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mondialisation - Page 37

  • Non axiomes

    Le tour de LA question. La parole est au peuple !

    1) Qu’avons-nous gagnés comme petit peuple avec l'UE ?
    Passer les frontières sans contrôles ? Bien avant ça on passait déjà comme une lettre à la poste, c'est tout juste si on nous regardait au passage des frontières.
    Avoir une monnaie unique, ouais pour cette une fois par an que les gens allaient en vacances ça ne faisait pas le poids de devoir changer son argent dans l'argent du pays visité.
    Par contre le passage à la monnaie unique a provoqué une flambée des prix qui n'est pas encore terminée.
    Cette monnaie unique était bonne à quoi? Pour les industries ? Ces gens là ne paient pas cash en plus c'était en dollars. Ça nous a surtout rapporté la bande de profiteurs qui siègent au parlement européens (enfin, qui pointent et repartent) et la dictature du conseil européen, les 24 FDP qui décident du sort de 500 millions de gens sans les consulter, c'est la démocratie que l'UE nous a apportée.

    2) "Gouverner c'est prévoir" (Émile de Girardin) nous avons des gouts de première classe, ils n'ont pas prévus du tout les suites de cette immigration effrénée.
    Donc en conclusion, ils ne sont pas capables de gouverner. Vivement d'autres et des meilleurs (s’il en existe)

    3) Si c'est facho de vouloir préserver: notre civilisation, notre religion, notre mode de vie, l'avenir de nos petits enfants contre une invasion de sauvages illettrés, agressifs et criminels .......je suis 100% facho dans ce cas.

    4) À MÉDITER
    Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux."
    (Benjamin Franklin)

    5) C'est comique au fond que tous ces dirigeants européens se croient maîtres dans leurs pays......quelle illusion (stupidité ou mensonge) ?
    L'exemple le plus frappant est hélas la France quand on voit tout ce que leurs présidents successifs ont concédés aux muzz en peu d'années ; c'est effrayant : abattage halal, repas cantines scolaires halal, prières de rues, agressions des forces de l'ordre impunies, prêches radicaux dans les mosquées sans suites, mansuétude plus que scandaleuse envers les criminels coupables des méfaits les plus divers allant du vol au viol en passant par le meurtre, suppression des signes religieux, etc, etc, etc.
    Donc, ce ridicule fantoche de Macron n'est absolument plus maître dans VOTRE pays malgré ses airs de fanfaron bravache, il courbe l'échine devant le N.O.M et ses sponsors c-à-d les banques et les multinationales qui l'ont élu (et non les français ) et qui nous imposent cette immigration débridée.

    Et la Belgique est engagée dans la même voie.

    Alex Alex Rozsa
    09 03 18


     

  • La grande désintégration

    Maintenant on sait. On sait que Mai 68 n'était qu'une ruse de l'histoire. On sait que le marxisme emphatique des jeunes révolutionnaires n'était qu'une manière détournée de faire le jeu du marché. On a lu Régis Debray, dès 1978, et Luc Ferry, au milieu des années 1980. Avant eux, l'Américain Christopher Lasch, et tous les autres depuis. On sait que la «crise de civilisation» diagnostiquée alors par Georges Pompidou était surtout une mutation du capitalisme, qui passait d'un système fondé sur la production, l'industrie et l'épargne, à une économie basée sur la consommation, les services et la dette.

    On sait que même la «grève générale», rêve séculaire de tous les syndicalistes, a été noyée sous les augmentations de salaires - bientôt dévorées par la dévaluation du franc et l'inflation - et le retour de l'essence dans les stations-service pour les départs du week-end de la Pentecôte.

    On sait que le talent du slogan travaillé dans les ateliers de la Sorbonne s'est reconverti dans les agences de publicité. On sait que la libido des étudiants de Nanterre qui voulaient aller dans le dortoir des filles s'est transmuée en pulsion de consommation. On sait que leur universalisme utopique a fait le lit du marché mondial des capitaux et des marchandises.

    On sait que leur antiracisme généreux a forgé dans l'ouest de l'Europe des sociétés multiculturelles où chacun suit sa coutume, ses racines, sa loi religieuse. On sait que l'austérité virile des militants maoïstes a été subvertie et vaincue par le féminisme hédoniste du MLF et des mouvements «gays».

    On sait que Mai 68 a commencé avant mai 1968. A Vatican II, avec la chute de la pratique du catholicisme. Ou en cette même année 1965, avec la fin du baby-boom démographique. Ou en 1967, avec la légalisation de la pilule. Ou avec les émeutes raciales de Los Angeles ou les manifestations contre la guerre du Vietnam, ou l'émergence du «politically correct», la défense véhémente des minorités.

    On sait que Mai 68 n'a pas été seulement français, mais occidental (Italie, Allemagne, Etats-Unis), et même européen (Prague) et même mondial (Mexique). On sait que Mai 68 a été cependant la voie française pour fermer le ban de l'histoire révolutionnaire du pays en faisant une ultime révolution pour rire. Une dernière révolution mais sans mort ou presque. Une révolution faite au nom du peuple par les fils de la bourgeoisie. Comme 1789 et 1848. Et, comme d'habitude, disait déjà Marx à propos de 1848, l'histoire se répète, la première fois en tragédie, et la seconde en farce.

    Mai 68, ce fut farces et attrapes.

    Le général de Gaulle avait joué le rôle de Richelieu et celui de Louis XIV ; les rebelles de la Sorbonne jouèrent donc aux enragés de 1793. La cible était idéale. De Gaulle, c'était tout à la fois le dernier père avant les papas poussettes, le dernier chef avant les managers, la dernière incarnation de la nation avant la dissolution de la nation, le dernier homme avant les adolescents féminisés.

    La cible était parfaite et peu importe qu'elle ait elle-même préparé le terrain, par de nombreuses mesures «émancipatrices», à ceux qui allaient le renverser. Sa mort, en 1970, était concomitante de la loi qui mettait un terme à la puissance paternelle dans la famille.

    Balzac avait dit que la mort du roi sur la guillotine avait été la mort de tous les pères. L'histoire repassait les plats avec la mort de De Gaulle. Les pères n'étaient plus que des papas, et les papas, que des secondes mères. La famille patriarcale passait sous le règne du matriarcat, dont les hommes s'échappaient, par le corps (explosion du nombre des divorces ou des familles monoparentales) ou par l'esprit. L'égalitarisme révolutionnaire passait partout, entre les hommes et les femmes, mais aussi entre les parents et les enfants, même entre les différentes sexualités. Il était interdit d'interdire. Tous égaux, tous sujets, tous dotés de droits.

    On n'était plus une famille, avec un père, une mère et des enfants, mais «on faisait famille» avec des individus égaux en droits, aux sexualités diverses. La famille n'est plus le lieu de la transmission, d'un héritage culturel et matériel, mais le lieu de l'épanouissement des individus. C'est là où les nécessités du marché (devenir un consommateur) rejoignent les anciens fantasmes révolutionnaires (détruire la famille bourgeoise). Là où les libéraux s'allient aux libertaires. Là où les mouvements féministes s'allient aux mouvements homosexuels, devenus «gays». Là où les minorités sexuelles s'allient aux minorités ethniques. Avec un ennemi commun: le mâle blanc hétérosexuel occidental.

    Un des slogans de Mai 68 était: tout est politique. Ils ne parlaient pas en l'air. Tout: famille, école, Eglise, parti, syndicat, sexe, nation, toutes les structures hiérarchiques et verticales seraient subverties et renversées. Mises à bas. Toutes les identités seraient remises en cause. Au nom de la liberté, on n'avait que des droits. Au nom de l'égalité, la société n'avait que des devoirs. Au nom du marché, on était un individu roi à qui il était interdit d'interdire. Mais, au nom de l'ancienne vulgate marxiste, nous sommes tous des «damnés de la terre» qui devront faire rendre gorge à notre ancien maître: le père, le prof, le patron, le prêtre, le ministre et, plus largement, l'homme, le blanc, le Français. La majorité est sommée de s'incliner et de se soumettre aux minorités.

    La redécouverte dans les années 1980 de Tocqueville, considéré comme un horrible aristocrate libéral par les révolutionnaires marxistes des années 1960, permettait de retourner l'antique malédiction des démocraties: puisque Tocqueville avait bien vu que le danger était la dictature des majorités sur les minorités, il fallait empêcher par tous les moyens cette tyrannie majoritaire. Au nom des droits de l'homme, on donna donc aux juges le moyen de contenir la moindre contrainte, la moindre «discrimination» de la moindre minorité. La démocratie n'était plus le pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple, mais le pouvoir du juge, au nom du droit, pour les minorités. Le résultat ne se fit pas attendre: au nom de la nouvelle religion des droits de l'homme, le principe sacré de «non-discrimination» affirmait la tyrannie du juge et des minorités. On appelait cela avec emphase «l'Etat de droit».

    Les anciens révolutionnaires qui avaient retenu de Marx que le droit en général, et les droits de l'homme en particulier, n'était que l'arme de la bourgeoisie pour affermir son pouvoir et contenir les assauts du prolétariat, retournèrent leur veste avec maestria et devinrent les défenseurs les plus forcenés des droits de l'homme. C'était leur nouvelle religion séculière après le communisme. Après la défense du prolétariat, la défense des minorités. Après la lutte contre le capitalisme, la lutte conte le néocolonialisme. Après le communisme, l'antiracisme. Religion dont ils devinrent les nouveaux prêtres. La religion avait changé, mais les bûchers de l'Inquisition étaient allumés par les mêmes. Les fascistes d'avant étaient seulement devenus les racistes d'aujourd'hui.

    La pensée conservatrice affirme depuis longtemps qu'une nation n'est qu'une famille de familles. Il était inéluctable que la désagrégation de l'une entraînât celle de l'autre. Le constructivisme né dans les cerveaux des théoriciens français - Deleuze, Guattari, Foucault - nous revenait auréolé de son passage dans les campus américains des années 1960. Rien n'était naturel, tout était social. Rien n'était biologique, tout était culturel. C'était la victoire absolue de l'existentialisme de Sartre. On ne naît pas femme, on le devient. Ou pas. On ne naît pas homme, on le devient. Ou pas. On ne naît pas français, on le devient. Ou plus.

    Tous les instruments de l'assimilation - prénoms, vêtements, langue, école, histoire, culture, cuisine -, qui avaient permis l'intégration de générations d'immigrés venus de toute l'Europe, étaient rejetés au nom du respect des cultures et du prestige de la «diversité». Là encore, la conjonction très française de la liberté et de l'égalité, du libéralisme mais aussi de l'ancienne vulgate marxiste, faisait des ravages. Libres de suivre et d'imposer sa culture d'origine, sa tradition, sa religion, même si elle vient en contradiction avec la culture dominante de la France ; mais égaux, au nom du scrupuleux respect du principe de «non-discrimination».

    Cette double injonction est destructrice de la nation, qui n'est plus qu'un territoire sans passé où cohabitent des communautés diverses, au nom d'un «vivre-ensemble» oxymorique. Mais c'est bien l'objectif. Daniel Cohn-Bendit disait, bien des années après ses «exploits» de Mai 68: «Le peuple français n'existe pas ; et la notion même de peuple n'existe pas.» Le véritable héritage de Mai 68 est sans doute là, dans cette destruction voulue, pensée, imposée, des individus, des familles, des peuples, des nations. Ce nihilisme anarchisant s'épanouit au nom d'un universalisme totalitaire hérité du marxisme, marié avec le libéralisme de marché et qui n'a plus comme objectif de sacrifier la bourgeoisie sur l'autel du prolétariat, mais les peuples européens sur l'autel du métissage généralisé.

    Mai 68 a gagné depuis longtemps. Les rebelles sont devenus le pouvoir. Un pouvoir qui se prétend toujours rebelle. Et qui traite toujours ses opposants de conservateurs. Alors que les conservateurs, ce sont eux. Mais la révolte gronde. Elle est disparate, éclatée, divisée. C'est le succès de la Manif pour tous, en 2013, contre le mariage homosexuel. C'est le réveil d'un catholicisme identitaire qui a compris le danger de l'islam. Mais c'est aussi, dans les banlieues, un patriarcat islamique souvent virulent, et parfois violent, porté par les «grands frères», qui se vit en opposition avec le féminisme de leur société d'accueil.

    C'est même, sans qu'elles le comprennent elles-mêmes, la montée en puissance d'un néopuritanisme féministe qui, au nom des droits des femmes, remet en cause l'hédonisme libertin des anciens soixante-huitards, qu'ils soient producteurs de cinéma, photographes ou politiques. C'est enfin, à l'est de l'Europe, la coalition de peuples qui entendent bien sauvegarder tout à la fois leur cohérence nationale et leurs racines chrétiennes.

    Toutes ces révoltes ne se valent pas. Elles sont même souvent antinomiques, et même adversaires. Elles sont toutes le produit de la désagrégation des sociétés occidentales depuis Mai 68, de toutes les identités, individuelles, familiales, religieuses, et nationales.

    Sur les ruines de Mai 68, il faudra un jour reconstruire.

    Eric Zemmour

    02 03 18

  • Marion Maréchal

    Invitée jeudi à s'exprimer lors d'un rassemblement conservateur très en vue près de Washington, Marion Maréchal a défendu la souveraineté et le protectionnisme français.

    L'accueil réservé à Marion Maréchal  jeudi aux Etats-Unis était très chaleureux. L'ancienne députée, retirée de la vie politique, a fait un retour remarqué jeudi près de Washington, où elle était invitée à la "Conservative Political Action Conference" (CPAC), un rassemblement conservateur en vue dans le pays. Marion Maréchal s'exprimait d'ailleurs juste après le vice-président Mike Pence. Sur scène, elle a eu des mots bienveillants à l'égard de Donald Trump, là où Marine Le Pen a plusieurs fois exprimé sa déception à l'égard de la politique étrangère du président américain.

    Prononcé en anglais et d'une durée de 10 minutes, le discours de Marion Maréchal s'est révélé très politique, Marion évoquant sans cesse son propre pays. "Je ne suis pas offensée lorsque j'entends le président Donald Trump dire 'l'Amérique d'abord'. 

    En fait, je veux l'Amérique d'abord pour le peuple américain, je veux la Grande-Bretagne d'abord pour le peuple britannique et je veux la France d'abord pour le peuple français", a-t-elle déclamé sous les applaudissements. "Si nous voulons rendre à la France sa grandeur, nous devons défendre nos intérêts économiques sur les marchés mondiaux", a-t-elle poursuivi, reprenant un autre slogan de Donald Trump, attendu à son tour vendredi à la CPAC. "Comme vous, nous voulons qu'on nous rende notre pays", a encore lancé l'ancienne élue du Vaucluse, dont le discours a été ponctué de vigoureux "Vive la France" lancés en français.

    Une intervention juste avant le congrès du FN

    Marion Maréchal s'en est pris en particulier à l'Union européenne. "Notre liberté est maintenant entre les mains" de Bruxelles, "qui est en train de tuer lentement des nations millénaires", a-t-elle dénoncé.
     "Je vis dans un pays où 80%, vous m'avez bien entendu, 80% des lois sont imposées par l'Union européenne", a affirmé la Française, déclenchant les huées de son auditoire acquis à sa cause

    "Tout ce que je veux, c'est la survie de ma nation", a-t-elle poursuivi. "Après 40 ans d'immigration massive, de lobbyisme islamique et de politiquement correct, la France est en train de passer de fille aînée de l'Eglise à petite nièce de l'islam", a-t-elle déploré.

    Autre thème cher à la droite américaine et aux tenants d'une ligne socialement conservatrice, l'idée selon laquelle "même les enfants sont devenus des marchandises". 
    "On entend maintenant dans le débat public qu'on a le droit de commander un enfant sur catalogue, qu'on a le droit de louer le ventre d'une femme, qu'on a le droit de priver un enfant d'une mère ou d'un père", s'est insurgée Marion Maréchal. Elle a enfin souhaité une union des forces conservatrices américaines et européennes, elle qui milite en France - autre différence avec Marine Le Pen - pour l'union des droites.

    La conférence américaine de Marion Maréchal intervient en tout cas à deux semaines du congrès de "refondation" du Front national, qui va reconduire à sa tête Marine Le Pen, la seule candidate en lice. 

    Jeudi,  Marion Maréchal a également annoncé à Valeurs Actuelles la création d'une "académie de sciences politiques", un projet d'école qui ne sera rattachée à "aucun parti politique" mais qui a vocation à "détecter et former les dirigeants de demain".
     
                    (j’y participerai bien volontiers pour enseigner l’approche systémique – FCN-)

    Dans cette nouvelle aventure, Marion Maréchal a pour mission de fonder une école. Pour atteindre cet objectif, elle doit notamment établir un comité scientifique, trouver des intervenants et, surtout, chercher des financements. Cette école permettrait aux étudiants de troisième cycle d'approfondir leur culture générale.

    Revenant sur la séquence électorale de 2016 qui a vu le victoire du «oui» au référendum britannique sur le Brexit et l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, Marion Maréchal a rappelé son attachement au souverainisme. «Quand les peuples ont l'opportunité de reprendre leurs pays, ils la saisissent», a-t-elle lancé , après avoir pris la parole, parmi d'autres orateurs tels que le vice-président des Etats-Unis Mike Pence.


                 
    (Le bruit court qu’un entretien se serait tenu avec ce dernier) – FCN- 

    «La tradition ne consiste pas dans l'adoration des cendres mais plutôt dans la préservation de la flamme», a-t-elle déclaré, devant une assistance visiblement enthousiaste. «Vous avez été l'étincelle, il nous appartient désormais de nourrir la flamme conservatrice», a-t-elle poursuivi à l'adresse des conservateurs, dans un discours où elle a dénoncé l'emprise de l'Union européenne sur les peuples européens. «Vive les nations libres !», a-t-elle martelé, en français.

    «Si nous voulons rendre à la France sa grandeur, nous devons défendre nos intérêts économiques sur les marchés mondiaux», a-t-elle déclaré lors de sa prise de parole, poursuivant : «Nous, Français, devons nous battre pour notre indépendance. Nous ne pouvons plus choisir notre politique économique ou notre politique d'immigration et même notre diplomatie.

    Notre liberté est entre les mains de l'Union européenne.»

    Marion Maréchal, connue pour avoir des positions souvent plus radicales que Marine Le Pen, a énuméré aux États-Unis ses thèmes de prédilection, en première ligne desquels figure l'Union européenne. "Notre liberté est maintenant entre les mains" de cette institution "qui est en train de tuer des nations millénaires", a t’elle dénoncé.

    "Je vis dans un pays où 80%, vous m'avez bien entendu, 80% des lois sont imposées par l'Union européenne", a affirmé Marion Maréchal. "Tout ce que je veux, c'est la survie de ma nation", a t’elle poursuivi. "Après 40 ans d'immigration massive, de lobbyisme islamique et de politiquement correct, la France est en train de passer de fille aînée de l'Église à petite nièce de l'islam", a-t-elle également déploré.

    "Même les enfants sont devenus des marchandises". "On entend maintenant dans le débat public qu'on a le droit de commander un enfant sur catalogue, qu'on a le droit de louer le ventre d'une femme, qu'on a le droit de priver un enfant d'une mère ou d'un père", s'est insurgée Marion Maréchal.

                         (Ce qui est en opposition totale de celle de Marine Le Pen) –FCN-

    Enfin, Marion Maréchal préconise une union des forces conservatrices américaines et européennes.
    C’est bien parti à mon avis.

    Synthèse de :

    Francis-claude Neri

    24 02 18