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Insurrection - Page 13

  • Intelligence collective

    La nature faisant bien les choses a permis des répartitions selon la sensibilité de chacun et le milieu ambiant où ils vivaient, ce qui a donné des civilisations et des cultures différentes où chacun se sens chez soi....

    Qui sont ces idiots qui veulent un monde uniforme, où plus personne ne s'y retrouve ni se sent bien ! où il ne sera même plus bon de voyager puisque partout la même chose à trouver, laideur des gratte-ciel, vocabulaire incompréhensible, métissage absolu, alors que ce monde pouvait être apprécié pour ces architectures différentes, ces us et coutumes également avec leurs particularités que l'on pouvait adorer ou détester, mais qui nous faisaient aussi apprécier le bonheur de rentrer chez nous et d'en apprécier ses différences......!
     
    Et comme la nature a horreur d'être perturbée pensons que tout cela va mal se terminer sans doute avec l'aide de cette "bonne nature" qui va joindre sa colère à la nôtre, non ?
     

  • Entrer en résistance

    Ma survie personnelle passe par la prise de conscience qu’il me faut m’organiser pour résister à un processus individuel de désintégration. Processus en particulier affectif. Bref il me faut combiner le cœur et la raison, le cortex et le thalamus.

    Un processus qui rejoint celui du collectif ! Le triple échec d’Éric Zemmour a profondément affecté ses soutiens, et la confiance dans un avenir possible avec lui à leur tête est largement remise en question.

    Devant le danger actuel de l’adaptation rapide et passive des « citoyens » au nouveau totalitarisme « social » et « sociétal » développé par le pouvoir actuel, il faut apprendre à lutter contre un enchaînement de faits dans le temps aboutissant à un mouvement collectif de désintégration sociale, culturelle, économique etc.
    Il nous faut, entre autres, dire comment s’en défendre, se protéger, comment passer à l’action, avec qui et quels moyens.

    Face aux empiètements croissants de l’Etat, et des pouvoirs qui lui sont inféodés, sur notre autonomie, à la mise en « fiches » de plus en plus générale et à la considérable diminution de la liberté d’action et de pensée, il y a possibilité et urgence à réagir.

    D’abord comprendre. Il ne s’agit pas de se faire tuer en descendant dans la rue au nom de la liberté – çà c’est l’élan du cœur – il faut que chacun de nous analyse, réfléchisse à la façon dont le mécanisme fonctionne et décide de partager ses convictions pour les inscrire ensuite dans l’action conjointe.

    Dans une société de masse à intégration poussée, dont le principal danger est l’adaptation des individus aux demandes d’un pouvoir central de plus en plus fort, et de mieux en mieux armé pour nous gérer, nous surveiller, nous contrôler et nous les imposer, il nous faut en retour, individuellement et collectivement, nous organiser pour résister. Ne pas laisser l’Etat cloisonner les individus et affaiblir la solidarité collective.
    Pour cela, il nous faut renforcer nos liens de solidarité, d’amitié entre les individus, retrouver et redonner sens aux valeurs, aux codes sociaux qui sont nôtres et qui renforcent la mémoire de ce que nous sommes, de nos identités.
    Il nous faut prendre collectivement conscience de la réalité des dangers et employer les mesures encore possibles pour organiser la défense et la survie dispersée de chacun.
    Nous devons nous méfier de « l’autisme de groupe », rester ouverts, ne plus jamais dissocier le cœur et la raison.

    Ne pas oublier de maintenir en soi ce que Bruno Bettelheim considérait comme la plus grande liberté de l’homme : « choisir son attitude et son comportement face aux circonstances ».

    Je vous invite à y réfléchir et si vous le voulez bien y adhérer !

    « Plus est en nous »

    Francis-Claude Néri
    Président de l’IESE   

           

  • Kosovo

    L'affaire du territoire du Kosovo, pays créé par les forces atlantistes, semblait entérinée. Aujourd'hui, les regains de tension à la frontière kosovare (avec la Serbie) montrent que les serbes n'oublient pas leur province du Kosovo et ne renonceront pas à récupérer ce territoire, berceau de leur histoire.
    Les lignes bougent en Asie en Europe de l'Est et dans les Balkans
    Et en France ? Aujourd'hui la Serbie, demain la Seine-Saint-Denis ?
    La menace de l'explosion des banlieues demeure toujours présente, et à plus forte raison avec la crise énergétique en cours et les conséquences sociales qu'elle porte en elle. L'effondrement d'un Etat ou sa partition n'arrivent pas qu'à l'étranger.
    Retraités, jeunes, actifs, tous, nous sommes appelés à repenser nos manières d'agir et notre regard sur notre monde.
    L'été passera vite ...sommes nous prêts à affronter la réalité et à réagir "ensemble" ?
    FCN