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Liberté d'expression - Page 60

  • Pas de quartiers

    Il fut un temps où l ’Europe se faisait la guerre. Le dernier conflit, sanglant mais conventionnel contre un ennemi connu, identifié, se déroulait selon les lois de la guerre.
    Aujourd’hui, l’ennemi est en dehors et à l’intérieur de nos frontières. Il a souvent notre visage, il peut être un étranger venant nous demander asile, mais il est aussi notre voisin de palier, notre cousin, voire notre fils ou notre fille.

    Aujourd’hui, il y a tout lieu de penser que cet ennemi longtemps invisible sur notre territoire car volontairement ignoré par ceux que nous pouvons sans crainte de nous tromper qualifier de collabos, prend ses ordres de la nébuleuse islamiste et islamique de pays comme l’Arabie Saoudite, le Qatar etc.

    Nous pouvons affirmer clairement sans crainte de nous tromper que l’islam EST notre ennemi et donc que tous ceux qui le pratiquent le sont.
    Tous ceux qui le pratiquent et tous ceux qui collaborent avec lui.

    En conséquence je déclare ici et maintenant que :

    Je suis en guerre contre Juppe, Sarkozy et toute la bande de LR, toute la bande de la gauche actuelle d’où qu’elle vienne et où qu’elle aille.
    Je suis en guerre contre l’establishment mondialiste oligarchique qui vendit les pays occidentaux aux émirs pour quelques barils de pétrole

    Je déclare ici et maintenant que seule Marine Le PEN, comme le fit Donald Trump aux USA est en mesure de relever le défi.
    A la condition qu’elle désigne clairement NOS ennemis et quelles qu’en soient les conséquences à court terme, s’engage à en libérer la France, y compris en leur faisant la guerre et qu’elle ne fasse pas de quartiers.

    Les Français alors la soutiendront et la porteront au pouvoir .

    Francis-claude Neri
    17 11 16

  • Alain Juppé

    J’ai un immense dégout pour une certaine classe politique dont Alain Juppé est un des plus sinistre représentant.
    Juppé, roi du politiquement correct fait du « populisme » et donc du populaire un ennemi de la Nation
    La colère du populaire va lui faire payer cher la façon dont il le traite d’imbécile, de raciste et de  fasciste, car c’est bien comme cela qu’il voit les électeurs et sympathisants du FN voire de tous ceux qui ne sont pas de son idéologie immigrationiste, tiers mondiste, multiculturaliste et mondialiste à la fois.

    Ce mandarin d’une classe en sursis appartient à une autre planète, factice, hors sol, méprisante.  Il va vite se rendre compte que les classes populaires ont brisé leurs chaines, qu’il ne nous aura plus avec ses discours émotionnels, compassionnels, de bienveillance envers l’ennemi islamiste, et les bons sentiments tournés exclusivement vers les migrants des pays de l’islam.
    Il se garderait bien par exemple de plaindre une seconde les chrétiens d’Orient.

    Le politiquement correct, bête noire de Marine Le Pen, est le mur que les Français doivent abattre par dessus la classe dominante qui s’accroche au pouvoir et les partis enfermés dans la poursuite de leurs propres intérêts.
    La France insoumise doit imposer sa parole libérée, sans concession à l’islam pour prix de la paix civile qui annonce la capitulation.
    Alain Juppé se dit le seul à pouvoir battre Marine Le Pen ; nous affirmons que Marine le Pen est la seule en mesure de battre les ennemis intérieurs de la France et Alain Juppé le premier.         

    Francis-claude Neri
    27 10 16

  • La Vague Patriote

    Il y a tant d’histoires différentes au sein des groupes de patriotes, des intellectuels pauvres ou riches, barricadés dans des bastides gersoises ou luttant pour préserver une identité malmenée dans des HLM, de courageux commerçants ou paysans qui luttent pour garder la tête hors de la fange imposée par les technocrates européens, et même des gens que j’adore qui osent s’exprimer sur leur quotidien en cumulant fautes de syntaxe et d’orthographe. On s’en fout !
    Je suis populiste avant tout, et les petits arrangements de la novlangue me dépitent, et si être populiste consiste à être fasciste, et bien que l’on me prenne pour un admirateur de la République de Salo, cela n’entravera en rien ma vision identitaire et sociale. Vous savez, j’avais pressenti le chaos actuel, dès mes 15 ans, et j’avais étonné des amis américains, en affirmant qu’à terme, l’immigration arabe poserait un problème culturel et religieux dont il serait impossible de se défaire ; même eux étaient étonnés !
    M’encarter dites-vous ? Regrets peut-être ? Et si j’avais été le Rachline de l’époque, j’aurais approché le comité directeur probablement, et mes revenus actuels seraient décuplés, en tant que sénateur ou député européen. Non, je veux rester libre, et j’aime cette fronde identitaire, parfois brouillonne qui s’exprime sur la Vague Patriote.

    Patrick Escudie
    07 10 16