Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Identité mémoire culture - Page 24

  • A l’école du progressisme 

    Ce lundi, l’acteur Louis Garrel était invité de l’émission Quotidien (TMC). Sur le plateau de Yann Barthès, il a notamment fait la promotion de son nouveau film, la Croisade. L’histoire est celle de deux parents dont l’enfant de 13 ans lance une croisade au sein du domicile familial pour sauver la planète.

    On croit d’abord à une comédie, comme l’annonce l’acteur de 38 ans. Jusqu’à ce qu’il se lance dans un discours élogieux sur le courage d’une nouvelle génération qui prétend donner des leçons de morale aux adultes. « Je trouve que les jeunes gens de 12, 13, 14 ans sont très affûtés, sur tous les sujets, pas seulement l’histoire du changement climatique. Mais aussi sur l’histoire de la sexualité, de l’identité sexuelle, de l’identité de genre, de l’antiracisme… Moi je me trouve des fois comme un con, ils me font la leçon et je me trouve réac », reconnaît-il. Un monde où les enfants définissent les règles et où les adultes n’ont qu’à suivre passivement sans broncher. « Quand j’ai envie de protester, je me trouve complètement idiot, je leur dis “je vous laisse faire, vous êtes des progressistes beaucoup plus forts que moi”. » Car il ne s’agit plus seulement de déconstruire tous les prétendus stéréotypes d’une société “raciste, homophobe et transphobe”.

    Il faut aussi renverser les rôles dans l’éducation : l’enfant devient le maître, le sachant, et l’adulte prend la place de l’élève docile.

    Du discours de Louis Garrel ou de l’admiration béate des chroniqueurs qui l’écoutent religieusement, on ne sait pas ce qui est le plus lunaire. 

    Valeurs actuelles

    16 12 21

  • Le journal du Cygne Noir n° 127

    01-Eric Zemmour provoque le malaise chez certains Français juifs
    Le président du CRIF, un « homme de gauche » a lancé un appel pour qu’il n’y ait « pas une voix juive » pour le potentiel candidat à la présidentielle dont les prises de position ont heurté. Une mise en garde qui peine à trouver écho dans une partie de la base.
    Francis Kalifat, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) nous dit : « Pas une voix juive ne doit aller au candidat potentiel Zemmour », a estimé, mi-septembre sur Radio J, en qualifiant Eric Zemmour de « juif utile ».
    Ce dernier avait rétorqué que M. Kalifat était « l’idiot utile des derniers antisémites ».
    Soyons sérieux Mr Khalifat vous ne représentez plus rien, le sujet est le « conflit de civilisations » avec un islam menaçant la République, dont Eric Zemmour est le seul à comprendre l’ampleur. A propos du terrorisme islamiste : « On ne crie pas “Heil Hitler”, on crie “Allahou akbar”. ».
     
    02-Et pour enfoncer le CRIF.
    Faire imploser l'UE !
    « Si mettre fin à cette guerre politique qui ne dit pas son nom paraît utopique, il n'est par contre pas impossible de combattre en toute lucidité cette tendance hostile usant de la possibilité historique du moment présent pour affaiblir et mieux encore faire imploser l'UE au profit d'états nations souveraines avec lesquelles Israël pourrait plus sereinement agir dans le cadre d'accords bilatéraux.
    Pour cette raison bien que ce ne soit pas la seule, loin de là, à la différence du CRIF nous exploiterons cette possibilité au slogan "pas une voix juive ne doit manquer à Eric Zemmour ».
     
    03 L'UE, Israël et Zemmour :
    C'est une lutte à mort qui va bientôt se dérouler en Europe, pour la survie de l'UE dans sa conception actuelle.
    Celle que cette institution veut imposer aux nations qui ne la supportent plus.
    Le très social démocrate Danemark,- non encore soupçonné de fasciste, mais qui sait, venant de la gauche française- vient également de mettre fin par des mesures idoines -préconisées par Eric Zemmour- à cette immigration folle, emboitant le pas à la Hongrie, la Pologne et l'Autriche.
    Les lignes de clivage sont claires, connues, débattues franchement alors qu'elles étaient quasiment étouffées pour cause d'abus d'élixir bien pensant, sorte de liqueur écœurante aujourd'hui au goût de vinaigre.
    Ce n'est pas une simple opposition politique qui se traduit par des « mesurettes » démagogiques ou des compromis boiteux à la "LR-Macron" en sauce "socialo-humanisto-démagogique" pour encore gagner du temps alors que les échéances brûlent.
     
    04. Encore 4 ans de perdus et ce sera trop tard.
    Les titulaires du pouvoir politique, médiatique et financier ont trop à perdre en cas de Frexit direct ... ou indirect sous le poids des antagonismes.
    Ils ne resteront pas les bras croisés s'agissant de voir leurs privilèges s'amoindrir.
    Pour la France par exemple, rien que de penser comme en ex-Union Soviétique le danger pour sa presse subventionnée et autres média télévisés de voire leurs allocations prélevées sur les impôts des français disparaitre, combien ne doivent pas en dormir la nuit, imaginant le séisme qui se profile à l'horizon des élections présidentielles.
    Encore 4 ans de perdus et ce sera trop tard.
    Parce que le prix à payer pour en sortir-si tant est que ce soit possible- sera bien plus élevé.
    Autre volet du chambardement possible concernant Israël :
    La satisfaction immense d'un effondrement de l'UE.
    La politique de ce bloc uni par la volonté de fonctionnaires internationaux non élus se manifeste depuis plusieurs années par une constante allant crescendo :
    Le soutien financier par millions d'Euros aux organisations palestiniennes-y compris à Gaza par le biais d'associations prétendument humanitaires, une autre partie des fonds étant destinés à la construction arabe illégale en Judée-Samarie pourtant légalement sous le controle exclusif d'Israël.
    D'incessantes interventions auprès des organismes internationaux en compagnie des pires dictatures se traduisant en votes par la délégitimassions territoriale, cultuelle et culturelle d’Israël.
     
    05 -Distinguer entre les bons et les "mauvais" juifs ?
    L'imposition du label des produits israéliens fabriqués en Judée-Samarie, émanation moderne d'une bonne vieille idée européenne de distinguer entre les bons et les "mauvais" juifs, usant d'un droit de poursuite dans la continuité historique puisque le phénomène "gênant" s'est déplacé sur la terre de leurs ancêtres.
    Si mettre fin à cette guerre politique qui ne dit pas son nom paraît utopique, il n'est par contre pas impossible de combattre en toute lucidité cette tendance hostile usant de la possibilité historique du moment présent pour affaiblir et mieux encore faire imploser l'UE au profit d'états nations souveraines avec lesquelles Israël pourrait plus sereinement agir dans le cadre d'accords bilatéraux.
    Pour cette raison bien que ce ne soit pas la seule, loin de là-, à la différence du CRIF nous exploiterons cette possibilité au slogan "pas une voix juive ne doit manquer à Eric Zemmour".
     
    Cygne Noir
    ……………………………………………………………………………………
     
     
     

  • L’islam n’est que le miroir de nos démissions

    Le monde ancien est de retour ! L’Histoire EST faites de cycles et nous revenons pour effacer Cohn Bendit ! Il nous faut sortir de la société du vide.
    Si l’intelligence est, on pourrait récupérer ce qui est encore récupérable du patrimoine chrétien et des valeurs de la chrétienté française avant que ce nouvel ordre mondial, que "l'élite de l'ombre" veut nous imposer avec ce fameux "big reset", soit installé définitivement ! Et il n'est pas trop tard !
    - Ce n’est probablement pas pour rien qu’Eric Zemmour s’associe avec De Villiers (note de FCN) -
    « C'était mieux avant. » Mais de quel « avant » parlons-nous ? Celui de la société de consommation triomphante des années 1960-1975 ou de la société chrétienne millénaire qui l'a précédée ?
    Tout change en effet au cours de ces « quinze piteuses » qui voient la destruction méthodique de l'art de vivre et de la culture populaire, la remise en cause du monde vertical de l'autorité et l'effondrement des vieilles croyances.
    La petite-bourgeoisie éduquée, soucieuse de se démarquer du moule dans lequel elle avait été formée a imposé l'hégémonie du progressisme. Patrick Buisson nous confronte à nos contradictions. Avec La fin d'un monde, il nous éclaire sur ces passions françaises dont il s'est fait le décrypteur et nous donne le grand livre contemporain des objecteurs de modernité.
    https://www.youtube.com/watch?v=unn_Pl323Hw&t=8s