingue si ce n’est que certaines se retrouvent sur ce territoire avec la nationalité française et d’autres pas. »
    La phrase est exceptionnelle à tous points de vue, relayée par des fervents défenseurs d’une immigration toujours plus grande et négationniste de l’existence d’un peuple et de son droit à la continuité historique.
    Quand il s’agit de Mayotte, subitement, la notion de peuple historique existe : il se définit même par toute autre chose que le partage d’une nationalité administrative. Être du même peuple, soudainement, c’est partager la même langue, la même religion, les mêmes coutumes et la même conception du monde. Les mêmes qui hurlent et insultent lorsque l’on fait remarquer que certains ont des papiers français sans partager les us et coutumes forgées par des générations de Français avant eux…
    Quand il s’agit de Mayotte, subitement, on souligne la facilité à vivre ensemble entre des personnes qui vivent de la même manière. Les mêmes qui ne savaient plus quelle infamie inventer lorsque les Français trouvaient plus facile d’accueillir des Ukrainiens aux mœurs assez proches qu’une immigration extra-européenne si culturellement différente…
    Il est vrai que mahorais et comoriens partagent une religion, des mœurs, des coutumes, une histoire, et qu’ils ne sont pas totalement étrangers les uns aux autres. Mais Edwy Plenel et consorts oublient un point essentiel justement : l’harmonie subtile qui existe entre l’héritage, notamment culturel, et le choix libre et responsable d’adultes dans une démocratie.
    Il se trouve que s’il est légitime de qualifier les Comoriens d’étrangers à Mayotte, ce n’est pas d’abord en raison de différences culturelles difficiles à trouver mais en raison de la pleine appartenance de Mayotte à la France, contrairement aux Comores.
    Non parce que la France entretiendrait un délire colonialiste dans cette île lointaine mais parce que la question a été posée à tous les habitants de ces îles : tous ont voulu l’indépendance, sauf les Mahorais qui ont très largement choisi de rester Français.
    Voilà la différence : dans le respect de la liberté des peuples à décider de leur avenir.
    Charlotte d'Ornellas
    Journaliste à Valeurs actuelles
     

  • L’enjeu !

    Netanyahou la gauche les juges et nous

    La révolte contre la réforme du pouvoir judiciaire voulue par Benjamin Netanyahou est une affaire qui déborde largement les frontières d'Israël. Cela préfigure ce qui pourrait arriver en France si Marine Le Pen, par exemple, devenait un jour présidente de la République.

    Par Yves Mamou

    Publié le 5 avril 2023 à 9h00

    La coalition Likoud-sionistes religieux-partis orthodoxes n’avait pas fait mystère de son intention : si elle revenait au pouvoir en novembre 2022, elle réformerait la Cour Suprême.

    la Cour suprême occupait une place disproportionnée dans le système démocratique en Israël, elle intervenait abusivement dans un trop grand nombre de domaines et surtout le système de cooptation des juges empêchait le renouvellement idéologique de cet organe clé du pouvoir politique en Israël.

    Jour après jour, un vacarme médiatique assourdissant a mobilisé tous les grands médias écrits israéliens (Haaretz, Yediot Aharonot), et les grandes chaînes de télévision pour clamer haut et fort que des racistes et des fascistes étaient au pouvoir. Et que le fasciste en chef était Benjamin Netanyahou.

    Le seul précédent connu d’une telle brutalisation médiatique contre un individu a eu lieu aux États-Unis entre janvier 2017 et janvier 2021 : du premier au dernier jour de son mandat, Donald Trump a été insulté, vilipendé, traité de raciste, de criminel, de fasciste, de brute, d’idiot (et on en passe) par la quasi-totalité des médias américains. Éric Zemmour en France a été également diabolisé. Le tour de Benjamin Netanyahou est arrivé.

    Marine le Pen devrait se méfier et prendre les devants !

     

    https://www.valeursactuelles.com/monde/tribune-netanyahou-la-gauche-les-juges-et-nous