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Démocratie - Page 6

  • Notre cerveau collectif

    Une organisation quel que soit son type (entreprise, école, syndicat etc ) est étroitement reliée à son environnement Une entreprise par exemple qui ne respecte pas le biotope ou le contexte socioculturel risque de s'attirer des ennuis.

    Mais le plus difficile dans le contexte actuel est d’empêcher les communautés de se fragmenter et les réseaux sociaux de se dissoudre.

    Il va falloir faire appel nos défense mentales, physiques, émotionnelles. Ce n'est plus le moment de rabâcher les faits dans la solitude de l'entre-soi. L'heure est venue de se colleter avec le réel, sur le terrain.

    A l'heure ou les analyses nous montrent que nos sociétés se divisent justement en plusieurs segments sociaux qui s'éloignent de plus en plus les uns des autres, le souci de la collectivité doit devenir un impératif pour tous les groupes sociaux.

    Cet impératif de nature éducative et culturelle est d'autant plus nécessaire que c'est l'éducation et la culture et non l'économie qui NOUS définit.

    A nos sociétés et à nos organisations à ne pas l'oublier.

    FCN

     

  • L’UE Totalement vassalisée à Washington.

    Et donc incapable de tracer une troisième voie diplomatique dans la crise ukrainienne, l’Europe, où plus exactement l’Union européenne, existe-t-elle encore ?

    On apprend que l’Allemagne compte acheter jusqu’à 35 avions de combat F-35 américains pour équiper son armée. Berlin a en effet décidé de dégager une enveloppe exceptionnelle de 100 milliards d’euros pour moderniser son armée. Louable préoccupation dans le contexte actuel mais que dire du choix d’un fournisseur américain alors que d’autres pays européens, au premier rang desquels la France, propose un matériel équivalent, voire de plus grande qualité et technicité ?

    Si elle se confirmait – ce qui semble être le cas –, cette décision serait un véritable camouflet pour la solidarité européenne et un très mauvais signe pour le projet franco-germano-espagnol SCAF (Système de combat aérien du futur) qui doit remplacer à l’horizon 2040 les avions de combat Rafale français et les Eurofighter allemands et espagnols.

    Dans un tel contexte, comment imaginer la mise en place effective d’une réelle « défense européenne » débarrassée de son tuteur américain et véritablement indépendante ? Cette défense autonome est pourtant la seule chance de voir un jour exister une Europe qui soit une puissance capable de peser sur la scène internationale et de défendre ses propres intérêts sans être systématiquement à la remorque de Washington.

    La question est posée à ceux qui prétendent, en France, à la fonction suprême !

     

  • Situer : Zemmour et l’économie

    Les objectifs :
    Il y a urgence de mener des réformes drastiques afin de ne pas assister à notre inéluctable effondrement.

    Une réforme ambitieuse de l’État est un préalable incontournable : diminution des dépenses de l’État de l’ordre de 140 milliards d’euros, suppression de 600 000 postes de fonctionnaires inutiles, voire néfastes.

    Il faut PRÉVOIR également l’effondrement de notre service public si rien n’est fait rapidement, malgré les sommes considérables englouties en pure perte chaque année. Rappelons au passage qu’en 1975, la France occupait la sixième place mondiale pour la création de richesse par habitant pour finir aujourd’hui à la 26e place.
    La perte d’emplois dans les secteurs industriel et agricole n’est pas une fatalité. Le pays pourrait revenir au niveau de ses concurrents européens à condition de prendre les bonnes décisions et ainsi voir la balance commerciale repasser dans le vert de près de -100 milliards (prévision 2022) à +100, voir +150 milliards assez rapidement.

    Tous les candidats se fixent des priorités : sécurité, santé, emploi, éducation, défense, culture, institutions, écologie, services publics etc.

    Seul Eric Zemmour donne toute sa place à la question « industrielle » et « économique » en mettant la priorité sur les solutions « locales ».
    Le redressement économique du pays est affaire de la France, pas de l’UE ! Sans redressement économique de la France, aucune réforme concrète n’est possible. Sans cela, il ne s’agit alors que de promesses qui n’engagent que ceux qui y croient, faites par des politiques qui savent très bien qu’elles ne servent qu’à leur élection ou réélection.

    Voici 50 ans que la France s’enfonce irrémédiablement dans la médiocrité faute d’avoir engagé les dizaines de réformes promises et jamais menées.

    Comment obtenir les moyens du redressement ?

    Taxes et impôts

    Ils sont indispensables mais ces prélèvements dits obligatoires ont leur limite, soit 30 % du PIB pour un État dit libéral, et maximum 40 % pour un État dit social-démocrate. Au-delà il s’agit d’une dérive contreproductive démontrée par la courbe dite de Laffer ou plus communément par la formule « trop d’impôt tue l’impôt ».

    À 47,5 % du PIB en 2020 les prélèvements atteignent une limite dangereuse pour l’économie.

    Endettement

    Nous avons déjà dépassé largement la limite sur laquelle nous nous étions engagés auprès de l’Europe, lors de la création de la monnaie unique.

    À bientôt 120 % du PIB contre un engagement à 60 %, il ne reste plus aucune marge de manœuvre, d’autant plus que l’inflation arrivant, le remboursement des intérêts va devenir problématique (surtout si les taux US sont « libérés »).

    Aucun accroissement de la dette ne sera possible sans mettre en danger l’existence même du Pays.

    Réforme 

    Elle doit être drastique et urgente et reste donc la seule voie. Il faut engager enfin une lutte contre le gaspillage monstrueux actuel des deniers de l’État, afin de dégager une trésorerie estimée à au moins 150 milliards.
    Un tiers de cette somme devra être affecté au remboursement de la dette, et le reste consacré à l’allègement des taxes grevant la compétitivité des entreprises principalement industrielles. En retrouvant leur place initiale de 25 % du PIB (contre 10 % en 2021), elles engendreront autant sinon davantage de rentrées fiscales.
    Un cercle vertueux s’enclenchera, le chômage s’alignera sur celui de nos voisins, et le coût pour les finances du pays diminuera considérablement.

    Éric Zemmour proposera un projet de transformation radicale du pays qui ouvrira pour la France la voie du retour dans le peloton de tête des nations industrielles.

    C’est une réforme incontournable indissociable de toutes les autres. Ce choix permettra de passer le premier tour, étape indispensable pour affronter le président sortant et donc avoir une VRAIE chance de remporter l’élection.

    Cygne Noir

    http://semanticien.blogspirit.com/
    13 01 22