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Réseaux - Page 10

  • Facebook blocage

    Monsieur Laurent Solly, directeur général de Facebook France

    Pour me faire taire vous avez pris sur MA page un commentaire qui remonte à prés de 2 ans ...dans un CONTEXTE prés électoral ... c'est de la manipulation et une grave atteinte à la liberté d'expression ...c'est significatif de VOTRE allégeance au pouvoir et croyez moi c'est extrêmement dommageable pour l’avenir de Facebook en France ...
    Nous ne sommes apparemment pas compatibles avec votre économie mondialisée nous nous en souviendrons le moment venu,  car vous pouvez NOUS bloquer mais vous ne nous empêcherez pas de la faire exploser VOTRE économie mondialiste ainsi que vos exécutants locaux.
    Le mouvement des gilets jaunes, NOUS l’attendons depuis 49 ans …depuis Pompidou en fait !
    Alors vous pensez bien que NOUS ne lâcherons RIEN !

    Et que vivent les gilets jaunes !

    Je remercie mes ami(e)s qui ont prit le relais sur ma page, le groupe des Systémiciens et qui se rassemblent à partir du blog !

    La journée d'hier à Strasbourg fut une réussite et nous allons nous fédérer LOCALEMENT pour aller plus loin et plus vite ....On va gagner, CE pouvoir doit  céder ou se démettre  !

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    02 12 18

    A relayer sur NOS réseaux ...merci !


     

  • La boucle est bouclée.

    De Pompidou à Macron, de Rothschild à Rothschild. Entre les deux, trois générations de présidences décadentes et asservies à l’oligarchie financière.

    De 1969 (élection de Pompidou) à 2018, 49 ans de dégringolade… Tout se passe comme si on ne voulait pas attendre le cinquantième anniversaire de cette descente aux enfers et de souffrances accumulées.

    Le Français a tout supporté : de la privatisation de la dette publique, en 1973, jusqu’à celle, progressive, des autoroutes (1,5 milliard par an de dividendes pour les actionnaires), le traité de Maastricht, l’immigration massive, les attentats islamistes. À Nice, des émirs saoudiens ou qataris regardaient peut-être le carnage du balcon de leurs palaces achetés à coups de pétro-dollars.

    En s’attaquant, le 24, à l’ambassade du Qatar et en libérant le péage des autoroutes, le génie symbolique des gilets jaunes devrait sauter aux yeux de la caste politico-médiatique qui ne veut rien comprendre. À ce titre, les deux lettres récentes de Michéa et d’Onfray sur les gilets jaunes sont exemplaires.

    L’erreur serait de croire que la révolution en cours s’oppose à un ordre établi, comme en 1789 ou en mai 68. C’est tout le contraire. Les Français en gilets jaune s’insurgent contre un désordre établi.

    La chienlit n’est pas dans la rue mais à l’Élysée et à Bruxelles.

    Alors, Paris brûle-t-il ? Il est symptomatique qu’au moment où la révolte a éclaté, Macron était auprès d’Angela Merkel. L’histoire retiendra que von Choltitz, en refusant d’obéir à Hitler qui voulait faire de Paris une terre brûlée, avait peut-être plus d’attachement aux valeurs culturelles de la France que notre employé de banque mondialiste forcené.

    L’heure du grand aggiornamento a peut-être sonné. Au fond de lui-même (tout au fond), le Français a bien le sentiment qu’on veut le forcer à tout abdiquer, et surtout sa créativité.

    Sous la pression conjointe du matérialisme mercantile de droite et du libéralisme libertaire de gauche, la bête immonde veut tout détruire : les paysages, la culture, tous les arts (plastiques, culinaires et poétiques), la famille, l’homme, la femme, l’enfant, tout. Son appétit destructeur est insatiable.

    Il y a des signes qui ne trompent pas : le soir du 24 novembre, Daniel Guichard faisait salle pleine à l’Olympia. Sa chanson la plus chantée est « Mon vieux ». Avec les gilets jaunes, c’est mon vieux qui ne veut pas mourir.

    Macron n’a rien incarné. Les Français se rendent bien compte qu’ils ont voté pour une pure image sans arrière-fond, un technocrate en culotte courte qui est en permanence à la surface de lui-même.

    Mais ils devront être cohérents. Il ne suffit pas de demander du pouvoir d’achat. Il faut arracher le mal à sa racine.

    Les Italiens montrent l’exemple. Est-ce que les Français vont suivre ? L’avenir est aux jeunes qui veulent à cor et à cri l’unité contre le clivage gauche/droite, comme l’excellente Tatiana Ventôse, qui fait un tabac sur YouTube.

    Au bout du compte, que nous disent les gilets jaunes ? Que Dieu n’est plus heureux en France.

    Vox populi, vox Dei.

    Sur Bd Voltaire

    Étant interdit de Facebook je prie mes ami(es) de partager ...merci !

  • Pas de chef ?

    Alain Lucari Francis-claude Neri, pas de chef c'est la conception des anarchistes dont on a vu la signature hier sur les Champs Elysées , mais pas de chef, c'est un rêve qui ne mène pas loin, passe de chef c'est pas de conception à long terme et même à court terme, on l'a vu hier soir ou en fin de journée les GJ déambulaient sur les champs l'air désœuvrés et perdus, ne sachant que faire. Il faut au moins un adjudant ( que pour ça on appelle Lt dans la cavalerie) pour mener la troupe au combat ! Attention, les anars espagnols ont étés exterminés par les communistes et il en reste en France !
    Pas de chefs (ou trop) c'est avril 61.
    J'aime bien les Ménard, surtout Emmanuelle, mais le RN fera 20% aux élections et personne d'autre à droite ne dépassera les 5%,ça mérite considération.

    Francis-claude Neri Alain Lucari Je dois MAL m'exprimer ...ce n'est pas possible autrement ...je sais bien que je code parfois mes messages, et j'ai de bonnes raisons pour cela ...mais tout de même ...
    En aucun moment je n'ai dit qu'il ne fallait pas de chef ; ou plus exactement de DIRECTION à donner, d’une organisation ; au contraire j'écris SANS CESSE sur la NÉCESSITE de se structurer et de s'organiser ...localement, pour ensuite faire remonter les positions de la base au sommet. Je dis simplement que les chefs actuels n'en sont pas et que ceux qui en sont ne PEUVENT émerger car certain(e)s qui se disent chefs les bloquent ...leur ego et leurs intérêts étant plus fort que les intérêts des peuples
    D'autre part, le contexte actuel va plutôt vers une équipe au sein de laquelle se révèlent des leaders, au sein de ces équipes se déroule une discussion démocratique sur les finalités, les objectifs et les moyens.
    Chacun doit y être à sa place et en fonction de ses compétences. UNE fois la discussion démocratique terminée, les objectifs choisis, chacun ce doit de respecter le choix collectif ...voilà comment DOIT se dérouler le processus conduisant à l'action, et pas sur l'autorité exclusive d'un leader maximo, père ou mère noël dont le peuple attendrait tout .

    J'espère avoir été clair :-) .

    Alain Lucari
    Francis-claude Neri
    25 11 18