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Liberté d'expression - Page 69

  • Agnostique et athée

    Un ami facedebouc me reproche mon « athéisme ». Un ami dont je respecte la croyance du moment qu’il ne vienne pas m’importuner avec.

    Il est vrai que j’aime bien me référer à Prévert qui l’est :

    Absolument
    Totalement
    Hermétiquement
    Etonnamment
    Entièrement


    Il suffit de lire « Parole » pour s’en convaincre.

    Pour ma part, je suis plutôt (si l’on veut vraiment m’enfermer dans un tiroir) plutôt agnostique.
    L’athéisme suppose une franche affirmation de l’inexistence des dieux. L’agnostisme, c’est ne pouvoir rien conclure, ni en leur existence, ni en leur inexistence.
    Par contre ce qui m’indiffère et que je trouve à présent mortellement dangereux ce sont les religions, et ceux qui les utilisent pour nous dominer et nous combattre.
    Je conçois que d’autres s’y soumettent, c’est leur affaire et si çà apaise leurs peurs et leur rend supportable la pression de la « fourmilière » humaine pourquoi pas, du moment qu’ils ne m’indisposent pas avec, ne me traitent pas de dangereux « mécréant » et ne souhaitent pas au plus vite m’exposer à l’égorgement.
    C’est aussi la raison pour laquelle je me dresserais si elle était revisitée, comme certains le souhaitent, contre la révision de la loi de 1905.
    Il faut garder cette loi en l’état, rien que la loi, toute la loi et…l’appliquer, cesser de la contourner, y compris en Alsace-Lorraine.

    Francis NERI

    31 07 15
           

  • Humour

    Je considère que la contestation des dogmes dominants est souvent à l'origine des progrès de la science.
    Cependant, si le chercheur à l'intérieur de son « laboratoire » doit être laissé libre de contester les dogmes qui dominent sa discipline, il doit impérativement s'exprimer de manière responsable et mesurée devant les médias et devant les politiques.

    Dans quelque domaine que ce soit, la défense de thèses apparemment révolutionnaires est une manière trop facile de conforter sa popularité.

    L'attitude actuelle vis-à-vis de l’économie, de la finance, de l’écologie, de la culture, de l’explosion démographique, de l’immigration, me paraît de ce point de vue inadmissible.

    Toute justification tendant à démobiliser les gouvernements, dont les efforts dans ces domaines sont encore très insuffisants, pourrait avoir des conséquences dramatiques pour l'avenir de l'humanité.

    Francis NERI
    18 06 15

  • Surpopulation

    C'est effectivement le problème n° 1 La cause initiale. Le reste n'est que conséquences. NOUS le savons depuis bien longtemps (Malthus par exemple nous en a dit deux mots) Mais allez dire çà au Pape, aux Imams, aux fellahs et aux multinationales.

    L’attention que nous consacrons à ce problème est dérisoire, comparée à la gravité de la situation.
    L’accroissement démographique doit s’arrêter. Il devrait être ramené à zéro avant les années 20 sinon nous serons obligés de choisir entre abaisser autoritairement le taux de natalité des pays du sud ou relever leur taux de mortalité.

    Et ne nous faisons aucune illusion, les pays surdéveloppés sont incapables de nourrir les pays sous développés, surtout si ces deniers leurs envoient leur surplus démographique.

    Et que ceux qui en occident pensent au métissage, surtout culturel qu’ils cessent de rêver.

    Ils auront d’ailleurs eux mêmes à cesser tout gaspillage et à réguler, contrôler leur consommation de ressources essentielles.

    Et à penser qu’ils vivront mieux en étant moins nombreux ; qu’un nombre réduit d’enfants nécessite un nombre réduit d’écoles, nous donne des enfants mieux nourris, mieux éduqués, mieux formés et produit de meilleurs citoyens.

    Francis NERI

    04 06 15