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Présidentilles 2017 22 27 - Page 11

  • Campagne d’Emmanuel Macron 

    Blitzkrieg ou politique de la terre brûlée ?
    Selon son entourage, et d’après ses récentes déclarations au Parisien, le président de la République aurait « très envie de se représenter ». Cette déclaration laisse peu de suspense sur ses intentions, sur lesquelles on en apprend un peu plus.

    Selon France Info, un membre du bureau exécutif de LREM a indiqué que le candidat supposé donnerait à sa campagne la forme d’un « blitzkrieg », d’une « guerre éclair ». Blitzkrieg, le mot est lâché. Rappelons-en l’origine : pour les Allemands, la phase initiale du blitzkrieg est la coupure rapide du système défensif ennemi en un point précis, obtenue par la concentration des forces en un même lieu. C’est grâce à cette stratégie que l’Allemagne nazie prit rapidement le contrôle de presque toute l’Europe.

    En 2019, Nathalie Loiseau, tête de liste de LREM aux élections européennes, avait déjà évoqué cette expression pour relancer sa campagne. Elle avait même parlé de « blitzkrieg positif ». On avait vu le résultat…

    Pourtant, ce mot n’est pas finalement si éloigné de la réalité fantasmée d’Emmanuel Macron. Il s’est rêvé en chef de guerre. Depuis le début. Toute la panoplie a été déployée : le couvre-feu, l’état d’urgence, les Conseils de défense, les déclarations de guerre. Depuis le début de la pandémie, tout a été pensé en ces termes.

    Le chef de l’État a cru que la pandémie de Covid lui permettrait de revêtir l’armure du guerrier, prêt à fondre sur l’ennemi invisible pour le terrasser.

    Le terme « blitzkrieg » utilisé à propos de la future campagne s’inscrit dans la même logique. Il place le futur candidat Macron dans l’axe de sa politique vaccinale : divide et impera
    (« diviser pour mieux régner »).

    Car ne nous trompons pas sur l’ennemi. Ses récentes déclarations ont donné le ton. La campagne sera centrée sur la pandémie, certes, mais non pas pour s’enorgueillir de ses victoires (il n’y en a pas), plutôt pour en désigner les responsables : les citoyens récalcitrants. Tel sera l’axe annoncé du blitzkrieg : les non-vax. Ceux qu’il juge « irresponsables », qui à ses yeux ne sont plus dignes de la citoyenneté et qu’il n’hésite plus à jeter à la vindicte populaire.

    Passons la forme, les discours, les déclarations d’intention : que reste-t-il, concrètement ?

    Une population fracturée, des citoyens rejetés par tous moyens possibles hors de la sphère sociale, citoyens qui paient pourtant leurs impôts et cotisations sociales mais sont privés d’une partie de leurs droits fondamentaux et que l’on soigne parce qu’on le veut bien.

    Aujourd’hui, et malgré le fiasco de plus en plus évident d’une politique du tout vaccination, de la prise en otage des libertés individuelles, Emmanuel Macron continue sur sa logique jusqu’au-boutiste. Et cela ressemble à une stratégie de la terre brûlée.

    Sabine Faivre

    https://www.bvoltaire.fr/campagne-demmanuel-macron-blitzkrieg-ou-politique-de-la-terre-brulee/

     

  • Passe vaccinal.

    Le Pen et Zemmour déterrent la hache de guerre et proposent autre chose

    Il faut remarquer que seuls les présidentiables traités de « populistes  » comme Marine Le Pen, Eric Zemmour, Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan et Asselineau dénoncent ces mesures ineptes antisociales, anti démocratiques mais sans effet sanitaire. Si j’en oublie qu’ils veulent bien m’en excuser. Quant à Madame Pécresse elle conforte par ces propos sa similitude avec le locataire actuel

    Castex et son gouvernement ne savent que terroriser et humilier les Français pour les tenir sous leur emprise en leur imposant une « dictature sanitaire  » liberticide, inefficace et discriminatoire.
    Les prises de positions sensées des seuls Z et MLP restent notre unique espoir… en attendant que "Z" arrive au pouvoir ….

    https://www.bvoltaire.fr/passe-vaccinal-le-pen-et-zemmour-deterrent-la-hache-de-guerre-et-proposent-autre-chose/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=76597bf7b6-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-76597bf7b6-30512661&mc_cid=76597bf7b6&mc_eid=5b7919fdbc

  • Peut on "acculturer" les musulmans

    Il faut prendre garde au mot "acculturer" son sens ne signifie pas "enlever ou détruire une culture", mais au contraire, "donner" une culture minimale.

    Et c'est bien cela l'enjeu, car l'immigration massive musulmane n'a pas cette culture minimale pour s'intégrer à "notre culture" donc ne peut "s'assimiler"

    Malheureusement pour nous ce "phénomène" de défaut d'acculturation a commencé après mai 68.  Au pire moment car c'est celui ou justement l'école, virant à gauche toute, renonçait à inculquer une culture minimale aux enfants d'immigrés et dire : "leur culture vaut la notre, pas besoin donc de les acculturer, au contraire, "enrichissons nous de leurs différences". Et c'est comme çà que nous sommes passés de l'assimilation à l'intégration et de l'intégration à l'insertion.
    La prochaine étape ? Devinez ?

    Voyez vous le collège unique a été la pire des choses avec les UIFM de Bourdieu, ce sociologue qui, dans la lignée de Freud, Lacan et de l’épouvantable Françoise Dolto clamait « que la transgression était socialisante » et l'idée que l'enfant, n'était pas un "héritier" et devait fabriquer lui même son "savoir", voulant transformer le maître en coach !

    Nous avons du pain sur la planche pour rétablir une situation plus saine et, ne comptons pas sur Mr Macron ou son clone Mme Pecresse et encore moins Marine Le Pen pour y remédier.

    Seul Eric Zemmour est en capacité et veut s'en donner les moyens. Il annonce clairement que l'éducation, la socialisation et l'assimilation est une de ses priorités car il a comprit l'enjeu et qu'il en mesure l'importance .

    27 12 21

    Cygne Noir

    Francis-Claude Neri