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communication - Page 21

  • La Grèce

    La Grèce fait face seule contre l’invasion orchestrée par le petit Sultan d’Istanbul et contre ses « alliés occidentaux » dont l’impuissance semble voulue.
    La guerre des images a recommencé. La population a empêché plusieurs embarcations d’accoster, s’en prenant aux journalistes et membres d’ONG pro-migrants dont ils semblent être complices.
    Du côté des migrants, c’est la guerre de la communication, à l’aide des smartphones qu’ils possèdent en masse. Soutenus par les ONG et les médias présents, ils filment leurs tentatives d’incursion en zone européenne en scandant des « Allahu Akhbar » hostiles.
    Dans une vidéo, on les voit exposer les quelques enfants présents à la fumée des braseros et les brutaliser afin qu’ils pleurent devant la caméra. Ils maitrisent parfaitement les éléments de communication que nos médias s’empressent de diffuser agrémentés de quelques commentaires bien sentis.

    Le camp des saints mes amis …le camp des saints ! Une fois encore l’UE démontre son impuissance à protéger le peuple Européen, son économie, son territoire, sa culture, sa mémoire, son identité …pensons y en allant voter aux municipales ; les solutions seront locales ou ne seront pas !

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/

    08 03 20

  • La France de demain !

    Il est fini le temps ou les problématiques économiques et sociales tenaient le haut du pavé, ou une large classe moyenne assurait une stabilité sociale rassurante.
    La mondialisation met notre pays à mal, la classe moyenne a perdu ses repères et se joint aux turbulents gilets jaunes manipulés par la gauche elle même en déshérence et qui est comme la droite corseté par et dans son idéologie libertaire.
    L’immigration et l’islamisation ont pris des dimensions catastrophiques, la question sociale est devenue celle des valeurs, de leur préservation, de leur redécouverte et plus vraiment celle de la lutte des classes.
    Un nouveau clivage est né, un nouveau défi à relever qui va s’organiser, dixit Zemmour,  entre les populistes nationalistes et les écologistes ; « entre ceux qui ont peur du grand remplacement et ceux qui ont peur du grand réchauffement ».

    Pour ma part je dirai qu’il s’agit de conséquences, que  les vrais défis sont ailleurs et qu’il faut suivre le processus de « causalité » ;  rechercher en amont la ou les « causes des causes ».
    Nous avons le résultat de 50 ans de lâcheté de la prétendue droite, de calculs politiciens, de naïveté, d’idéologie de gauche.

    Alors qu’elle sera la France de demain ? Certainement plus celle de la « lutte des classes » ; la France de demain est déjà là et bien installée :

    1) C’est la France des métropoles contre la France périphérique et ….
    2) La société des individus contre l’intelligence collective.

    Elle risque de perdurer AVEC ou SANS Mr Macron.

    Ces deux éléments compris pas tous – et il faut qu’ils le soient si ceux qui veulent entrer dans   l’action veulent aussi être crédibles – il faut voir la réalité en face si nous voulons la changer.

    La réalité c’est la raison en politique et l’union sur le terrain du « local » ! Les municipales sont le laboratoire de ces « listes d’union »  qui veulent partir du local pour transformer la France.
    Comme le dit Robert Menard, c’est cette méthode qui nous fera gagner des villes aujourd’hui et demain gagner pour la France.
    Et pour gagner, il faut agir en dehors des appareils, l’union se fera contre ces appareils ! Il faut démarrer par le local !

    A partir de la base il faut  prouver que nous pouvons rassembler sur quelques idées forces ; avec les partis nous n’y arriverons pas !

    La France que NOUS voulons demain commence aux municipales !

    Francis-claude Neri
    http://fr.blogspirit.com/

    26 02 20  

     

     

     

     

     

     

     

  • Municipales le plafond de verre

    Municipales le plafond de verre se fissure de partout.

    Par Francis Bergeron

    Nicolas Dupont-Aignan fut l’un des premiers à oser créer une brèche dans le plafond de verre, lors du second tour de la présidentielle. Ce plafond de verre avait été créé par la gauche, au nom, prétendait-elle, d’une certaine morale politique, pour isoler le Front national, mais aussi toute personne, tout parti, toute association, tout média, désignés par la gauche et l’extrême gauche comme infréquentables. Paradoxalement, ce plafond de verre ne concernait pas la gauche elle-même, libre de fréquenter qui elle voulait, et de mettre en place les stratégies électorales qui lui semblaient les plus appropriées pour une victoire.

    Ce plafond ne visait que la droite, sommée de ne pas s’en affranchir, de maintenir une parfaite étanchéité.

    Il vaut mieux que vous perdiez les élections plutôt que votre âme

    Et pendant des années, les caciques de la droite ont répété à l’envi cette formule stupide : « Je préfère perdre les élections que perdre mon âme. » On se souvient que Michel Noir, inconditionnel de la formule, bénéficiaire de la une du Monde pour cet acte de « résistance » (pauvre Jean Moulin ! pauvre Georges Bidault !), perdit et les élections et son âme, et sa liberté même puisqu’il finit en prison. En 2020, la droite continue à aller chercher sa stratégie dans le camp d’en face, et à demander à gauche les autorisations de fréquenter, et de s’allier. Du moins dans les états-majors parisiens et dans les grandes villes, cela marche encore ainsi. Mais dans la France profonde ou périphérique, cette approche révérencieuse est périmée. Et LR n’a plus de leviers pour se faire obéir.

    Ce que révèle la composition des listes, aux municipales, c’est au contraire la porosité de plus en plus évidente entre droite de gestion et droite de conviction. Cette porosité a toujours existé, mais elle ne jouait qu’à sens unique, de la droite hors les murs vers la droite installée. Dorénavant, le sens unique a été alterné, puisqu’en l’occurrence ce sont les élus et partisans d’une droite de gestion qui se rallient à des listes menées ou influencées par la droite de conviction : des élus et militants dits modérés s’allient au RN. Même chose chez Debout la France, au CNI, au Parti chrétien démocrate, chez les amis de Robert Ménard ou des époux Bompard. Des listes réunissant toutes les droites ou presque se constituent à Sète, Menton, Vannes, Le Mans, etc. Des maires LR se lancent dans une stratégie d’ouverture à droite, contre leur propre parti. Le Monde du 16 janvier titrait sur la commune de Lunel (Hérault) où une bonne partie du conseil municipal LR vient de rallier la candidate RN. Cette pratique concerne plutôt les villes du sud de la France, mais elle se généralise un peu partout, comme au Mans, où la liste RN conduite par Louis de Cacqueray séduit la droite locale.

    « De vraies divergences économiques, par exemple sur la retraite »

    Les structures LR qui tentent de résister à ce tropisme de leurs troupes développent un discours – sans doute concocté au siège parisien – qu’ils pensent imparable : « Sur l’immigration, l’islamisme, la sécurité, les opinions convergent. Mais entre LR et RN, il y a de vraies divergences, économiques, par exemple sur un retour à la retraite à 60 ans, selon le programme du RN. »

    Certes, c’est un clivage. Mais le problème, en l’occurrence, c’est que ce n’est pas à l’échelon de la municipalité que se règlent ces questions, l’argument est donc inopérant, plus que cela, contre-productif. Les élus locaux LR ont beau jeu de leur répondre : « Il y a six ans vous nous avez contraints à des fronts républicains contre le FN, quitte à voter pour des communistes et des mélenchonistes. Pourtant, avec ceux-là, nous n’étions d’accord sur rien, ni sur les retraites, ni sur l’immigration, la sécurité ou l’islamisme. Nous reprenons notre liberté. »

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 16 janvier 2020