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brexit

  • Le Frexit vite !

    Avec l’affaire Le Pen et les très nombrables affaires mises à jour sur l’UE, beaucoup de personnes s’interrogent au sujet du Frexit que nous défendons.
    Certains contradicteurs (trolls ou soumis) nous renvoient sur « l’échec » du Brexit.
    Si tout n’est pas parfait, voilà toutefois quelques données à retenir.
    Le Brexit, voté par référendum en 2016 et effectif depuis le 31 janvier 2020, peut être considéré comme une vraie réussite pour les Britanniques sous plusieurs angles.
    Tout d’abord, il a permis au Royaume-Uni de retrouver une souveraineté pleine et entière, notamment en matière législative et commerciale. Libéré des contraintes de l’Union européenne, le pays a désormais la capacité de négocier ses propres accords commerciaux, comme ceux conclus avec l’Australie, le Japon ou encore les États-Unis, adaptés à ses besoins spécifiques.
    Cette autonomie redonne aux Britanniques un contrôle direct sur leurs frontières, leurs lois et leur économie, répondant ainsi à une aspiration profonde exprimée lors du vote.
    Ensuite, le Brexit a stimulé une forme de résilience économique. Malgré les prédictions alarmistes d’un effondrement post-Brexit, le Royaume-Uni a maintenu une croissance économique compétitive et reste une destination attractive pour les investissements étrangers.
    La City de Londres, par exemple, continue d’être un centre financier mondial, s’adaptant aux nouvelles réalités hors de l’UE.
    De plus, la sortie de l’Union a permis au gouvernement britannique de réorienter ses priorités, en investissant dans des secteurs clés comme la technologie et l’innovation, libéré des régulations parfois perçues comme étouffantes par Bruxelles.
    Enfin, sur le plan politique et identitaire, le Brexit a renforcé le sentiment d’indépendance nationale. Les Britanniques ont repris en main leur destin, loin d’une bureaucratie européenne souvent critiquée pour son éloignement des citoyens.
    Si des défis subsistent, notamment en Irlande du Nord ou dans les relations avec l’Écosse, le Brexit incarne pour beaucoup une victoire de la démocratie directe et une affirmation de l’identité britannique.
    En somme, cette rupture avec l’UE peut être vue comme une réussite, car elle a redonné au Royaume-Uni les leviers pour façonner son avenir selon ses propres termes.
    Serions nous plus stupides que nos bons voisins ?

    07 04 25
    Christian Blanchon

  • Brexit

    Voici ce qu’écrit dans les « dernières nouvelles d’Alsace » un « journaliste bien-pensant » Pascal COQIS dans son « éditorial » concernant le brexit :

    « Comme le dit Michel Barnier, l’un des négociateurs de l’Europe, « on n’a pas besoin de plus de temps, on a besoin d’une décision. »

    « Chacun sachant que la seule qui réglerait tout une bonne fois pour toutes serait un nouveau référendum avec, cette fois, des électeurs votant en toute conscience et toute connaissance de cause. On n’y est pas encore, mais on s’en approche un peu plus chaque jour. L’Angleterre de 2019 n’est plus celle qui, en 2016, votait pour la sortie de l’union. Le pays a changé, son avenir aussi. ».

    Et voilà ! Les Anglais ont mal voté …il faut recommencer …çà ne vous rappelle rien ? Voyez Sarkozy …c’est y pas de la démocratie çà ? Du peuple souverain qui vote mal ?

    Changeons donc de peuple !

    Francis-claude Neri
    01 03 19

  • Alain Minc Brexit

    "Ce référendum n'est pas la victoire des peuples sur les élites, mais des gens peu formés sur les gens éduqués".

    C'est pourtant a peu prés çà ...sauf que c'est l'inverse, le Brexit c'est ENFIN la victoire de ceux qui ont pris la peine de se former et qui ne se laissent plus manipuler.

    Francis Neri

    Qu’ils sortent comme ça si ça marche pour eux on demande à sortir aussi

    Driss Nassia Bouhlal

    Même si "çà marchait" pour eux, certains trouveraient que de toute façon çà ne marcherait pas pour nous ...à l'exemple de la Suisse et de ses référendums qui sont possibles pour eux mais pas pour nous, ou encore l'Allemagne qui peut réussir économiquement et pas nous.
    Ils ont la peur au ventre alors ne cédons pas et sortons de cet "enfer..mement" au plus vite

    Francis Neri

    Depuis 40 ans environ, les « gens » ne sont plus ni formés à penser, ni éduqués, ni socialisés et si ils ne suivent pas fidèlement les instructions du pouvoir ils ne sont pas « intelligents » au dire des « Zélites »

    Et pourtant !

    L'intelligence ne dépend pas de la génétique, car nous n'utilisons en moyenne que 10% de nos capacités cérébrales. Ce qui compte, c'est notre aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit.

    L'important est la façon dont nous traitons et organisons les informations, dont nous interprétons nos expériences, et plus globalement, la façon dont nous nous représentons la réalité.

    Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"...

    Penser par soi-même
    Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques. Faites usage de votre libre-arbitre et de votre discernement. Posez-vous toujours la question de savoir ce que VOUS pensez, en fonction de votre vision et de ce que vous ressentez réellement. Tout en étant simultanément ouvert et tolérant vis à vis des autres visions ou perceptions.

    Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Fonctionnellement, ce n'est qu'un "récipient".

    Ecouter son intuition
    L'hémisphère droit du cerveau possède des capacités intuitives qui sont complémentaires de l'intelligence rationnelle du cerveau gauche.

    L'intuition résulte des synthèses d'informations qui s'effectuent de manière inconsciente dans le cerveau droit qui travaille de façon analogique et intuitive, tandis que le cerveau gauche travaille selon un mode logique et rationnel. Ces synthèses d'information intègrent l'ensemble des informations que nous enregistrons dans notre mémoire, y compris les perceptions que nous n'avons pas conscience de mémoriser mais qui sont malgré tout enregistrées par l'inconscient.

    Passer du noir et blanc à la couleur
    Beaucoup de personnes pensent en noir et blanc, c'est à dire de façon binaire: bien ou mal, vrai ou faux, 1 ou 0. Les conséquences du mode de pensée binaire sont le dualisme, l'absence de nuances, l'intolérance, et finalement la violence et les guerres.

    Un progrès réalisé par de plus en plus de personnes consiste à penser en "niveaux de gris", c'est à dire à distinguer des nuances entre les opposés. Des nuances de gris apparaissent alors entre le noir et le blanc. Cela permet à la réflexion de devenir un peu plus subtile, et aussi, un peu plus proche de la vérité.

    Mais l'idéal est de parvenir à voir la réalité EN COULEUR.

    Il ne reste plus ensuite qu'à augmenter la précision de notre représentation de la réalité (la "résolution" de l'image), afin de percevoir le monde avec toutes ses nuances, sa complexité, et sa beauté.

    Pour faire plus simple et porter sur les évènements SON regard et SA main, invitons nos amis à :

    S’élever pour mieux voir, c’est à dire prendre du recul par rapport à l’événement observé, Relier  (les évènements entre eux) pour mieux comprendre les « causes » (passé, présent, contexte etc. )
    Situer (l’importance, la place de l’événement, l’influence qu’il va avoir) pour mieux agir sur les causalités et faire de la prospective.

    La méthode devrait nous permettre de savoir VRAIMENT pour quoi, pour qui, comment nous devons voter en 17 !

    Francis NERI

    29 06 16