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mondialisation - Page 38

  • Marion Maréchal

    Invitée jeudi à s'exprimer lors d'un rassemblement conservateur très en vue près de Washington, Marion Maréchal a défendu la souveraineté et le protectionnisme français.

    L'accueil réservé à Marion Maréchal  jeudi aux Etats-Unis était très chaleureux. L'ancienne députée, retirée de la vie politique, a fait un retour remarqué jeudi près de Washington, où elle était invitée à la "Conservative Political Action Conference" (CPAC), un rassemblement conservateur en vue dans le pays. Marion Maréchal s'exprimait d'ailleurs juste après le vice-président Mike Pence. Sur scène, elle a eu des mots bienveillants à l'égard de Donald Trump, là où Marine Le Pen a plusieurs fois exprimé sa déception à l'égard de la politique étrangère du président américain.

    Prononcé en anglais et d'une durée de 10 minutes, le discours de Marion Maréchal s'est révélé très politique, Marion évoquant sans cesse son propre pays. "Je ne suis pas offensée lorsque j'entends le président Donald Trump dire 'l'Amérique d'abord'. 

    En fait, je veux l'Amérique d'abord pour le peuple américain, je veux la Grande-Bretagne d'abord pour le peuple britannique et je veux la France d'abord pour le peuple français", a-t-elle déclamé sous les applaudissements. "Si nous voulons rendre à la France sa grandeur, nous devons défendre nos intérêts économiques sur les marchés mondiaux", a-t-elle poursuivi, reprenant un autre slogan de Donald Trump, attendu à son tour vendredi à la CPAC. "Comme vous, nous voulons qu'on nous rende notre pays", a encore lancé l'ancienne élue du Vaucluse, dont le discours a été ponctué de vigoureux "Vive la France" lancés en français.

    Une intervention juste avant le congrès du FN

    Marion Maréchal s'en est pris en particulier à l'Union européenne. "Notre liberté est maintenant entre les mains" de Bruxelles, "qui est en train de tuer lentement des nations millénaires", a-t-elle dénoncé.
     "Je vis dans un pays où 80%, vous m'avez bien entendu, 80% des lois sont imposées par l'Union européenne", a affirmé la Française, déclenchant les huées de son auditoire acquis à sa cause

    "Tout ce que je veux, c'est la survie de ma nation", a-t-elle poursuivi. "Après 40 ans d'immigration massive, de lobbyisme islamique et de politiquement correct, la France est en train de passer de fille aînée de l'Eglise à petite nièce de l'islam", a-t-elle déploré.

    Autre thème cher à la droite américaine et aux tenants d'une ligne socialement conservatrice, l'idée selon laquelle "même les enfants sont devenus des marchandises". 
    "On entend maintenant dans le débat public qu'on a le droit de commander un enfant sur catalogue, qu'on a le droit de louer le ventre d'une femme, qu'on a le droit de priver un enfant d'une mère ou d'un père", s'est insurgée Marion Maréchal. Elle a enfin souhaité une union des forces conservatrices américaines et européennes, elle qui milite en France - autre différence avec Marine Le Pen - pour l'union des droites.

    La conférence américaine de Marion Maréchal intervient en tout cas à deux semaines du congrès de "refondation" du Front national, qui va reconduire à sa tête Marine Le Pen, la seule candidate en lice. 

    Jeudi,  Marion Maréchal a également annoncé à Valeurs Actuelles la création d'une "académie de sciences politiques", un projet d'école qui ne sera rattachée à "aucun parti politique" mais qui a vocation à "détecter et former les dirigeants de demain".
     
                    (j’y participerai bien volontiers pour enseigner l’approche systémique – FCN-)

    Dans cette nouvelle aventure, Marion Maréchal a pour mission de fonder une école. Pour atteindre cet objectif, elle doit notamment établir un comité scientifique, trouver des intervenants et, surtout, chercher des financements. Cette école permettrait aux étudiants de troisième cycle d'approfondir leur culture générale.

    Revenant sur la séquence électorale de 2016 qui a vu le victoire du «oui» au référendum britannique sur le Brexit et l'élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, Marion Maréchal a rappelé son attachement au souverainisme. «Quand les peuples ont l'opportunité de reprendre leurs pays, ils la saisissent», a-t-elle lancé , après avoir pris la parole, parmi d'autres orateurs tels que le vice-président des Etats-Unis Mike Pence.


                 
    (Le bruit court qu’un entretien se serait tenu avec ce dernier) – FCN- 

    «La tradition ne consiste pas dans l'adoration des cendres mais plutôt dans la préservation de la flamme», a-t-elle déclaré, devant une assistance visiblement enthousiaste. «Vous avez été l'étincelle, il nous appartient désormais de nourrir la flamme conservatrice», a-t-elle poursuivi à l'adresse des conservateurs, dans un discours où elle a dénoncé l'emprise de l'Union européenne sur les peuples européens. «Vive les nations libres !», a-t-elle martelé, en français.

    «Si nous voulons rendre à la France sa grandeur, nous devons défendre nos intérêts économiques sur les marchés mondiaux», a-t-elle déclaré lors de sa prise de parole, poursuivant : «Nous, Français, devons nous battre pour notre indépendance. Nous ne pouvons plus choisir notre politique économique ou notre politique d'immigration et même notre diplomatie.

    Notre liberté est entre les mains de l'Union européenne.»

    Marion Maréchal, connue pour avoir des positions souvent plus radicales que Marine Le Pen, a énuméré aux États-Unis ses thèmes de prédilection, en première ligne desquels figure l'Union européenne. "Notre liberté est maintenant entre les mains" de cette institution "qui est en train de tuer des nations millénaires", a t’elle dénoncé.

    "Je vis dans un pays où 80%, vous m'avez bien entendu, 80% des lois sont imposées par l'Union européenne", a affirmé Marion Maréchal. "Tout ce que je veux, c'est la survie de ma nation", a t’elle poursuivi. "Après 40 ans d'immigration massive, de lobbyisme islamique et de politiquement correct, la France est en train de passer de fille aînée de l'Église à petite nièce de l'islam", a-t-elle également déploré.

    "Même les enfants sont devenus des marchandises". "On entend maintenant dans le débat public qu'on a le droit de commander un enfant sur catalogue, qu'on a le droit de louer le ventre d'une femme, qu'on a le droit de priver un enfant d'une mère ou d'un père", s'est insurgée Marion Maréchal.

                         (Ce qui est en opposition totale de celle de Marine Le Pen) –FCN-

    Enfin, Marion Maréchal préconise une union des forces conservatrices américaines et européennes.
    C’est bien parti à mon avis.

    Synthèse de :

    Francis-claude Neri

    24 02 18

  • Indigènes

    Le prof d’histoire nous a emmenés voir le film « Indigènes ».

    - Et voilà ! M’aurait étonné que tu coupes à ce pur film de propagande.

    - les Arabes ont été enrôlés dans l’armée française ou pas ?

    - Non, ils n’ont pas été enrôlés, ils se sont engagés.

    Ils ont été des sortes de mercenaires à notre service. Les Maghrébins ont un tempérament guerrier. Ils aiment se battre.

    Fut un temps, les Suisses se mettaient au service d’armées étrangères dont françaises. Beaucoup y ont aussi laissé leur peau. Ils n’en font pas tout un plat pour autant.

    - Mais ces Arabes, engagés ou pas, ont héroïquement payé de leur personne pour la France.

    - Oui, c’est vrai. Mais ils n’ont pas été les seuls. Sais-tu qui furent les plus nombreux, en pourcentage, à s’être battus pour libérer notre pays ?

    - Non, mais je sens que je vais le savoir.

    - Les Pieds-noirs, ces éternels oubliés de l’Histoire. Ils ont été environ cent soixante dix mille pour une population d’un million, autant que les Arabes pour une population d’environ... 25 millions, soit 25 fois plus nombreux que ces derniers en pourcentage.

    Le fait est que dans les combats décisifs qui ont opposé l’armée française à l’allemande en Italie, ce sont surtout les Pieds noirs qui ont payé de leur personne sans se rembourser en viols de femmes, d’hommes et d’enfants sur la population italienne comme l’ont fait les Marocains ainsi que le montre le film italien tiré du roman de Moravia : la Ciocciara avec Sophia Loren. - Un roman, un film, ça peut raconter et montrer n'importe quoi. Tu l'as dit toi-même.

    - Oui, sauf que les journalistes et d’autres témoins en avaient parlé bien avant, peu de temps après les faits, qu'un monument à la mémoire des victimes a été dressé dans la région où ont eu lieu ces viols et que les victimes elles-mêmes ou leur famille ont demandé à l’Etat qu’il exige des réparation des sévices subis. D’ailleurs les Marocains ont laissé un souvenir épouvantable dans la région. Est-ce que le film montre tout ça ?

    - Non !

    - C’est ce que je te disais : pur film de propagande.

    - N’empêche qu’on y montre au moins que les Maghrébins ont combattu à nos côtés, ce que la plupart des gens ignorent.

    - Mais on ne l’a jamais caché ! Au contraire !
    De mon temps, à chaque 14 juillet, on faisait défiler un détachement composé de soldats issus des colonies, et figure-toi que c’était les plus applaudis !

    Tu vois comme la France était raciste !

    Et puis l’indépendance venue, ces hommes ont cessé de défiler dans un pays qui n’était plus le leur. Rien de plus logique. Quoi qu'il en soit, en pourcentage de tués, les troupes arabes en ont eu 5%, les troupes françaises de métropole 5,3%, et les troupes Pieds-noirs, 5,8%. C'était extrait d'un PDF nommé "L'Assassinat de la France raconté à ma petite-fille", d'un auteur dont le pseudo était "Antigone". Le PDF a été retiré, peut-être parce que l'auteur veut publier.

    Il semble que la France commence à s'exprimer.

    Mieux vaut tard que jamais, mais ça fait tout de même une génération perdue pour nous, et une gagnée en face avec les 100 000 arrivées par an et les naissances sur notre sol de "Français" qui n'ont pas forcément envie de le rester quinze ans plus tard, mais n'en ont pas moins la capacité de nuisance comme s'ils appartenaient à la nation alors qu'ils n'en ont que la nationalité.

     

    François Paganel

    08 11 16

  • Une société systémique

    La démocratie, la liberté d'entreprendre, le marché et le libre échange ont besoin d’un État fort et souverain pour les protéger, les réguler, les contrôler et en permanence remédier aux écarts.

    Nous occidentaux sommes devenus totalement pessimistes à l'égard de la possibilité d'un progrès d’ensemble dans les institutions démocratiques.

    Nous pensions avoir renvoyé dos à dos la droite militaire, autoritaire, jacobine et la gauche socialo-communiste et totalitaire.

    Nous pensions hier encore que la démocratie libérale était la seule aspiration politique cohérente qui puisse relier différentes religions et cultures.
    Marx nous a vendu la société national- socialiste et socialio-communiste qui se sont effondrées avec Allemagne Hitlérienne et la Russie Stalinienne.

    La société de démocratie libérale s'effondre avec les premiers chocs pétroliers et la crise des subprimes.

    Si nous parvenons à éviter la déconstruction en cours, morale, éthique, culturelle, identitaire, à nous préserver d'un "libéralisme" prédateur et d'un islamisme destructeur, nous pouvons espérer une société systémique (ou le comment relier et agir dans un monde d'interdépendances).

    Francis-claude Neri

    15 02 18