Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Présidentilles 2017 et 22 - Page 8

  • Mondialisation la gauche l'a voulu

    La mondialisation et l’Europe ultra libérale, c’est la gauche qui l’a voulu. C’est la raison pour laquelle elle n’y veut rien changer.

    Pour changer d’Europe, faire échec à la mondialisation et l'invasion islamiste, commençons par nous débarrasser de la gauche, de la droite LR et de Macron ils sont complices et responsables du problème ils ne peuvent donc faire partie de la solution.

    Je vous invite à écouter et surtout à entendre l’excellente analyse d’Eric Zemmour qui démontre à quel point la gauche est depuis au moins 40 ans l’alliée objective de ce mondialisme prédateur dont elle a préparé le terrain idéologique.

    Ajoutez-y l’allié Islamiste et vous avez la « Triplice ». 

    Eric Zemmour emploie à dessein le mot « dérégulation » et c’est bien cela la cause des causes : l’absence de régulation et de contrôle.

    Il rappelle à juste titre que la mondialisation c’est 1 milliard de chinois et d’indiens plus quelques autres ailleurs, et même en Europe, payés trois bols de riz pour faire le même travail que les ouvriers Européens, dans des conditions d’abolition des frontières pour des produits qui rentrent sans droits de douanes.

    Il ne faut pas s’étonner que les patrons, déjà du temps de Bouygues, disaient aux ouvriers qui ne voulaient pas faire le travail pour tant : « je vais voir ailleurs ».

    Je me suis beaucoup amusé de voir la tête de Mélenchon quand Zemmour lui dit que la mondialisation c’est lui qui l’a construite idéologiquement : l’internationalisme, la fin des frontières, l’égoïsme des nations, le patriotisme et le nationalisme c’est la guerre etc..

    Et Zemmour conclut magnifiquement : «  grâce au libre échange, grâce au capitalisme, les pauvres des pays riches subventionnent les riches des pays pauvres et la gauche devrait être ravie, c’est elle qui l’a voulu » !

    Bonne lecture !    

    Clash entre Jean-Luc Melanchon et Eric Zemmour - YouTube

    Francis NERI

    29 06 13
    (Mis à jour le 19 01 22)

     

  • Wokisme déboulonneurs et hystériques

    Le politiquement correct à l’heure de la « cancel culture »
    Une offensive sans précédent de l’extrême gauche racialiste sur l’espace public des sociétés occidentales pour achever leur conversion à la logique diversitaire et liquider une fois pour toute ceux qui y résistent encore.
    Est-ce que la poussée de la gauche woke de Mr Macron, ouvertement hostile aux principes de la démocratie libérale et transformant tous ses désaccords en croisade contre le racisme, le sexisme et la transphobie, entraînera une une recomposition politique contre elle ? Nous pouvons faire confiance à Eric Zemmour pour cela !

    Le régime diversitaire se radicalise à grande vitesse. C’est une violence idéologique nouvelle qui s’exerce dans une société qui se décivilise à grande vitesse. Il ne suffit plus de « documenter », mais comme le dit Z  passer aux actes !

    https://www.youtube.com/watch?v=kgLtGOb-A4Q

    Cygne Noir

    Francis-Claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Nous enseignants avec Zemmour

    Nous  pensons qu'Éric Zemmour peut porter le projet d'une école de l'excellence pour tous»

    Les enseignants avec Zemmour ont lancé leur site internet www.lesprofsaveczemmour.fr .

    L'école républicaine, telle que la concevait la tradition française, a cessé d'exister. L'alliance des libéraux de droite et des libertaires de gauche, comme l'écrivait Éric Zemmour dans son Suicide français, aura eu sa peau. Il suffit pour s'en convaincre d'écouter les airs qu'on fredonne avec contentement au ministère de Jean-Michel Blanquer : autonomie des établissements, discrimination positive, inclusivité, et même multiculturalisme...

    L'essor des établissements privés – à qui l'on ne reprochera pas d'avoir voulu préserver une forme d'excellence au milieu du marasme général – dit bien en revanche que cette nouvelle école est avant tout une école de la relégation sociale, du renoncement à la transmission et de l'idéologie post-républicaine, mélange de catéchisme victimaire et de propagande progressiste. En attendant que la vague woke et sa cancel culture, venue d'outre-Atlantique avec ses bâillons et ses autodafés virtuels, emporte ce qui reste...

    L'école française avait pourtant été le lieu d'une promesse, incarnée au début du siècle dernier par ces instituteurs que Charles Péguy nommait les «hussards noirs», jeunes soldats de la République dont l'écrivain jugeait le combat digne de ceux de la Grande Armée : instruire le peuple, permettre aux plus méritants de s'élever, et surtout, faire aimer la France. Les murs mêmes de cette école matérialisaient un espace sacré qui aurait dû, pour reprendre les mots de Jean Zay, ministre de l'Éducation nationale en 1936, «rester l'asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas».

    Il y a de quoi écarquiller les yeux lorsque l'on songe que, l'année dernière, en France, notre collègue Samuel Paty a été décapité pour blasphème à la sortie de son collège. Lui était resté fidèle à cet esprit des Lumières qu'on s'empresse sans cesse d'invoquer, surtout contre le christianisme et l'héritage catholique de la France, pour l'oublier aussitôt face à l'obscurantisme islamique qui interdit à une partie de nos élèves de s'assimiler à notre communauté nationale et à notre imaginaire républicain. Les hussards d'aujourd'hui ne portent plus l'habit noir, mais sont en deuil.

    Quel professeur n'est pas dépité par la faiblesse du niveau de ses élèves ? Les scores soviétiques du brevet et du baccalauréat, véritables mensonges d'État, ne changent rien à ce que chacun constate dans ses classes et que toutes les études internationales confirment : nous avons décroché, complètement, et le niveau de maîtrise des savoirs fondamentaux s'est effondré. Où sont donc à présent les universitaires bien-pensants qui, à travers des publications aux titres galiléens, comme «Et pourtant ils lisent !» ou bien «Le Niveau monte», renvoyaient l'expérience douloureuse de milliers d'enseignants à une forme d'obscure myopie réactionnaire ?

    Quel professeur n'a pas subi l'inanité des innovations pédagogiques ? Elles devaient mettre l'élève au centre de l'école afin qu'il façonne lui-même son savoir : il façonne très bien lui-même son ignorance, tandis que l'enseignant joue le rôle d'animateur scolaire. L'abandon, par dogmatisme, de la méthode syllabique dans l'apprentissage de la lecture, ou de l'enseignement explicite de la grammaire, a également contribué à l'émergence d'un nouvel illettrisme. Les copies, même celles des élèves censés être les meilleurs, à l'université ou en classe préparatoire, en portent les stigmates. Comme le résume Éric Zemmour, on a troqué nos méthodes traditionnelles, qui font aujourd'hui le succès du système éducatif des pays asiatiques, contre des chimères qui nous condamnent au déclassement.

    Quel professeur n'a pas constaté, dans sa pratique, les échecs désastreux du collège unique ? Qui ignore encore que l'hétérogénéité des classes est telle que la différence de niveau conduit automatiquement au nivellement vers le bas ? Ou qu'un seul élève peut empêcher le cours de se dérouler, l'exclusion étant quasiment interdite ? Là encore, on sacrifie la réalité aux principes par égalitarisme, alors qu'une approche pragmatique des parcours permettrait de ne plus faire subir à ces élèves une scolarité pour laquelle ils ne sont pas adaptés et qu'ils font payer à leurs camarades et à leur enseignant.

    Quel professeur enfin n'est pas révolté par le délitement du cadre scolaire et l'explosion de la violence dans les établissements ? Qui n'a pas été témoin de l'impuissance des directions face à la judiciarisation des conseils de discipline et à l'injonction constante du « pas de vagues » des circulaires rectorales ? Rappelons une évidence : une atmosphère studieuse et apaisée est la condition sine qua non de la réussite de nos élèves, en particulier des plus faibles.

    C'est pourquoi nous en appelons à la conscience professionnelle de tous les acteurs de notre école, de tous nos collègues qui sont scandalisés par cet état de fait, et ne s'y résignent pas.
    Nous, instituteurs, professeurs du secondaire et du supérieur, assistants d'éducation, PsyEN, CPE, chefs d'établissement, appelons de nos vœux une grande réforme de l'Éducation nationale fondée sur le mérite, l'excellence, et l'autorité. Nous croyons que l'élection présidentielle de 2022 est une occasion décisive pour la mettre en œuvre. Éric Zemmour a eu le courage, ces vingt dernières années, malgré les aveuglements et les dénis, de dénoncer publiquement ce que nous dénonçons ici ; il semble bien être le seul ayant la capacité et la volonté d'incarner cette politique et de la mettre en œuvre.
    Nous portons le projet d'une école de l'excellence pour tous, en fonction des capacités et de la singularité de chacun. Le rétablissement de l'exigence et de l'autorité, dans les filières générales comme dans les filières professionnelles, en est la première condition : aucun élève doué ou méritant ne doit plus craindre de s'engager dans la voie qui lui convient.

    Nous appelons l'ensemble de nos collègues, et plus largement encore tous ceux qui n'ont pas renoncé à la grandeur intellectuelle de la France et de ses élites, au prestige de ses métiers, et à l'école républicaine qui en est la matrice, à s'investir dans la campagne pour une candidature d'Éric Zemmour, et à porter celui-ci jusqu'à la victoire.

    Tribune Portée par Pierre Miscevic, Professeur de lettres classiques en khâgne et ex-Collectif Racine & Martial Bonnet, Professeur agrégé de lettres modernes.

    Cygne Noir

    Francis-Claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    17 01 22