« Il y a trois sortes de violence.
La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Helder Camara
Il est bien gentil Helder mais ne faut pas oublier une chose, la violence institutionnelle EST légitime. Nous avons élus des individus, de gauche comme de droite, qui depuis au moins mai 68 font des lois que la police, la justice et l’armée doivent faire respecter, même si elles sont contraires aux aspirations et aux intérêts du peuple
Depuis trop longtemps, nous élisons des gens qui sont pour une grande partie des mafiosi uniquement intéressés par le fric et leur carrière.
Et ils utilisent les outils à leur disposition pour nous faire marcher au pas tout en nous vendant une mauvaise soupe qu’ils nous forcent à avaler.
Alors arrêtons de pleurnicher sur notre sort et au lieu de faire des phrases DEBARASSONS nous d’eux !
Commençons à partir du 6 décembre c’est le moment ! ALLONS VOTER …et changeons les têtes avant que certains les fassent tomber.
Et dans le contexte actuel, ici et maintenant, seul le F.N. est en situation pour le faire.
C’est çà ou la révolution ET la guerre civile !
Francis NERI
04 12 15