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rechauffement climatique

  • Urgence climatique

    L’urgence climatique, la réalité des écosystèmes saturés, commence à éclairer les esprits mais le besoin d’une action puissante, cohérente, à la fois locale et globale n’est pas encore unanime.

    La pression migratoire et démographique, comme celle sur les ressources pourraient devenir telle qu’aucun pays développé ne pourra les endiguer ni les supporter.

    Nous nous bornons pour l’essentiel depuis 40 ans environ à combattre l’immigration clandestine en Europe. Nous pourrions demain être pris dans une compétition pour l’accès à des ressources alimentaires en baisse qui mettra hors de notre portée les produits de première nécessité. La compétition pourrait bien dégénérer en conflit, tant l’histoire nous montre que les guerres sont le moyen ultime de redistribution de ressources devenues trop rares.

    Le pire est il déjà inscrit ? Si non dans quelle matrice d’action devons nous alors nous inscrire ?
    Prenons bien la mesure de ce que nous allons entreprendre et, agissons.

    Maintenant !   

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

    25 09 19

  • Le néandertalien

    Une « réflexion » d’un ami concernant les « changements » en particulier démographiques actuels me fit  penser que notre époque à des résonances avec ce qui se passait il y a environ 12 000 ans ...et que les mêmes causes produisent, encore, les mêmes effets.

    Nous n’avons toujours pas assimilé l’idée que l’effet rétroagit toujours sur la cause.

    Je pense comme lui qu’il nous faut revenir à l'idée fondamentale qui dit que l'homme ne saurait penser sa liberté à la manière d'une déconstruction rageuse de la civilisation dans l'oubli de ses racines et de ses mémoires.

    Il doit consentir à un monde dont il lui appartient de poursuivre l'aménagement en sachant qu'il ne sera que de passage ...et tout ce que nous pouvons proposer ne sont que des solutions de continuité.

    Ce que ne sut faire le néandertalien ...
    Pourtant son cerveau dépassait celui du sapien-sapien (1500 CC contre 1200) Faut dire que les femelles néandertaliennes avaient un bassin plus large; la tête passait mieux !

    Bref il n’a pas su "changer"...il n'a pas supporté la fin de l'âge glaciaire et le réchauffement climatique ...durerons nous autant que lui malgré tout ? 

    Francis-claude Neri

    Durant l’ère glaciaire il n'y avait pas beaucoup de grottes accessibles. La plupart étaient sous le permafrost...Il faisait froid, mais il pleuvait peu et le soleil était éclatant, cela devait être suffisant.
    Le Néandertal avait la belle vie. Il tuait son mammouth qu'il planquait sous la neige et la glace ...sous le permafrost  il suffisait de creuser un mètre de profondeur pour s'aménager un réfrigérateur naturel.
    ll savait chasser et se couvrait de peaux de bêtes, il faisait du feu.
    Avec sapien-sapien, il su cohabiter environ un millier d'années et ce n'est pas la faute de sapien s'il disparut : un météore venu de l'espace, des éruptions volcaniques, le dérèglement du gulf-stream [1]qui provoqua le réchauffement climatique et c'était bon pour lui.
    Une thèse supposait un croisement avec sapien, mais l'analyse des mitochondries à partir des restes découverts ces dernières années démontre le contraire.
    L'existence de Néandertal est liée aux conditions de l’ère glaciaire. Lorsque cette ère toucha à sa fin, la disparition des gros mammifères scella aussi le destin de l'homme de Neandertal !

    Francis-claude Neri

    17 09 19

    L'unité de base de la société humaine est indubitablement la famille fondée sur le couple et non pas le groupe de femelles (voire de mâles) comme chez les singes anthropoïdes ou chez les lions qui seraient les "modèles" de l'organisation collective de l'homme.
    Le principe de base de la "horde" humaine c'est la coopération, pas la réponse individuelle. Cette coopération s’établit à partir du couple mâle et femelle.
    C'est cette "organisation" de base, cette "cellule" , ce binôme qui depuis l'homme primitif constitue l'organisation collective.
    La base de ce fonctionnement est le "contrat" entre les sexes; la loi non écrite selon laquelle l'homme apporte une grande part de la nourriture dont la femme a besoin et vice versa.
    Cette division du travail instaure un "altruisme réciproque" dont chacun des intéressés tire un profit supérieur à ce qu'il (et elle) pourrait se procurer égoïstement et ce que ne peut procurer un couple de femelles (et encore moins de mâles).

    Quand aux enfants ....!!

    Qu'on se le dise !

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    17 09 19

     

     

    [1] https://www.youtube.com/watch?v=CIJJ4X0cv94

  • Copenhague commencement de la fin ?

     Vous connaissez à présent cette bonne vieille habitude de collecter et de relier les évènements et les ressentis qu'ils déclenchent. C'est toujours très intéressant de se référer à la sagesse populaire !

    A vous d'analyser et d'en tirer des conclusions...et puis si vous voulez commenter ...allez y !

    La notion même de gouvernance supranationale a été rejetée par tous, pauvres ou riches. Ils sont donc tous mal placés pour espérer un accord de gouvernance mondiale implicite.

    La politique des pays participants, a pris le dessus sur l'intérêt commun qu'est l'avenir de notre planète, comme toujours !

    Pourquoi croire à la sagesse des peuples dans le cadre de la mondialisation ?

    Pourquoi croire à des actions collectives dans notre monde d'individualistes ?

    Pourquoi croire dans la parole de dirigeants élus ou non?

    Pourquoi croire au Père Noël ?

    La cause réelle de l'échec des négociations n'est pas claire. A priori, les pays du Sud reprochent aux "pays riches" d'avoir fait un accord dans leur coin, de les avoir négligés dans les négociations...

    Mais on sait ce qui mène le monde...parmi les objectifs figurait l'enveloppe financière permettant aux pays "les plus vulnérables" (= pays pauvres) de faire face aux conséquences du réchauffement.

    Certains soutiennent  que les pays du sud souffrent du réchauffement climatique alors qu'ils n'ont rien demandé. Ils espèrent sincèrement que c'est par bateaux entiers qu'ils vont débarquer sur nos côtes pour pouvoir manger,

    Par bateaux entiers ? Vous plaisantez, il n'y en aura pas assez ...de bateaux... disent les autres ! Et rassurez-vous, ils remplaceront ceux d'entre eux qui auront fait naufrage... ils leur suffira de doubler le nombre d'enfants. Il faudra aussi que chacun d'entre nous en prenne une dizaine, au moins, par pièce dans son appartement.

    Allez, dormons encore en paix nous nous réveillerons quand ce sera le moment...celui où les loups entreront dans Paris...

    Ceci dit, c'est déjà beaucoup trop ces 30 milliards, puis 100 que les signataires dont la France ont décidé de donner en pure perte (sauf pour les dictateurs qui enverront l'argent en Suisse) aux pays du sud. Nous n'en avons pas le premier euro, surendetté comme nous sommes.

    Un certain nombre de pays sont donc venus à Copenhague dans l'espoir d'en repartir avec la promesse d'un chèque significatif.  Au lieu d'une réponse aux conséquences du réchauffement sur la diversité des espèces végétales endémiques et autres « balivernes », ils préfèrent sûrement une réponse précise à la question "combien pour moi ?".

    Mais les pays riches, empêtrés dans leurs déficits, leur surendettement, et leur chômage, ou simplement par expérience ... n'ont pas voulu signer un chèque en blanc : une vague enveloppe de 30 Milliards de $ sans répartition n'a pas contenté les pays adversaires du projet.

    Quand on voit les plus virulents (Vanuatu, Bolivie, Soudan...) on comprend la réticence des pays occidentaux à mettre la main à la poche: il faut commencer par balayer devant sa porte - démocratie, répartition des richesses, voire pour certains contrôle de la natalité, seront plus bénéfiques qu'un chèque dont les destinataires finaux sont plus qu'incertains.

    Du côté des Occidentaux, qu'espèrent-ils d'un sommet sur le devenir de la planète dont les protagonistes ne sont que des marionnettes aux mains de lobbies qui les dépassent ?

    Il est absolument scandaleux qu'en période de grave crise économique, alors que le déficit public explose et qu'il devra être supporté intégralement par les classes moyennes qui ne bénéficient ni d'exonérations fiscales d'un côté, ni du bouclier fiscal de l'autre, on parle de redonner encore des milliards d'euros d'aide à des pays étrangers. Ces sommes seraient bien mieux employées soit à réduire les impôts, soit à muscler le plan de relance, afin de dynamiser l'investissement et la consommation avec les conséquences positives sur l'emploi.

    Quant au réchauffement lui même, un glaçon déposé dans un verre d'eau rempli fait-il déborder l'eau en fondant ? Non parait-il ! Mais l'expérience du glaçon dans un verre plein à ras bord, tentez-là, vous verrez que l'eau déborde. Bon peut être, mais finalement à quoi ça rime cette expérience, que veut-elle prouver ?

    L'écologie est devenue une religion et la foi est de mise...après viendront le cortége annoncé des taxes et impôts qui seront tous verts et durables!!!

    Cette religion est en place pour remplacer les idéologies foireuses proposées par le XX eme siècle...et c'est en son nom que nous serons mis en coupe réglée...

    Pour l'heure, comme d'ailleurs bon nombre de climatologues, je constate la chute des températures...et j'attends non sans impatience le réchauffement, seul susceptible de me faire faire des économies d'énergie...

    A quelque chose malheur est bon!!!!!!

    C'est avec force de conviction que des extrémistes de l'écologisme hurlant à la fin du monde imminente nous ont effrayé ces dernières années. Claude Allègre et le bon sens auront-ils  raison des ayatollahs du climat mondial ? On récoltait des fraises au mois de décembre en l'an mille.... Paraît-il ! Point de camions, avions, industries. Juste retour des choses, le bon sens a la vie dure...

    Et puis je me dis que, ma foi, nous sommes peut être un peu trop nombreux sur notre bonne vieille planète ! Et si nous commencions par nous faire un peu de place ? Six milliards ce n'est déjà pas terrible, mais au delà ...bonjour les dégâts !

    D'autant plus que cette donnée, passée inaperçue et sans doute volontairement, explique partiellement la destruction de nombre d'écosystèmes : la surpopulation mondiale, qui pourrait approcher les 9 milliards en 2050.

    Une réflexion collective sur cette question taboue de la limitation des naissances, notamment dans les pays en voie de développement, serait sans doute aussi légitime que ce sommet de Copenhague qui joue à faire peur avec des données incomplètes, voir manipulées (au moins par omission).

    Décidément, ce sommet de Copenhague manque de crédibilité. Bien sûr, il est important que les pays se parlent et s'acheminent vers une autolimitation afin de préserver la planète. Mais ces grands prêtres, ces dévots et ces prosélytes, montrent surtout ce qu'est devenu "l'écologisme" : un culte sectaire, despotique et intransigeant. À écouter ses sermons, la modernité industrielle, forcément coupable, doit se soumettre au dogme de la décroissance sous peine de punition... divine ?

    L'homme n'est pas encore adulte ! Voici ce qu'il faut retenir de ce fiasco !

    Bien que je sois convaincu que l'activité humaine n'est que l'accélérateur du réchauffement, et qui y a bien d'autres façons d'en terminer avec l'humanité incapable de se réguler et de se contrôler, un peu moins de pollution aurait fait du bien à notre vieille planète, dommage ....et comme dirait Stephen KING on ne connaît pas la longueur de la corde, mais nous serons tous pendus...alors profitons en lorsqu'il est encore temps.