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Le systémicien - Page 212

  • Macron ennemi de la nation

    La notion de bien et de mal est un non sens ...çà n'existe que dans la tête de ceux qui disent ceci EST bien, ceci EST mal.
    La guerre est la poursuite de la politique par un autre moyen; et en guerre il n'y a pas de notion de bien ou de mal ...on la fait où on ne la fait pas.
    Macron est un danger pour la France car lui parle de crime contre l'humanité; ce petit imbécile ne sait pas ce qu'il dit.
    J'ai fait 28 mois en Algérie et je SAIS ce qu'il s'y est passé, si il y a crime contre l'humanité c'est bien les Musulmans qui s'y sont livrés en massacrant les leurs qui ne voulaient pas se ranger de leur coté ...d'où les Harkis.
    Et que l'on ne me parle pas de guerre d'indépendance pour un motif "social" ou « économique », ou de « discrimination ».
    Ce sont les islamistes qui étaient derrière; et Ben Bella cet espèce d'idiot utile des islamistes s'en est vite rendu compte quand ces Islamistes ont pris le pouvoir avec Boumediene.
    Nous n'avons de cadeaux à faire à personne et surtout pas aux Algériens.

    Que ceux qui sont chez nous, y compris leurs enfants, comme des coqs en pâte se méfient, s’ils continuent dans cette voie, nous allons leur raconter comme on fait sa valise pour éviter le cercueil, Français de papier compris !

    Francis-claude Neri

    19 02 17

  • La démographie est le problème

    La question énergétique en découle, ainsi que la survie de l’espèce. 

    Oui Suzanne Deregnaucourt  le charbon ...pourquoi pas. La question voyez vous autour de laquelle nous tournons sans cesse c'est celui de la démographie.

    Dans leur grande sagesse, les peuples européens et plus largement Occidentaux ont fini par intégrer l'idée qu'il fallait faire moins d'enfants, en fonction de leurs moyens, en responsabilité, mais de meilleure qualité ...
    Mais  patatras çà ne faisait pas l'affaire des multinationales, des Bouygues et autres Monsanto.
    Cela ne faisait pas l'affaire non plus de l''Église hostile à la régulation des naissances, pas plus que celle des multi-culturalistes de gauche et repentants. Pas plus que celle des bobos de gauche comme de droite pour qui l’appariement sélectif devenait un impératif.
    Les classes dites moyennes rejoignent lentement la lie du nouveau peuple importé et elles comprennent enfin qu’elles vont être sacrifiées.
    Alors nous sommes dans le pétrin, dans un trou noir, une spirale infernale qui nous conduit tout droit vers un affrontement sanglant du genre nord /sud généralisé...
    Déjà aux mouvements migratoires d'ordre économique et en raison des guerres s'ajoutent les migrations pour cause de réchauffement planétaire et en raison de l'épuisement des sols en Afrique.
    C'est la raison de ma plus grande inquiétude, car pour résoudre CE problème, il va surement falloir limiter de manière autoritaire les naissances, en Afrique en particulier.
    Et les mâles Africains n’ont pas l’intention de prendre des préservatifs pour honorer leurs dames souvent multiples.
    En inde par exemple c'est déjà commencé, en Chine çà l'est toujours, même si dans certaines conditions ils autorisent plus d'un enfant.
    Comme toujours les musulmans posent problèmes et particulièrement chez nous.
    C'est par là que NOUS devrions commencer


    Alors donnons-nous une chance : élisons Marine en mai 17 !

    Francis-claude Neri
    17 02 17

     

  • Crise structurelle

    Pour ma part, je ne considère pas, comme beaucoup le pensent, qu'il s’agisse d'une crise de régime mais d’une crise "systémique" et structurelle, qui touche en cohérence, en concordance, un certain nombre de secteurs dit "en crise" dont les courbes se croisent et qui « rétroagissent » entre eux.
    A commencer par le visible c'est à dire la finance, l'économie, la production et l'affectation des "richesses" pour faire court. Et en cause des causes les questions culturelles, identitaires, cultuelles, écologiques etc.
    Le "reste" c'est la question de nos élites et de leurs pratiques. Il n'y en a pas une pour en racheter l'autre ; alors on voit les risques politiques et stratégiques se multiplier sans qu’ils lèvent le petit doigt pour y remédier.  Ils ne pensent qu’à leurs prébendes et à piller ce qu’il reste de la France.
    Une partie du peuple exacerbé et en rage estime qu’il faudrait en guillotiner quelques uns  pour servir d'exemple et mettre au cachot le reste.
    Certain réclament un  De Gaulle comme un sauveur. Ce qui ne nous avance pas à grand chose sinon comme référence. Le contexte est si différent et, depuis 60 ans le système nous avait accoutumé à une gouvernance apaisée démocratique, libertaire, au libre échange, à une répartition des richesses acceptable pour le plus grand nombre grâce à la croissance, c’est fini et depuis un bon moment.
    Depuis le premier choc pétrolier de 73 la donne à changée ...pour ce qui nous concerne nous ne l'avons pas encore intégré dans nos attitudes et nos comportements.

    La démocratie, la liberté d'entreprendre, le marché et le libre échange ont besoin d’un Etat fort pour les protéger, les réguler, les contrôler et en permanence remédier aux écarts.
    C’est cet Etat dont nous avons besoin et il me semble que seule Marine le Pen est en mesure d’en « reconstruire » un. 

     

    Francis-claude Neri

    15 02 17