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mondialisation - Page 42

  • La systémique des sources

    La libanisation guette la France ou plus certainement sa balkanisation dans tous les sens du terme, englobant tout à la fois la défaite identitaire qui annihila l’âme serbe et érigea le Kosovo en porte drapeau international de la doxa victimaire, alors que cette province était serbe depuis le moyen âge, et cette incurie économique qui aujourd’hui encore contraint des grecques à la famine.

    C’est tout cela l’Union-européenne, un acte de décès des peuples par son remplacement, les remplaceurs esclavagistes et un DOGME ; celui qui consiste à toujours davantage soumettre à la repentance comme pour mieux s’assurer la soumission de ceux qui n’oseront plus jamais relever la tête devant tant de « crimes » commis au nom d’un colonialisme supposé barbare.

    Il en va de la survie des totalitarismes que de parer leur propagande de mots simples et de slogans « unificateurs » !
    Le « Vivrensemblisme » pour mieux entériner la soumission à un nouvel ordre sociétal, le « réformisme » bruxellois pour mieux sceller l’asservissement économique, et la « Nationale éducation » pour entretenir une débilité hiérarchisée de génération en génération.

    Alors, la résistance peine, et peine encore à exprimer l’inexprimable, la systémique des sources et des implications économiques comme ce fameux débat sur le Frexit, ou ces débats abscons sur les « évolutions » des mœurs (PMA, GPA, droits des LGBTI) qui cachent mal cette volonté farouche de vouloir imposer la marchandisation de l’humain au même titre que la plus simple des marchandises, de Paris à Tokyo.

    Il n’y a plus de politique, ni de théorie économique à l’œuvre, en ce bas monde, tout juste une course effrénée vers le nihilisme absolu !

     

    Patrick Escudie
    01 07 17

  • Résistance

    Cher Francis,

    Oui, il faut continuer à résister, sans complaisance et sans lâcheté, avec les armes de la raison, de l’histoire et, j’ose l’affirmer, de la foi. La France crève parce qu’elle a apostasié, renié son baptême, et il faut que l’apostasie soit complète pour que s’établisse le règne des marchands, du fric et du commerce. Or la vocation de la France c’est l’esprit, la liberté et la fraternité (pas à la manière de la république pourrie). BERNANOS a écrit des choses prophétiques là-dessus. Simone WEIL (la grande, pas l’autre) a écrit sur la  nocivité des partis politiques. C’est donc un combat culturel et spirituel qu’il nous faut mener. Pour ceux qui ne croient pas, il est possible de conduire un combat culturel en remettant sur la place des pensées fortes, en critiquant de manière argumentée l’imposture de l’art contemporain (que ce soit la peinture, la sculpture, le théâtre ou la musique, et tout spécialement quand des imbéciles s’imaginent faire œuvre de création en faisant jouer Molière en complet-veston !), en se moquant de la mode et des modes, lancées pour de pures raisons économiques. Il faut soutenir des cinéastes courageux (Daniel Rabourdin et sa Rébellion cachée par exemple). Bref, il faut réfléchir.

    C’est un combat pour le bon sens, c’est aussi un combat pour le retour de la métaphysique dans le champ de la pensée philosophique. Amitié et fraternité.

    Philippe

    Cher Philippe,

    Je m’attendais à cette réponse …et pour tout dire, je l’espérais …j’ai laissé une journée passer car je voulais donner à nos 15 autres amis l’occasion de s’exprimer la dessus car bien entendu en cela réside TOUTE la problématique !

    Oui nous allons vers l’asservissement total du spirituel au temporel …mais n’est ce que cela ? Le combat peut il être seulement fait de culture et de spiritualité ?
    Dans le système oligarchique que nous impose le Président Macron, il est dit que les petits doivent être la proie des grands, que telle est la loi du monde.
    Devrions-nous laisser les requins manger paisiblement le fretin et nous occuper de « choses culturelles, cultuelles et artistiques ?
    Devrions nous laisser les passions religieuses, de classes et de nations faire se dresser des hommes contre d’autres hommes au nom de leur intérêt ou de leur orgueil ?
    Devrions-nous nous réfugier dans un de nos « isolats » dans un appariement sélectif du style survivaliste (voire sectaire) dont je me souviens avoir avec toi et Pierre consacré une « journée d’études » et laisser les « gueux » s’éventrer tranquillement entre eux ?  

    Je ne crois pas une seconde que ce soit possible. Je crois même que nous subirions les premiers le courroux de la « masse ». 

    Cléricalisme, radicalisme et communautarisme seront des thèmes majeurs dont nous aurons à débattre. Et, que nous soyons croyants ou pas, nous ne pourrons demeurer insensibles et sans réactions à cette montée de dérives communautaristes qui clivent la société française.

    Nous nous exposons à des exclusions et des inculpations pour vouloir dire ce que nous considérons comme le vrai alors que nous pourrions tranquillement profiter de notre retraite et cultiver notre jardin en chérissant nos enfants et nos petits enfants.
    Nous sommes toi et moi motivé par une « finalité » différente, mais nous savons bien que la réponse ne peut être seulement culturelle et cultuelle, mais systémique, organisationnelle, pédagogique et thérapeutique.

    Nous avons à faire monter la « résistance » à l’échelle en nous tenant fermement aux deux montants que sont le temporel et le spirituel …nous avons pour cela à appliquer une laïcité bien pensée. Toute la laïcité et rien que la laïcité.
    Pour le « reste » nous devons constamment nous rappeler deux choses : que l’islam s’exclu lui même de toute  morale, laïque et politique. Que l’islamisme est une conséquence et un outil nécessaire à l’oligarchie libérale mondialisée.  Deuxièmement, que l’immuabilité des classes sociales est chère au monde qui vient. Les élites se disent que si ceux d’en bas peuvent penser en haut, l’Etat est voué au désordre. Ils pensent que  la démocratie est un danger pour leur classe, car c’est le gouvernement du peuple par le peuple et pas par ses représentants.
    Ils savent que ce peuple ne veut que l’égalité des citoyens devant la loi et l’accessibilité aux fonctions publiques, ce dont ils se réservent l'usage.
    Il leur faut donc tuer la démocratie en commençant par plus de « représentativité » c’est le mouvement en cours vers un suffrage « censitaire »[1] ; à nous de les en empêcher.

    Il importe donc de comprendre que la représentation est surtout un moyen d’empêcher le peuple de s'exprimer directement et comme le peuple commence à s'en apercevoir, il conteste cette adaptation de la démocratie qui est de plein droit une forme oligarchique d'une minorité qui a titre à s'occuper des affaires communes, comme elle l’entend et sans rendre de comptes.

    Sous sa forme actuelle la représentation est un système oligarchique car elle aboutit à la formation d'un groupe dominant dont les membres se cooptent entre eux pour défendre en priorité les intérêts qui leurs sont propres. Comme tu le disais, Simone Weil nous rappelait il n'y a pas si longtemps, que l'unique fin de tout parti politique est sa propre croissance et cela, sans aucune limite.

    Nous avons donc à combattre sur trois plans mon ami :

    1- Celui de la mondialisation libérale
    2- Celui du multiculturalisme
    3- Celui de l’islamisme

    Bien entendu, les trois œuvrent en parfaite cohérence….

    A nous d’en faire autant tout en sachant que les temps vont être durs pour les "patriotes" la soumission à l'autorité apparaitra pour beaucoup la meilleure solution...après moi le déluge pensent nombre d'entre eux !!!! Pour bien comprendre ce qui va se passer : Expérience de Milgram sur la soumission à l'autorité.
    Tirée du film I comme Icare. https://www.youtube.com/watch?v=wUG_IN5ZdJw 

    Nous  sommes dans un pays ou la gauche a trahi le peuple, le reléguant au rôle de plèbe, tandis que la Droite a trahi la Nation, ce qui laisse une grande partie de ceux qui ont besoin d’être aidés quelque peu désemparés.

    Et  c’est ce que constate le géographe Christophe Guilly dans tous ses livres.

    « La France aujourd’hui est géographiquement distribuée en trois zones concentriques :

    Au centre, ceux qui sont adaptés à l’économie moderne que j’ai appelé l’économie de la connaissance dans mon livre « C’est une révolte, non Sire c’est une Révolution ».  Ils contrôlent l’économie et les media. Il est d’usage de les appeler les « bobos » et ils constituent l’électorat de Macron.

    En périphérie des bobos, on trouve les immigrés qui sont de fait les domestiques des bobos (Chauffeurs Uber, Taxis, gardes d’enfants, personnel soignant etc..) et sur lesquels se déversent les subventions étatiques, ce qui permet aux bobos d’avoir des domestiques pas trop chers.  Ce deuxième groupe vote Mélenchon.

    Et enfin, à une heure et demi ou deux heures du centre de la grande ville dans laquelle les bobos résident dans des appartements hors de prix, on trouve les perdants de la mondialisation, ceux qui naguère étaient employés dans le secteur industriel. Ils votaient communistes autrefois, ils votent FN aujourd’hui. Et il n’y a plus aucun contact entre les bobos et les habitants de la troisième zone. »

    Hollande et Macron peuvent sabrer le champagne. Ils ont roulé les Français dans la farine. Les bobos des grandes villes et leur puissance de feu médiatique ont écrasé la France périphérique. Ceci posé comment en sortir  n’est ce pas ?

    Est-il possible, par la voie démocratique, de sortir la France du marasme dans lequel elle s’enfonce depuis quarante ans ?
    L’économie croule sous les charges sociales et fiscales. Le temps consacré au travail diminue constamment. De nombreux pays concurrents produisent dix fois moins cher que nous, tout en bénéficiant de transferts technologiques imprudemment accordés pour décrocher des exportations. La finance mondiale sacrifie l’outil industriel national pour dégager des bénéfices immédiats vidant ainsi goulûment « la langouste » pour ne laisser que des carcasses mortes.
    Et, par-dessus tout, la France est impuissante à réagir à cette descente aux enfers puisqu’elle n’a plus de politique monétaire ni de politique économique, les ayant abandonnées à l’Union européenne, monstre froid au service de la dissolution des peuples et des nations d’Europe, encourageant par ailleurs la déstructuration des sociétés par l’accueil mortifère de populations fuyant la misère du monde.

    Les classes dirigeantes voudront conserver leurs avantages, leur pouvoir, et faire perdurer une civilisation défunte.

    Le FN vient de démontrer qu'il ne peut parvenir au pouvoir démocratiquement ...et comme il se refuse à le faire "autrement" c’est donc plié ...pour lui...après...il faut voir car seules trois possibilités se présentent à nous :

    - Soumission à l’oligarchie
    - désobéissance civile et civique
    - insurrection 

    Il y en a bien entendu une 4 e : la fuite …mais pour aller où ?

    Amitié, fraternité, solidarité
    Francis Neri

    07 06 17

     

     

    [1] Le suffrage censitaire est un système politique où le droit de vote est réservé à certaines catégories de citoyens. Généralement le droit de vote est réservé aux citoyens les plus riches. Le suffrage censitaire était le plus souvent mis en place quand un pays devenait une démocratie.

  • Complexité

    Cher  Francis, bonjour,

    Je partage entièrement ton analyse et pense en effet que la seule possibilité de continuer a résister est  de se reconstituer et de se réunir autour d'une structure politique qui, en utilisant la chimère d'une démocratie  bien démolie, mais qui reste toutefois dans l’esprit républicain, difficilement attaquable moralement,  éviter ainsi pour le moins le bâillon, à défaut de subir dans les règles, une diabolisation orchestrée.

    Le front National que je garde dans mon cœur est,  il faut le reconnaître, une machine à perdre; de par le nom de son fondateur qui aurait du être écouté et compris au second degrés, et sa charmante fille qui n'a malheureusement  pas l'étoffe d'un grand tribun, alors qu'elle  a certainement la capacité de bien gouverner.  
    Il faut donc se transformer en Talleyrand  pour arriver, à l’instar de ce grand politique au congrès de Viennes, changer une cuisante défaite en victoire. Il faut savoir utiliser les armes et arguments de nos ennemis, pour les leur retourner de sorte qu’ils  nous soient favorables.  Ce n'est assurément pas simple, mais pas irréalisable pour autant. Il suffit de le vouloir et de le faire. Mettre les bonnes personnes aux  bons postes et avoir l'âme chevillée au cœur et au corps,  pour faire passer en priorité absolue le bien de la FRANCE,  notre patrie.

    J'aimerais avoir ton avis  ?...

    Amitiés    Claude.

    Bonjour Claude,
    Oui bien complexe ton analyse, mais ce n’est que la vérité d’une situation en cours de développement. Et puis complexe ne veux pas dire compliqué.
    La question est bien entendu celle de la continuité : Faut-il continuer à résister ? Pour quelle finalité ? Quels objectifs ? Avec qui ? Et bien entendu quels moyens ?

    La complexité étant un problème complexe, c’est compliqué de l’exposer. Ce que je voudrais d’abord constater c’est que le mot est de plus en plus utilisé mais demeure toujours indéfini.

    C’est un mot bouche-trous : dire « c’est très complexe », c’est se résigner à l’incapacité de décrire, à l’incapacité de sortir d’une confusion de l’esprit, de constater un mélange non analysable et c’est avouer enfin son incertitude devant l’objet reconnu complexe.  

    A ma connaissance, parmi les philosophes des sciences, seul Bachelard a affronté la relation entre le simple et le complexe, en disant qu’il n’existe pas de simple dans la nature mais qu’il n’existe que du simplifié.
    Bref nous ne savons pas analyser toute la complexité, mais si nous la regardons comme un « système » avec des éléments dont il convient d’établir les relations, et observer leurs interactions, alors nous pouvons aborder un niveau suffisant de complexité.

    Tout d’abord voyons l’élément « système démocratique » que tu trouves caduque. Et nous ferons la relation avec l’échec de Marine.

    Je partage ton avis au sujet de la démocratie, mais je considère qu’il suffirait  de changer un seul élément de la constitution pour rendre le système suffisamment compatible avec les attentes du peuple : la démocratie libérale ne doit plus être REPRESENTATIVE !

    Avec le Président Macron, nous avons acté, sans le vouloir aucunement, la légitimation électorale de la souveraineté des oligarchies, des marchés financiers et des multinationales.

    Le système Macron va vite révéler ce qu'il est : une oligarchie qui n'est plus responsable que devant les intérêts privés qui la soutiennent.

    Au passage, il faut dire que notre erreur avec Marine et surtout Phillipot est de nous avoir fait croire que la politique pouvait être pacifiée, (souvenons nous du slogan : "La France apaisée"), que les antagonismes seraient appelés à dépérir sous l'effet apaisant d'une culture "technique" et « technocratique » commune.

    Funeste erreur ...les aspirations humaines étant différentes et potentiellement conflictuelles, on ne peut en effet trancher entre elles qu'au nom de critères normatifs qui ne se ramènent jamais à faire l'unité du peuple sur des idées.

    La décision politique consiste à trancher entre des possibles, dont aucun ne s'impose "objectivement" à tous.

    Alors que faire une fois que nous aurions admis que le FN et Marine sont définitivement hors course…c’est à dire après les législatives ?
    Tout d’abord bien comprendre que pour « l’élite » de Macron, sa gauche caviar et sa droite oligarchique hors sol, nous sommes des petits blancs « hexagonaux et franchouillards » des Dupont Lajoie incultes, méchants et xénophobes, rétrogrades et désespérément Franco-français. Nous sommes populistes et suspects par principe de nourrir des pensées mauvaises car nous votions Front National…Nous sommes plus que jamais à surveiller de prés…ils ont une peur bleue de nous en fait !
    Ce mépris du peuple de France s’apparente à une véritable haine de classe !

    Le peuple ayant perdu toute confiance en ses élites et ses représentants se doit de prendre conscience de sa force et de ses pouvoirs.
    Il s’agit de légitimer une option politique construite sur une opposition entre le peuple, ses élites, sa technostructure et la démocratie libérale REPRESENTATIVE totalement disqualifiée.

    Le peuple est en effet parfaitement compétent pour distinguer ce qui est politiquement bon et politiquement mauvais, ce qui satisfait à ses aspirations et ce qui les déçoit. Quand il vote, ce n’est pas pour statuer sur la « vérité », mais pour indiquer où vont ses préférences et dire si il est d’accord ou non avec ceux qui le gouvernent.

    Le peuple de France est face à  une élite mondialisé qui veut nous réguler et nous contrôler et ce jusque dans nos pensées...
    Pour ce qui nous concerne, avec le Président Macron nous venons d'entrer dans le "moule" et nous allons y être enfermé si nous ne sortons pas du piège qui est en train de se refermer...
    C'est avant tout le système de démocratie libérale, PARLEMENTAIRE et REPRÉSENTATIVE qu'il faut changer ...le reste sera affaire de temps et d'énergie.

    Les grands désastres historiques trouvent plus souvent leur origine dans la faillite des élites que dans l’aveuglement du peuple.
    La démocratie libérale représentative ne voit dans le champ politique qu’un agrégat d’intérêts …leur intérêt de classe.
    Il est temps que le peuple de France s’occupe sérieusement des siens !

    Pour bien "comprendre" (prendre avec) ce qui se passe et identifier à partir des évènements le futur possible, il convient d'analyser ces évènements aux trois niveaux systémiques :
    - le système individu (toi, moi par exemple)
    - Le système groupe (son groupe d'appartenance (le FN par exemple)
    - Le système global (l'espèce humaine dans son contexte écologique)
    Se souvenir de cette définition: Un système EST un ensemble d'éléments en interactions dynamiques orienté vers un but (une finalité) et des objectifs.
    Le groupe FN (le système FN) ETAIT un système orienté vers un but : prendre le pouvoir et mettre en œuvre un projet dont nous avons soutenu le programme.
    Le FN a échoué ! Il n'a pas su :
    1) Réguler, contrôler ses interactions et rétroactions dynamiques internes et externes
    2) remédier à ses erreurs, ses fautes, de communication internes et externes.
    La finalité, le but, les objectifs, le programme du FN n'est pas en cause, et encore moins ses militants, ses sympathisants et ses électeurs, qui eux ont adhéré, à un projet, un programme, pas à des individus
    Marine Le Pen et ses agents ont lamentablement échoué alors que le "projet" avait, un boulevard devant lui. Ils en sont responsables et eux seuls.
    Mais le projet demeure : combattre l'islamisation, réguler, contrôler l'UE et la mondialisation oligarchique, rétablir notre souveraineté etc.
    Après les législatives nous aurons à le revisiter, l’amender, le compléter...le relancer et, certainement pas avec celle et ceux qui en ont fait un si mauvais usage !

    Alors courage à tous, rien n'est perdu bien au contraire, TOUT commence

    Francis NERI
    06 06 17