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Le grand remplacement - Page 4

  • Les incohérences immigrationnistes à Mayotte

    Mayotte est enfin dans tous les esprits. La situation est dramatique depuis des années, la violence terrorise une population appauvrie par une situation économique désastreuse doublée d’une submersion migratoire venue des Comores voisines. Mais il a fallu l’opération Wuambushu lancée par le ministre de l’Intérieur pour que les caméras envahissent l’île et rapportent le témoignage de mahorais désespérés par un quotidien particulièrement préoccupant.
    Les Mahorais ont choisi Marine le Pen à 59% au second tour des élections présidentielles, leurs deux députés soutiennent cette opération de démantèlement des bidonvilles et d’expulsions massives de clandestins dans les îles voisines. Mais rien n’y fait, des associations dénoncent une atteinte aux « droits humains » - comme si la vie paisible des Mahorais n’en était pas un -, des avocats déposent des référés pour empêcher – avec succès – la poursuite de l’opération et des magistrats appellent à contrer la décision du gouvernement. Les rapports de force sont les mêmes partout en France : les Français, qu’ils soient de Mayotte ou d’ailleurs, plébiscitent la fermeté en matière migratoire. Les représentants – parfois subventionnés ou payés par leurs impôts – organisent l’inverse.
    Mais la situation de Mayotte brouille les pistes : comment dégainer les accusations fallacieuses de racisme, de xénophobie ou de haine pour contredire des Mahorais « racisés », majoritairement musulmans et victimes incontestées d’une violence désormais endémique ? C’est difficile, alors personne ne le fait.
    Et pourtant, les immigrationnistes ne baissent pas les armes. Ils se saisissent de lois toujours promptes à protéger les droits individuels contre la préservation du Bien commun évidemment, mais ils adaptent aussi leurs discours dans des proportions qui dépassent l’entendement. Ainsi Edwy Plenel, qui tweetait ces jours-ci son admiration d’une ethnologue interrogée dans le journal Le Monde au sujet de la situation mahoraise. Que disait cette femme ? « S’agissant des Comoriens à Mayotte, il est difficile pour moi de parler de migrants étrangers. Ces populations partagent la même langue, pratiquent la même religion, ont la même conception de la parenté, se sont souvent mariées et continuent de se marier entre elles. Rien ne les distingue si ce n’est que certaines se retrouvent sur ce territoire avec la nationalité française et d’autres pas. »
    La phrase est exceptionnelle à tous points de vue, relayée par des fervents défenseurs d’une immigration toujours plus grande et négationniste de l’existence d’un peuple et de son droit à la continuité historique.
    Quand il s’agit de Mayotte, subitement, la notion de peuple historique existe : il se définit même par toute autre chose que le partage d’une nationalité administrative. Être du même peuple, soudainement, c’est partager la même langue, la même religion, les mêmes coutumes et la même conception du monde. Les mêmes qui hurlent et insultent lorsque l’on fait remarquer que certains ont des papiers français sans partager les us et coutumes forgées par des générations de Français avant eux…
    Quand il s’agit de Mayotte, subitement, on souligne la facilité à vivre ensemble entre des personnes qui vivent de la même manière. Les mêmes qui ne savaient plus quelle infamie inventer lorsque les Français trouvaient plus facile d’accueillir des Ukrainiens aux mœurs assez proches qu’une immigration extra-européenne si culturellement différente…
    Il est vrai que mahorais et comoriens partagent une religion, des mœurs, des coutumes, une histoire, et qu’ils ne sont pas totalement étrangers les uns aux autres. Mais Edwy Plenel et consorts oublient un point essentiel justement : l’harmonie subtile qui existe entre l’héritage, notamment culturel, et le choix libre et responsable d’adultes dans une démocratie.
    Il se trouve que s’il est légitime de qualifier les Comoriens d’étrangers à Mayotte, ce n’est pas d’abord en raison de différences culturelles difficiles à trouver mais en raison de la pleine appartenance de Mayotte à la France, contrairement aux Comores.
    Non parce que la France entretiendrait un délire colonialiste dans cette île lointaine mais parce que la question a été posée à tous les habitants de ces îles : tous ont voulu l’indépendance, sauf les Mahorais qui ont très largement choisi de rester Français.
    Voilà la différence : dans le respect de la liberté des peuples à décider de leur avenir.
    Charlotte d'Ornellas
    Journaliste à Valeurs actuelles
     

  • Si les musulmans disparaissaient de France

    Je regrette que le message de M Zemmour n’ait pas rencontré l’opinion française.
    Cependant, il faut aussi admettre que même si les musulmans disparaissaient, les problèmes seraient loin d’être résolus.
    Les Etats-Unis, en savent quelque chose où les musulmans représentent moins de 1% de la population et où ils sont confrontés à l’Etat socialiste, la fraude électorale et l’activisme antifa.
    En Amérique du Sud, où le musulman est encore plus rare, règne la violence, parfois la guerre civile, la grande pauvreté et les mafias internationales.
    On sait que 30% de la délinquance en France est le fait d’étrangers (donc bien souvent de musulmans) mais est-ce que, mécaniquement, la délinquance baisserait de 30% si on expulsait ces indésirables ? J’en doute.
    Le marché de la drogue représente tant de milliards qu’il serait vite repris en main par des locaux (il était autrefois géré par les Corses et les Italiens).
    De même, est-on sûr que supprimer les mosquées amènerait, par un effet de vases communiquant, les Français à remplir les églises ? Rien n’est moins sûr.
    Ce que je veux exprimer, c’est que contrôler notre immigration en éloignant les indésirables (car l’immigration zéro est un fantasme) est une nécessité mais pas une solution à tous nos problèmes. Il n’existe pas de pays ayant réglé ses problèmes économiques et sociaux simplement en expulsant ses étrangers .
    De même, le retour des valeurs et de la culture judéo-chrétienne ne dépend pas exclusivement de la suppression de religions concurrentes.
    Une fois les musulmans sous contrôle, tout resterait à faire.
    On voit que les pays européens qui ne souffrent pas de présence musulmane (Hongrie, Pologne), ne se montrent pas pour autant plus performants, plus démocratiques. Pire, leur population diminue (malgré l’apport de nombreux immigrés non musulmans) et les jeunes diplômés ne rêvent que de rejoindre l’Allemagne, l’Angleterre ou la France.
    La lutte contre l’immigration et l’idéologie islamique doit nécessairement s’accompagner d’un discours de vérité (la lutte sera âpre, sans doute violente, si les immigrés s’en vont, il faudra pourvoir les postes que les Français renâclent à occuper,…) et de projets qui peuvent convaincre les Français que ce combat, à terme, vaut le coup d’être mené.

    Marlowe
    25 avril 2023

  • Ce qui nous attend ?

    Ce qui nous attend ?
    Des troubles, des violences des révolutions ? Une contre offensive en cours ?
    Le problème serait quand la politique prend possession de la religion. Il n'y a plus séparation entre la religion et le pouvoir politique !
    Le programme de décadence morale est alors effectif !
    La transformation d'un mouvement religieux en mouvement politique basé sur les principes judéo-chrétien est il en cours ?
    Nous passerions d'un conflit de politique nationale qui peut être résolu à un conflit religieux probablement sans issue !
    J'aimerai avoir votre avis la dessus !
    Merci à vous
    FCN