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Réseaux - Page 3

  • Ukraine le vrai responsable !

    Ukraine le vrai responsable !

    Merci Christian Vanneste pour ce second post sur la raison du fou

    https://www.christianvanneste.fr/2022/03/05/la-raison-du-fou-ii/#comment-138241

    Oui notre Président découvre le “retour brutal du tragique dans l’histoire”, comme si l’histoire, en dehors de la bulle occidentale, n’était pas demeurée tragique dans le reste du monde, comme si les guerres de Yougoslavie, puis le terrorisme islamiste n’avaient pas depuis longtemps ramené le tragique au cœur de notre civilisation.

    Le président américain, le triste Biden, le vrai responsable de la crise actuelle par un mélange de stéréotypes et d’incompétence, lui, c’est la géographie qu’il ignore en confondant l’Ukraine et l’Iran ! La démence sénile imbibée d’idéologie n’est-elle pas finalement plus dangereuse qu’un patriotisme jugé paranoïaque par l’oligarchie du “Nouveau Monde” ?

    C’est Zelensky et son non- respect des accords de Minsk qui a déclenché cette guerre. Biden et les démocrates US et l’Otan sont anti Russes et Poutine le sait.

    Quand à Macron président de la République Français il utilise la guerre en Ukraine à des fins politique.

    Dans une lettre aux citoyens du monde, Poutine nous explique la situation et donne les raisons de son action

    https://nouvelledafrique.com/2022/03/03/voici-la-lettre-de-poutine-aux-citoyens-du-monde-pour-expliquer-la-situation

  • État de droit dernière victime du COVID

    « Un irresponsable n’est plus un citoyen ». Dans son interview au Parisien, le Président a ainsi institué une nouvelle forme de sanction : la déchéance de citoyenneté pour les Français non-vaccinés. Celle-ci ne sera pas pénale mais sociale, elle fera de vous le bouc-émissaire confortable d’une société hypocondriaque et hygiéniste, elle autorisera les journalistes et responsables politiques à vous insulter et à vous traiter de criminel en puissance, elle permettra que vous soyez privé de salaire, interdit de transports ou de moments conviviaux dans des bars ou restaurants. Elle permettra d’éviter soigneusement toute recherche de responsabilités sur les choix politiques qui ont conduit l’hôpital public à la saturation et au délitement.

    La situation est d’autant plus ironique que ce même Emmanuel Macron balayait d’un revers de main le recours à la déchéance de nationalité pour les terroristes islamistes. « J’ai, à titre personnel, un inconfort philosophique avec la place (que ce débat) a pris, parce que je pense qu’on ne traite pas le mal en l’expulsant de la communauté nationale » disait-il à l’époque. Chacun appréciera la délicatesse philosophique dont le chef de l’État fait preuve à l’égard des islamistes et dont il ne s’encombre pas en l’espèce.

    « Emmerder » les Français, telle est donc la « stratégie » revendiquée du Président qui fait craindre demain l’interdiction pour les nouveaux parias d’accéder aux bureaux de vote. Une inquiétude qui n’a rien d’un fantasme puisque l’amendement prévoyant d’écarter cette hypothèse fut rejeté par le gouvernement lors des débats parlementaires.

    Derrière les débats animés sur la pertinence de telle ou telle mesure sanitaire, un mal plus profond et durable devrait nous interpeller : la mort à pas feutré de l’État de droit, apanage de ce qu’on appelle classiquement la « démocratie libérale ».

    Tous ceux si prompts à brandir l’État de droit comme étendard moral face aux gouvernements polonais et hongrois semblent volontiers s’accommoder de son évanouissement en France. Et si le Président du Conseil constitutionnel, Laurent Fabius, s’est ému récemment de sa remise en cause, ce n’est pas en raison de la crise sanitaire, mais du débat présidentiel lancé par certains candidats sur les dérives antidémocratiques du gouvernement des juges…

    Si ce risque de glissement existe bel et bien, l’État de droit a néanmoins quelques vertus quand il s’agit de protéger le citoyen de l’arbitraire. Il peut se définir comme un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise en droit. Autrement dit, dans ce type de régime, le pouvoir politique est soumis au juge, censé être le garant du respect de la hiérarchie des normes et, de ce fait, des libertés publiques et individuelles face aux éventuels abus du gouvernement. Pour fonctionner, ce système implique l’égalité des sujets de droit, la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice.

    Autant de notions mises à mal durant cette période d’état d’urgence sanitaire, devenu permanent depuis deux ans, qui suspend le fonctionnement normal de nos institutions et permet au pouvoir de restreindre des droits et libertés fondamentales telles que la liberté de circuler, de travailler, de commerce et d’industrie, l’inviolabilité du corps humain, le droit au respect de la vie privée ou même le droit à l’éducation puisque dorénavant Jean-Michel Blanquer conditionne l’accès à l’école des enfants cas contacts à trois tests négatifs! Nous savions depuis longtemps qu’en France la séparation des pouvoirs entre exécutif et législatif est un artifice ; rien de surprenant donc à ce que l’Assemblée reste la chambre d’enregistrement servile de l’Élysée, mais, que reste-t-il de cet État de droit quand les juges valident sans sourciller toutes les décisions ou presque de l’exécutif par le biais de contorsions juridiques et intellectuelles surprenantes ?

    Les avis contradictoires du Conseil d’État sont particulièrement révélateurs de ce basculement. Dans son dernier avis en date du 22 décembre, la Cour suprême validait le passe vaccinal, les mesures de contention et d’isolement sur décision des autorités préfectorales, la limitation des rassemblements, le contrôle des pièces d’identité par des personnes non assermentées, etc. Cet avis intervenait pourtant après la déclaration d’Olivier Veran du 18 décembre assumant publiquement que le passage du passe sanitaire au passe vaccinal est une « forme déguisée d’obligation vaccinale ». Or, le Conseil d’État avait explicitement demandé dans un avis précédent à ce que le passe sanitaire ne serve pas d’outil d’incitation à la vaccination. Un tel parjure confirme que ces juges n’assurent plus la protection des libertés démocratiques et pose de sérieux doutes sur leur indépendance.

    De la même façon, le Conseil constitutionnel pourtant s’y prompt à lier abusivement les mains de l’Assemblée, notamment lorsqu’il s’agit de favoriser l’immigration, fut particulièrement timoré sur le sujet, s’en remettant le plus souvent à l’appréciation du législateur. Dans une décision de 2021, le Conseil constitutionnel considérait que le passe sanitaire permettait une conciliation équilibrée entre les exigences constitutionnelles du fait notamment de son application limitée dans le temps. L’on peut donc s’étonner que le Conseil ne trouve rien à redire suite à la déclaration de Jean Castex précisant qu’il n’était « pas prévu de limiter dans le temps le passe vaccinal ».

    Le fervent européen Emmanuel Macron, qui n’hésite pas à faire remplacer le drapeau français par le drapeau de l’UE au-dessus de la tombe de notre soldat inconnu, ne semble pas davantage se soucier de violer la résolution 2361 du Parlement européen, en particulier les engagements 7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas avoir à se faire vacciner, et 7.3.1 «  de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement. » Là encore les conséquences se font attendre.

    Si Emmanuel Macron a jeté son dévolu sur Machiavel comme sujet d’étude lors de son DEA de philosophie, il semble manifestement être passé à côté de Tocqueville, Constant et Kelsen.

    Le Covid aura donc fait une dernière victime et non des moindres : ci-gît l’État de droit.

    Marion Maréchal
    7 janvier 2022

     

  • Et si c'était la raison ?

    J'ai assisté à la deuxième conférence d'Éric Zemmour à Nice alors qu'il n'était pas candidat : déjà sa candidature était inéluctable bien qu'il n'eut pas encore prit la stature d'un Président mais il nous donnait déjà le frisson. 

    J'ai suivi son meeting de Villepinte, le fameux meeting qui en a surpris plus d'un,  jusqu'à son ami de toujours, Philippe de Villiers, absent ce jour-là !
    Ce dernier a reconnu, quelques semaines plus tard, que ce rassemblement autour d'Eric Zemmour, sa fougue, sa verve et sa déclaration d'amour publique à cette France qu'il chérit tant lui-même, l'ont convaincu de l'accompagner tout au long de ce parcours périlleux que représente une campagne électorale, pire... une élection présidentielle !

    Eric Zemmour a tant à y perdre...

    Au meeting de Cannes auquel j'ai réussi à me fondre au milieu d'une foule de plus en plus enthousiaste, de plus en plus présente (plus d'un kilomètre de file d'attente : impressionnant !), Eric Zemmour avait décidément enfilé un costume de Président. En plus des frissons, j'en avais les larmes aux yeux...

    Aujourd'hui, j'ai assisté devant mon écran de télévision, au meeting de Lille, avec l'angoisse de voir une salle à moitié pleine (des amis lillois m'ayant annoncé qu'ils avaient dû renoncer à se présenter au Palais des Congrès car des axes routiers étaient bloqués par les manifestants !).

    Fort heureusement, nous avons eu la satisfaction de suivre ce meeting qui, une nouvelle fois, nous a convaincus  de notre choix, renouvelant nos émotions partagées par bon nombre d'entre nous. 

    Suite à cette diffusion sur Youtube, j'ai été prise par la curiosité d'écouter le meeting de Marine Le Pen de Reims, retransmis successivement. 

    Étais-je encore sous l'émotion de tout ce que je venais d'assimiler durant le discours d'Eric Zemmour ? E.Z. a-t-il communiqué  ses notes à Marine Le Pen ??

    J'ai eu l'impression d'entendre un "copié-collé", à quelques idées ou expressions près, de ce que je venais d'entendre juste auparavant !!

    Ce serait tellement simple, tellement plus républicain que MLP se rallie à E.Z. : ils sont tellement sur la même ligne ! Il est tellement plus puissant qu'elle !

    Alors il m'est venu une réflexion...

    Et si les sondages maintenaient Marine Le Pen au-dessus d'Eric Zemmour justement pour éviter ce ralliement ??

    Là encore, le gouvernement, aidé par ses médias corrompus, est le maître d'œuvre de cette zizanie qui règne entre les partis. 

    "Ils" divisent encore et toujours pour mieux régner et atteindre leurs buts machiavéliques.

    C'est certain, je voterai pour Notre candidat :   "ERIC ZEMMOUR"  parce qu'il le vaut bien et que  "TOUT EST POSSIBLE" !

    Nicole Held
    06 2 22

    nicole.held@neuf.fr

    https://lalettrepatriote.com/enorme-meeting-deric-zemmour-a-lille/