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Régulation, contrôle, sanction - Page 124

  • 2017 "L'Election"

    L’élection du président de la république au suffrage universel.

    Le général De Gaulle, en l'inscrivant dans la Constitution en 1962, n'avait-il pas voulu en finir avec le régime tout puissant des partis ?
    Assurément, les partis continuaient de jouer leur rôle, mais dans l'esprit des réformateurs de 1962, leur jeu se trouvait raisonné, voire neutralisé par une élection qui inscrivait dans la politique nationale la prééminence de la continuité de l'Etat et du Bien commun, incarnés par un président « au-dessus des partis », sur le jeu des intérêts particuliers et des groupes de pression.
    La crise algérienne et le danger passés, le général redevient le simple porte-parole d'une majorité politique, voire politicienne.
    La médiocrité croissante de ses successeurs atteste à quel point le président de la république n'est que le chef d'un clan et, entre l'ambition personnelle du candidat et l'intérêt du ou des partis - et des lobbies, souvent étrangers - qui le soutiennent, s'instaure une dialectique savante, où chacun doit trouver son compte, le peuple français étant le grand perdant d'un régime qui non seulement demeure, mais réussit le tour de force d'être chaque jour davantage à la fois celui des partis et de l'étranger - la soumission à l'ordre européen allant aujourd'hui de pair avec une politique migratoire visant à la dissolution du peuple français.
    La réduction à cinq ans du mandat présidentiel n'aura fait qu'aggraver les défauts de ce qui n'est plus le dialogue d'un homme avec ses concitoyens.
    Avec François Hollande nous avons vu que même avec tous les pouvoirs à sa disposition un Président peut n’être qu’un pantin aux mains des multinationales et des banques.
    Le spectacle offert par la classe politique depuis le second tour des régionales, qui ont lancé la campagne pour 2017, est, de ce point de vue, aussi révélateur qu'affligeant.
    La généralisation des primaires montre combien le candidat est devenu l'homme d'un parti et ne cherche plus à se revendiquer l'homme de la nation.
    La question qui se pose alors est la suivante : faut il changer de système ou nettoyer au karcher celui de la cinquième et lui redonner son sens original ?

    Francis NERI
    08 02 16

  • Etat des lieux

    La population (en France) vit relativement bien, et suffisamment pour que tout le tiers monde soit tenté de venir la rejoindre. Je ne vois d'écrasement que pour les chômeurs et SDF.

    La question est de savoir si nous avons vocation à entretenir des immigrés chômeurs, et même de savoir ce qui resterait du chômage si nous ne gardions pas en France les personnes qui affirment de façon tapageuse ne pas se reconnaître dans ses valeurs fondamentales.

    Au fond, nous ne sommes peut-être face qu'à un problème de casting : que chacun aille vivre dans les pays qui correspondent à ses choix fondamentaux ou s'aligne sur ceux décidés par le pays dans lequel il se trouve, comme il sied à toute minorité. Surtout de moins de 15%.

    De toute façon, l'urgence des urgences et d'arrêter de verser des allocations familiales au-delà du deuxième enfant indispensable au renouvellement des générations. Nous n'avons aucun besoin d'avoir plus de 55 millions d'habitants pour 55 millions d'hectares. Et nous vivions d'ailleurs bien mieux quand nous n'étions que 55 millions. Voire 50.

    Quant à donner une prime politique au lapinage, c'est tout sauf une bonne idée, surtout là où les populations ayant le plus d'enfants se trouvent être aussi celles où les QI sont les plus bas.

    François Paganel
    21 01 15

  • Sarkozy

    Il veut « rebondir » et revenir aux commandes du pays. Pour quelles raisons ?

    A mon avis il ne peut plus faire autrement que de jouer le jeu de ses maitres. C'est un peu comme certains de ces avocats de talent qui flirtent d'un peu trop prêt avec la mafia qui les couvrent de "bienfaits" et dont ils sont redevables et doivent exécuter leurs basses œuvres
    Ce n'est plus qu'un pion au service de la Triplice : un certain islam, un certain libéralisme et une certaine gauche.

    Triplice qui à l'instar d'un moteur Brownien fonctionne en récupérant l'énergie désordonnée de la matière pour créer un mouvement ordonné ...bref tirer du chaos que ces trois éléments provoquent un "ordre" à leur avantage.

    Et pas besoin du N.O.M pour fonctionner en cohérence. Chacun de ces trois éléments est simplement « allié objectif et de circonstance avec les deux autres »

    Notre réponse devrait être non pas de détruire la triplice...c'est devenu impossible, mais d'introduire une multitude de grains de sable dans leur machinerie et de les bloquer.
    En "bloquant" l'élément Sarkozy on introduit une perturbation
     
    dans leur « système global »

    Nous pouvons dire aussi "Qu'il faut éliminer du système (du pouvoir) TOUS ceux qui s'y IDENTIFIENT" Il y a du travail, mais c'est la seule façon de s'en sortir !

    Francis NERI
    13 01 16