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Liberté d'expression - Page 62

  • Idée et pratique

    « Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le moment est venu »
    Victor Hugo

    Je fus tout surpris en entendant Manuel Valls exprimer, semble t’il, de l’inquiétude en constatant que les réseaux sociaux peuvent mettre en œuvre une organisation et une communication « systémique » ; c'est-à-dire qui relie, qui crée des ponts et des ancrages entre les hommes, les groupes, sur tout le territoire et au-delà, qui libère les interactions et rapproche les idées de ceux qui s’opposent.
    Une communication qui organise, qui socialise et qui éduque, qui apaise, rassemble au lieu de diviser
    Il a raison ! C’est bien ce que nous nous efforçons de faire, en voulant retrouver l’essence même de la démocratie que certains veulent broyer : la liberté de penser ensemble, de concevoir ensemble notre avenir, de dépasser les clivages qui nous divisent.
    Bref « prendre le MEILLEUR de chacun » et le faire fructifier.
    C’est possible à partir d’une réflexion « transpartisane » sur ce blog, ce groupe et ce site.
    Nous pouvons ensemble nous interroger sur l’origine et la cause de nos fractures sociales au lieu d’éternellement n’en constater que les effets.
    Nous pouvons prendre ensemble conscience de la complexité des défis qui nous sont adressés et proposer des solutions que nous soutiendrons et imposerons également ensemble.
    Nous pouvons ensemble élaborer les outils et les moyens adaptés à nos attentes, nos besoins, et exiger qu’ils en soient fait une bonne utilisation.
    Nous pouvons ensemble, à partir de nos pages, nos groupes, nos blogs mis en cohérence, amplifier ou désamorcer des « effets » négatifs ou positifs. Soutenir telle action et décrier telle autre.
    Nous pouvons dire comment, ensemble, nous entendons réguler, contrôler les pratiques économiques, financières, écologiques, éducatives etc. et remédier aux malversations.
    Nous pouvons ensemble identifier les personnes faisant preuve d’énergie, de compétence et possédant un degré suffisant d’altruisme pour nous représenter politiquement et qui appliqueront le projet que nous leur avons demandé d’appliquer.

    Ce n’est qu’une idée, mais il semble que Victor Hugo ait raison, c’est le moment de cette idée.
    Nous invitons tous nos amis à la partager et à la mettre en œuvre afin qu’elle ne reste pas qu’une idée.

    Francis NERI
    « Les systémiciens pour la liberté »
    26 02 16

  • Le monde où nous vivons.

    Claire Chazal : quand l’indécence se mêle à l’appât du gain …

    Très juste courroux largement démontré dans ce texte, mais il va falloir bien comprendre dans quel monde nous vivons et mettre un terme à nos illusions.

    Quand on n’a pas... on fustige ceux qui ont... Et dès qu'on peut avoir, on prend... même au prix d'un comportement putassier tout en se reniant soi-même... Ça ne mange pas de pain, comme dit le proverbe populaire !...l'honnêteté et l'esprit chevaleresque.... Deux notions qui sentent de nos jours, le moisi et la vieille moleskine transpirante du "TABARIN"

    Les derniers soubresauts d'une moralité moribonde s'exerçait encore sporadiquement il y a une quarantaine d'années mais depuis... tout à changé et pour ma part, j'ai comme une vague impression, que nos élus qui ne sont plus nos frères mais nos parrains, sont tous nés à " Corléone " quelle différence y à t'il entre "cosa-nostra" ou la "Camora" et un gouvernement Français...pour ma part je n'en vois aucune !...

    Tout fonctionne selon un mode mafieux surmultiplié à l'échelon mondial .Tout comme les deux célèbres congrégations plus avant nommées, qui ont troqué le banditisme petits bras, pour une activité de malfrats en "col blanc" qui de gagnes petits sont devenus des grossiums de la malveillance, de la traîtrise, de la malversation, du mensonge, de la duperie, de la crapulerie la plus répugnante, tout ce beau palmarès qualitatif, assumé sans sourcilier d'un iota et bien entendu, sans le moindre état d'âme !...

    Il y a bien longtemps que la mère CHAZAL c'est assise sur sa moralité guimauve, déjà à l'époque certainement pas très résistante. Aujourd'hui en ondulant de la croupe, elle offre son string pour que la sous-mafia médiatique lui glisse les talbins, par elle, tant convoités.

    L’autre adage dit que l'argent est un bon serviteur mais un mauvais maître... et bien nos responsables font la brillante démonstration qu'ils peuvent être mauvais, dans les deux cas à la fois !...

    On n’arrête pas le progrès !...

    Claude Allard
    22 02 16

  • Le syndrome de Stockholm

    Il n'est un secret pour personne que cette curieuse manie de gagner beaucoup en en foutant le moins possible, est une tradition humaine universelle.
    Certaines races animales se comportent d'ailleurs de la même façon. Le lion roupille pendant que la lionne chasse, par exemple !...

    Cette bonne vieille loi consiste à fabriquer une hiérarchie, convaincue de former une "élite». Cette dernière regardant avec plaisir se constituer les richesses mondiales produites par ceux qui, exclus de cette confrérie, s'échinent à la constituer malheureusement avec la pauvreté comme tout salaire, produite souvent, il faut l'admettre, par l'effort, la fatigue et la douleur.

    Ce qui est amusant aussi de constater... les cocos et les Socialos et les autres (qu’il ne serait pas correct d’exclure) qui dénonçaient en cœur cette évidente injustice, se sont très vite aperçus qu'en créant une hiérarchie partisane, ils obtenaient aussi un possible accès, au pactole à ce point alléchant.
    Réaction normale à partir du moment où les contestations, les réprobations, les soifs de justice, se font nombreuses, pressantes et pesantes... alors, face à ces trublions décidément bien inopportuns, difficilement déquillables, organisés eux aussi en hiérarchie... les élites, un peu dépitées quand-même, acceptent que les nouveaux venus viennent se goinfrer dans la même mangeoire, que les couillons qui n'ont toujours pas encore compris, continuent inlassablement de remplir.

    Il est remarquable aussi de contempler avec, tout de même une certaine amertume, que le sentiment d'être "cornuto e contento" reste très fortement ancrée dans les gènes de la classe laborieuse qui n'a de cesse d'en redemander encore et encore !...Plus grave encore... elle nourrit une certaine admiration pour ceux qui la prennent pour une vielle pute à tourner et retourner dans tout les sens.
    Le syndrome de Stockholm...sans doute !...

    Claude Allard
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